08 août 2024

rêvé de lui





Je vais régulièrement m'entraîner dans une salle de sport de mon quartier.  Elle plutôt pratique car elle propose une grande amplitude d'ouverture et d'activités.  Personnellement, j'y vais plutôt en tout début de matinée, juste avant le boulot. C'est à ce moment que je suis le plus en forme et ça me donne de l'énergie positive pour attaquer ma journée de travail.  En outre c'est très peu fréquenté.  Il m'y arrive aussi d'y aller tard le soir après une rude journée de boulot.  C'est lors de ces séances que je le croise.. lui c'est Julien. Je connais son nom maintenant car j'entends quelques fois ses potes l'interpeller.  Je n'ai jusqu'à présent jamais osé l'aborder persuadé que c'est l'hétéro parfait... même si son petit numéro de vestiaires peut faire douter. 
La première fois que je l'ai aperçu, c'est justement dans les vestiaires après ma séance d'entraînement.  J'étais en train de me déshabiller pour prendre ma douche quand il est arrivé.  Trempé de sueur,  ses gants de boxe en mains, il était déjà magnifique.  San compter sur l'odeur de mâle qu'il dégageait.  Il a ouvert un casier tout près du mien.  M'a jeté un vague coup d'œil, a marmonné un bonsoir avant d'ôter péniblement son débardeur Trempé de sueur.  J'avais une grave envie de l'aider mais bien sûr je n'ai pas osé.  J'étais comme en apesanteur,  bouche ouverte,  nu avec juste ma serviette en main cachant à peine mes attributs.  Il a dû le remarquer car dans ma stupeur, j'ai cru apercevoir un vague sourire amusé.  Il a ensuite ôté son short et un jock-strap rouge qu'il a négligemment posé sur le banc.  Un éblouissement ! Un corps parfait pour moi.  Des pecs, des abdos finement musclés,  un sexe divin comme je les aime.  Long,  assez épais reposant sur de belles couilles bien dures.  Le tout entièrement glabre, rasé de frais et de près. Il s'est déplacé vers les douches,  sa serviette en main sans prendre la peine de la nouer autour de ses hanches.  J'ai vite repris mes esprits et je l'ai suivi tout en l'admirant par derrière ; dos parfait et fesses aux muscles saillants.  
J'ai pris ma douche rapidement et j'ai rejoint le vestiaire après m'être séché.  Il était encore sous la douche.  Ses vêtements sales étaient là sur le banc tout près de moi.  J'avais une envie folle de lui piquer son jock-strap mais bien sûr c'était impossible, il s'en apercevait immédiatement et j'aurais l'air de quoi?! Mais j'ai quand même osé poser ma main dessus.  Il était Trempé de sueur et je n'ai pas pu résister à le porter quelques secondes à mon  visage pour en capter toutes les senteurs...
Je l'ai vite reposé bien sûr.  Il est arrivé peu après.  J'étais déjà en train d'enfiler ma chemise. J'ai fini de rassembler mes affaires alors qu'il était encore nu, assis sur le banc à s'essuyer entre les doigts de pieds.  
Une idée dingue m'a effleuré l'esprit : venir juste après son départ,  respirer son odeur sur le bois du banc..... dingue je vous dit .
Je l'ai salué et j'ai quitté la salle tout honteux mais terriblement émoustillé. 
Après cette première "rencontre", on s'est croisés toutes les fois où j'allais moi aussi m'entraîner le soir.  À chaque fois peu ou prou le même scénario. Il avait bien entendu remarqué mon trouble et mon petit manège.  J'aurais juré qu'il guettait mon départ pour le vestiaire car il m'y rejoignait peu après sans compter sur le fait qu'il prenait toujours un casier très proche du mien.. Et là c'était le show ! Un vrai strip-tease.  Il se déshabillait lentement, prenant bien soin que ses poses me permettent de bien voir tout ce qu'il y avait à voir. Même dans les douches il prenait presque toujours la cabine en face de la mienne ; mais n'était-ce pas moi qui prenait toujours la cabine en face de la sienne ? En tous cas,  il laissait toujours sa porte ouverte et moi aussi d'ailleurs. 
Le savonnage était un grand moment.  Il insistait beaucoup sur son sexe et ses fesses n'oubliant jamais de bien frotter à l'intérieur du sillon...
Plusieurs fois,  j'en étais sûr,  il y eut un début d'érection. 
De mon côté,  je bandais dur faisant tout pour ne pas qu'il s'en aperçoive  
Le séchage était là encore un bon moment surtout quand se baissant pour se sécher les jambes,  il m'offrait une vue magnifique sur son sillon entrouvert et sa rosace. 
Moi,  je n'avais qu'à filer chez moi et me branler pour évacuer toute cette tension. 
Jusqu'à cette nuit où j'ai rêvé intensément de lui.....enfin de nous  
