11 août 2024

baisé en public 1, le barman du bar glauque



Pour ceux qui me connaissent, je suis plutôt exhib. Pas du genre à me balader à poil en ville sous un manteau! Non, pour ma part c'est uniquement dans les ébats sexuels. J'adore baiser en public que ce soit dans un sauna, dans un sexclub ou toute occasion qui permette d'être vu sans risque. En plus, je suis plutôt du genre bruyant et on me remarque vite ! Souvent,  me savoir observé, décuple mon appétit sexuel et mon inventivité et participe en grande partie quelques fois à mon plaisir.
Cette fin d'après-midi là, je me baladais seul dans le quartier gay de la ville. J'étais en découverte car j'étais dans cette ville pour raison professionnelle et je ne la connaissais pas. J'ai voulu ce jour là éviter les adresses connues et répertoriées sur les sites spécialisés. 
Dans une petite ruelle, j'ai repéré une enseigne fatiguée. Peinture écaillée, lettres ne tenant que par miracle. J'ai, sans vraiment réfléchir, poussé la porte.  Une salle plutôt grande, quelques tables hautes éparses, une ambiance garage.... quelques clients plutôt âgés, bedonnants. Seules originalités, le bar qui ressemblait plus à un guichet de prêteur sur gages qu'à un comptoir de bar et l'accès à une cour intérieure à ciel ouvert. 
Globalement, l'assistance clairsemée semblait s'emmerder ferme. Certains discutant autour de bouteilles de bière, d'autres regardant vaguement un écran plat diffusant des films de cul bear. Certains se tripotaient mollement.  Peut-être il y avait t'il une backroom.... Peut-être il y avait t'il plus de monde en soirée...
Dès mon entrée, tous les regards se sont tournés vers moi. ... évidemment, je n'avais pas le look de la maison et je devais faire péter la moyenne d'âge !
J'ai un moment hésité à entrer plus avant.  J'avais vraiment l'impression d'être de la chair fraîche que l'on amenait en pâture dans la cage aux ours; même si ici les ours ne semblaient ni dangereux ni bien vaillants. 
Et puis, une décharge d'adrénaline, des picotements caractéristiques dans le bas-ventre, l'envie subite, inexplicable de réveiller tout ça.....
Ils voyaient en moi une crevette, j'allais leur en donner de la crevette. J'ai fait un pas en avant, fermé la porte de l'établissement. Voilà j'étais dedans, dans la cage aux ours !
Je me suis dirigé lentement, toujours sous les yeux de tous, vers le comptoir.  Aucun des clients n'était à mon goût mais finalement peu importait.. 
C'est là que j'ai croisé le regard du barman.  Un regard tout à la fois interrogateur et intense. C'était finalement un beau mec pour ce que j'en voyais. Torse nu revêtu d'un harnais de cuir, tatoué, très musclé.  
Je me suis approché du comptoir tout sourire et je ne sais pas ce qui m'a pris, les yeux dans les yeux, j'ai demandé un jus de pomme....
- on n'a pas ça ici, m'a t'il rétorqué toujours les yeux rivés sur les miens et avec un sourire malicieux ; ici on boit ça et il me tend une corona. 
- bon, mais finalement ce que je veux, c'est toi ai-je répondu.  
Stupeur ! Ça m'était venu comme ça ! 
Passé la surprise, le barman s'est penché vers moi et nous nous sommes embrassés goulûment avant qu'il m'attire vers lui en m'aidant à grimper sur le comptoir. Couché sur le zinc, le le laissais me caresser le torse sous le tee-shirt tandis que nos langues mêlées, bataillaient avidement. 
Il n'a pas tardé après cela à défaire la ceinture de mon pantalon, m'aider à ôter mon tee-shirt. J'étais maintenant torse nu,  couché sur le dos et tandis que tous les regards convergeaient, il me caressait le torse et le ventre du bout des lèvres.  
- on continue, a-t-il questionné.
- bien sûr ai-je répondu en un soupir.. j'adore qu'on me mate !

