Cet été, nous avions loué avec plusieurs copains (trop) une grande majorité en toscane. Plusieurs couples mais aussi des "célibataires " comme moi.
Certains soirs, on faisait des virées en ville et bien entendu, Certains ramenait des mecs à la maison. De fait le matin, il pouvait y avoir souvent de nouvelles gueules. Certains d'ailleurs restaient une journée ou deux.
Un matin, je suis rentré à la maison seul après avoir passé la nuit chez un mec de rencontre. Et là quelle surprise ! Il y avait un inconnu dans mon lit. Le mec profondément endormi semblait sourd à mes appels lui demandant de s'en aller. Au bout d’un moment, il a ouvert un œil, m'a regardé,
- désolé, j'étais avec un de tes potes mais son mec m'a jeté, il n'a pas voulu un plan cul à trois. J'ai vu que cette chambre était libre, je me suis couché...
- ouais, ben c'est mon lit, je suis crevé, j'ai sommeil, alors dégage.
- sois cool mec, laisse moi encore dormir un peu. T'as qu'à prendre l'autre côté, le lit est grand. J'étais épuisé par ma nuit, j'ai dû me résoudre effectivement à me coucher à côté de lui. Il était roux, très blanc, plutôt bien foutu. Le bougre s'était déjà rendormi. De rage, j'ai tenté de le réveiller à nouveau en lui quelques coups de pied puis j'ai tiré les drap vers le bas. Il était nu. J'avais devant moi un beau corps finement musclé. Une belle queue reposait sur son ventre au milieu d'une fine couche de poils roux. Réveillé, il l'a soulevée un peu, elle était dure et décalottée il a comment à la caresser, comme une invite et comme je ne le décidais pas, il a passé une main derrière ma tête pour m'inciter à venir la goûter. Elle était parfaite pour moi, légèrement chambrée, épaisse, veineuse.
Je me suis alors penché sur sa bite, j'ai pris le gland en bouche pour le lécher, glissé le bout de ma langue dans le méat avant de l'engouffrer entièrement. Puis j'ai léché et embrassé son ventre laiteux ainsi que ses grosses couilles avant de retourner à l'essentiel, son chibre. Je l'ai regardé dans les yeux, il me regardait avec un petit sourire malicieux. J'ai saisi sa queue pour la branler et déposer des baisers dessus. Il mouillait déjà.
Tout en le regardant prendre du plaisir, ma langue faisait des va-et-vient le long de son morceau avant que je prenne le gland dans ma bouche. Ma mâchoire ouverte au maximum, sa bite me remplissait complètement la cavité buccale. Le mec la tête en arrière savourait mon traitement. Sa queue produisait une mouille importante qui coulait directement dans mon gosier.
Ma bouche en grand, je tapais son gland contre ma langue et j’enfonçais son monstre dans ma cavité buccale. Puis, Il m'a fait sortir sa bite de ma bouche, dirigé ma tête vers ses grosses couilles qui avaient l’air vraiment bien pleines. Je les ai léchées, gobées lui soutirant de profonds gémissements.
Après une profonde inspiration, j'ai repris sa teub dans ma bouche, puis dans ma gorge. Mon nez a atterrit dans ses poils de pubis. Ils sentaient le mâle. Il a pris alors ma tête et il s'est mis à me faire monter et descendre sur sa teub. Je me suis laissé faire.. J'en avais mets des larmes au bord des yeux, tellement j'étais sous pression. Sa bite me baisait littéralement la bouche et la gorge, bien profondément. Son gros pieu avec son énorme gland explorant ma gorge et beaucoup de precum allait directement dans mon œsophage. Je sentais le sang pulser dans son énorme bite, tellement elle était épaisse et enveloppée par les muscles de ma gorge.
- viens, donne-moi ton cul à bouffer, me dit-il entre deux halètements.
Je me suis levé, posé mon cul contre son visage. Il a écarté mes fesses des deux mains puis sa langue s'est frayée un passage dans mon oeillet. C'était à moi maintenant de couiner.
- ta queue maintenant !
Ses désirs étant les miens, j'ai poussé ma tige au fond de sa gorge et je l'ai baisée par de petits coups de bassin avant de me pencher sur lui pour m'occuper de nouveau de sa teub. 
On s'est lancés dans un trépidant 69, alternant bite et rosace.
- baise-moi maintenant.
J'ai écarté ses fesses. Devant moi sa rondelle s'offrait, toute rose et entrouverte.
J'ai plongé ma langue dans son œillet pour lui bouffer le cul à fond. Sortant parfois ma langue pour lui mordre les fesses.. Puis, je l'ai doigté d'abord un doigt, puis 2 et ensuite 3..
Puos, j'ai enfoncé doucement mon pouce dans son cul. C'etait chaud et ferme, soyeux. Il a un peu couiné, le sphincter étant tendu. J'ai entamé des mouvements circulaires du pouce pour le détendre. Ça a très vite marché. Sans cesser de le sucer ni de lui palper le cul.
J'ai continué à lui bouffer encore un peu le cul, pour assouplir encore un peu la rondelle, puis je me suis relevé, j'ai enduit ma queue de gel et je l'ai placée à l'entrée de sa rosace. Je vais doucement en progressant millimètre par millimètre dans son cul : le gland passé, il a geint.
J'ai continué à entrer dans son cul et ça a devenait plus facile.
Alors doucement, puis de plus en plus rapidement, j'ai fait des allers et retours dans son cul, j'admirais son torse viril et puissant en plein abandon. Un mec qui s'abandonne à la sensation de ma queue dans son cul, ça m'a toujours incroyablement ému. Pour un peu j'en aurais la larme à l'oeil, mais j'ai du boulot alors pas le temps de s'attendrir : je l'ai pilonné de plus en plus fort, le mec bandant à fond et ahanait à chaque coup.
- Vas-y recommence à te branler.
Je le suis écroulé sur lui.
- maintenant on peut partager mon lit et nous nous sommes endormis immédiatement.
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