 Le vestiaire était plongé dans un semi pénombre bleutée.  Il était là seul,  trempé de sueur après l'effort.  Il a ôté ses gants,  son débardeur . Son torse splendide luisant de sueur.  Il portait son short de boxe très large.  Il avait le geste lent comme s'il savait même sans me voir que j'étais là dans l'obscurité à l'admirer,  ke désirer.  Il ses séché le visage, le torse et enfin le short soulignant ainsi la forme de son sexe sous le tissu.  Puis, curieusement, il s'est mis à faire le poirier! Alors je me suis approché.  J'ai posé mes mains sur son short pour entourer son sexe et en apprécier le volume.  J'ai remonté son short sur ses cuisses.  Le jock-strap rouge était là tout près. Plein de lui.  J'ai caressé la poche humide.  Sa queue à ce contact s'est durcie et je l'ai libérée.  Elle était là devant moi.  Longue, couronnée de ses belles boules glabres, pas encore totalement raide. Je l'ai caressée du bout des doigts.  Elle grandissait sous mes yeux. A demi décalottée par l'érection,  le gland est apparu. Je l'ai relevée; tenir ce beau morceau dans ma main, c'était dur et très chaud comme s'il avait la fièvre. J'ai donné des coups de langues sur le gland, aspirant la mouille, la goûtant, la dégustant et j'ai avalé le gland, l'entourant de mes lèvres et de ma langue, passant partout!
Je la sentais durcir encore, tressauter dans ma bouche, j'ai sucé comme un malade en essayant d'en avaler le plus possible, il respirait de plus en plus fort mais, étonnamment restait dans cette position tête en bas !
À l'avaler toute entière,  à l'enfoncer au plus profond de ma gorge,  je faisais des bruits terribles de déglutition qui troublaient le silence du vestiaire mais je m'en foutait.
C'est alors qu'il s'est remis debout.  Me prenant par les cheveux, il a enfoncé sa queue dans ma bouche et a entrepris de violents va-et-vient qui m'étouffaient à moitié.
Par moment comme pour me permettre de respirer un peu il me laissait lui lécher la hampe et les couilles mais bien vite revenait me baiser durement la gorge. 
Peu m'importait J'avais tellement rêvé de ce braquemart, de ce pubis doux et glabre que je m'étais tellement branlé en pensant à ce moment que je redoublait d'ardeur à engouffrer son dard. 
À un moment,  il a pris une bouteille d'eau sur le vestiaire et après avoir bu quelques gorgées,  il a versé le reste d'eau sur son torse.  L'eau a dégouliné sur son ventre et sa bite et j'ai léché avidement le tout. C'est alors qu'il m'a pris par les cheveux et m'a littéralement baisé la bouche à grands coups de reins ultra rapides.  
- lève-toi, 
Je me suis exécuté.  Il m'a tiré par le tee-shirt vers le sac de frappe.
- accroche-toi,  je vais te faire monter au ciel. 
Je me suis exécuté encore.  Il a arraché violemment mon tee-shirt puis a baissé mon short et mon slip. 
J'ai tendu mon cul, dos bien arqué, cuisses écartées. Je l'ai regardé,  queue dressée vers moi,  légèrement courbe,  de celles qui ramonent bien.  Je l'ai regardé me taper les fesses,  me frotter de la paume,  le sillon. Je l'ai regardé impatient,  mouiller son dard et ma rondelle, introduire un doigt expert explorer et détendre ma rondelle. Puis enfin approcher son gland humide,  le frotter contre ma rosace avant de forcer mes sphincters à céder le passage. Il m'a longuement bourriné à grands coups de reins et je faisais mon max pour maintenir mes sphincters bien serrés pour lui donner un max de plaisir. Il  haletait  sous l'effort.  La sueur dégoulinant sur son corps rendait la position difficile car ses mains sur mon torse ou mes hanches glissaient. Quand à moi je couinais tant et plus sous ses assauts,  le cul en feu.  Proche de l'orgasme,  Il s'est alors retiré,  s'est assis sur le banc,  bite dressée en mains et il m’a attiré vers lui. J'ai
 tout de suite compris ce qu’il voulait : j’ai enjambé son ventre, tapoté sa grosse queue contre ma raie et  placé son gland contre mon anus. Contre toute attente, je me suis laissé tomber sur son morceau et entamé illico de rapides va-et-vient. Je me suis donné fond. Je me faisait plaisir sur sa bite qui me remplissait parfaitement bien le cul et je gémissais sans plus de retenue. Parfois, je ralentissais la cadence et je me penchais pour l'embrasser.  A un moment, je me  suis retourné, pour m'accroupir de nouveau et reprendre mes allers-retours sur sa teub, le laissant apprécier la vue de sa queue coulissant dans mon anus. Ça semblait lui plaire car il sifflait fort tout en me caressant le cul. Il a fini par me mettre le cul en l’air pour le pilonner de nouveau. Il me limait bien, son gland me perforant le fond de l’anus. il alternait les assauts lentement puis reprenant une carence rapide. Son dard fouillant en profondeur mon cul, Je gueulai fort. Son gland me massait la prostate tellement bien qu’à chacun de ses mouvements, je sentais le plaisir augmenter en moi. Ma bite s'est mise à gonfler et être parcourue d’une sensation inconnue... J'ai  gueulé et ma bite s'est retrouvée secouée de puissants spasmes... J'ai juté sans les mains de nombreux jets qui sont allés souiller le sol et mes jambes. Il a ressenti ma jouissance car mon anus s'est contracté et il s'est mis à gueuler fort accélérant ses coups de teub. Il a éjaculé à son tour au bout de 10 minutes une bonne dose de sperme. J'ai compté 10 jets qui sont venus de manière espacée et violente dans mon anus. 
Quand il s'est retiré, je me suis redressé et à genoux, j'ai nettoyé sa verge tandis que son foutre coulait le long de ma cuisse. 
C'est là que je me suis réveillé subitement.  Trempé de sueur,  seul dans mon lit, le ventre couvert de foutre...




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