Alors il m'a enlevé les pompes, chaussettes, et il m'a aidé à ôter mon pantalon. J'avais envie de garder un moment mon slip blanc car j'aime bien que mon partenaire excite ma queue à travers le coton.  C'est un de mes préalables favoris. 
Il a effectivement caressé, embrasse, mordillé mon sexe qui durcissait sous le tissu avant de libérer ma teub que j'ai tenu dressée bien droite tandis qu'il m'ôtait le slip.  Voilà j'étais entièrement nu, la queue raide sur le comptoir d'un bar bear...
Il s'est penché sur moi pour m'embrasser partout tout en tenant ma verge en main.  De fait il portait outre son harnais des chaps avec rien dessous.  Je pouvais lécher son vit dressé.  Une belle tige épaisse,  veineuse et des couilles lourdes et pendantes. Par de petits coups de bassin,  il la poussait au fond de la gorge et je faisais de même avec lui.  Un tendre tête bêche à quelques centimètres des premiers clients qui nous observaient en sirotant leurs bières. Par moment un doigt venait se glisser entre mes cuisses et dans mon sillon effleurant mon oeillet et moi je gobais tout entier son braquemart jusqu'à ce que mon nez s'écrase sur son pubis rasé. 
Il a quitté subitement le comptoir pour passer côté  clients.  Il m'a soulevé dans ses bras pour me porter à l'arrière de la salle et me poser sur une grosse caisse en bois.  Pour la première fois je le voyais entièrement debout devant moi.  Il était vraiment bandant avec son harnais de cuir sur son torse puissant et ses chaps à même le corps et son dard veineux pointant vers moi. 
Il m'a de nouveau enlacé et embrassé tout en continuant à enserrer ma verge dans sa main. J'étais troublé car nos ébats étaient finalement respectueux,  tendres,  attentionnés.  Rien de brutal,  juste des mecs qui indépendamment du fait d'être observés, voulaient avant tout donner et recevoir du plaisir. 
C'était à moi maintenant de découvrir son corps. 
Je me suis baissé à ses pieds.  J'avais sa queue devant le visage.  Je l'ai prise en main,  brûlante et terriblement dure, elle était légèrement recourbée, le gland humide pointant vers le haut . Je l'ai léchée de haut en bas,  léché ses couilles avant de la gober en entier.  Le nez écrasé sur son pubis rasé,  j'ai levé les bras pour caresser son corps,  ses abdos finement ciselés et ses fesses si fermes. Proche de l'étouffement,  j'ai lâché prise et décidé de lui ôter ses chaps.  J'ai délacé les liens qui les retenaient à chaque jambes et nous étions enfin nus tous les deux. Mes mains fermement accrochées à ses fesses, j
e me suis longuement acharné sur sa bite jusqu'à ce qu'il me propose de changer de coin. Lui aussi avait le sens du spectacle. Il y avait pas loin une sorte d'estrade avec une rambarde à barreaux.  Il est monté dessus , laissant sa tige dépasser des barreaux pour que je l'engouffre à nouveau.  Ce que je me suis empressé de faire, cuisses écartées comme pour laisser deviner aux spectateurs,  ce qu'il y avait au fond du sillon. Il enfonçait sa tige dans ma bouche à coups de reins tandis que je lui caressait les boules et le sillon jusqu'à lui titiller d'un doigt sa rondelle. 
- viens,  je veux ton cul et eux aussi. 
Main dans la main, bites bien verticales,  on s'est approché dune rambarde et d'une table de bar à laquelle deux clients sirotant leurs bières étaient attablés sur de hauts tabourets.
- salut messieurs, auriez-vous un préservatif à me céder ? Je voudrais bien m'empaler sur ce jeune homme... 
Les clients interloqués tout d'abord,  se sont mis à rire et l'un deux après avoir fouillé dans son sac en a tendu un à mon compagnon. 
- j'ai du gel aussi,  si vous voulez !
- auriez-vous l'amabilité de me le poser ? Je voudrais continuer à caresser la douce queue de mon jeune ami. 
Le client amusé a consciencieusement recouvert la teub tendue. 
Pour ma part,  j'ai pris le flacon de gel et j'ai copieusement enduit son dard et mon oeillet. 
Il s'est ensuite collé tout contre moi, sa queue dressée tout contre ma raie m'embrassant dans le cou,  me caressant tendrement,  le torse,  les épaules,  le sexe. 
Puis,  ses doigts sont venus tapoter ma rondelle,  étaler le gel et explorer mon rectum. 
Puis, je me suis cambré au maximum, cuisses écartées,  les mains solidement accrochées à la rambarde. 
Il m'a pénétré doucement,  jusqu'à ce que son pubis se frotte à mes fesses et après quelques instants sans bouger,  il a comme ses va-et-vient tout en douceur et tendresse.  Il voulait vraiment faire durer notre plaisir et vraiment il m'en donnait ; sa verge explorait de manière experte mon cul et je sentais le plaisir m' envahir doucement.  Ma queue dansait au rythme de ses mouvements et je mouillait abondamment.  Quelques clients s'étaient approchés pour mieux voir et apprécier ce mandrin me labourer le cul.  Personne n'osant toucher sauf un qui voulait recueillir un peu de ma mouille pour la goûter. 
- viens,  on sera mieux là-bas.  
De fait, le local donnait sur une cour intérieure avec là encore des tables et des clients attablés.  
Il y avait une estrade en bois avec un grand coussin.  Je m'y suis étendu et il s'est glissé entre mes cuisses en l'air. Cette fois-ci ses coups de boutoir étaient plus secs, plus violents.  Autour de nous certains clients avaient sorti leurs queues et se branlait mollement. Quant à moi, je faisais tout pour lui donner le plus possible de sensations en enserrant sa verge.  Je sentais ses veines gonflées rouler sur mes sphincters.  Il gémissait et venait régulièrement se coucher sur moi pour m'embrasser, me cajoler, reconnaissant du plaisir reçu. Pour un peu, il allait me susurrer entre deux plaintes des mots d'amour!   Je lisais dans ses yeux le plaisir monter inexorable. 
Il me pilonnait pratiquement couché sur moi, ses couilles battaient contre mes fesses et ma bite se dressait à chaque coup de reins. Je hurlais à chaque minute plus proche de l'orgasme. 
Enfin, il s'es retiré, iil a enserré son mandrin dans une main et tous les muscles contractés par l'effort, le visage grimaçant de plaisir, il s'est branlé sur moi. Bientôt, sous les applaudissements, de longs et copieux jets de foutre sont venus s'écraser sur mon ventre très vite suivis par les miens. dans un intense et vibrant baiser, nous avons partagé nos fluides avant de partir tous deux dans un super fou rire. J'avais toujours les jambes en l'air et, en riant, il a invité les mateurs à s'approcher pour venir admirer ma rosace défoncée!









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