22 juillet 2025

Housekeeper surprise




Je travaille depuis quelques semaines dans un fast food pas trop loin de la fac. Cela me permet de payer mon loyer et une partie de mes frais scolaires.
Je suis un fan de lutte et j'ai été super content en apprenant que le vieux hangar proche de mon boulot allait devenir un club d'entraînement pour la lutte. 
J'ai eu l'occasion d'en faire un peu au collège et l'idée de reprendre l'entraînement était séduisante. 
Les nouveaux propriétaires, avaient collé un peu partout des affiches pour annoncer l'ouverture par un concours.  Les sélectionnés auraient un abonnement de 3 mois offert. 
Quelques jours avant l'ouverture,  je m'y suis rendu par curiosité.  Un concierge  était là et m'a laissé entrer. 
Il y avait encore du boulot pour rendre les lieux utilisables mais le tapis était déjà là. 
- je suis très intéressé,  ça vous dérangerai si je passe le soir pour faire quelques exercices avant l'ouverture et le concours ? Je vous donnerais un coup de main si vous voulez. 
- pas besoin, je vous mettrai une  clé derrière la boîte aux lettres et vous n'aurez qu'à refermer derrière vous. 
Le lendemain donc, après mon boulot je me suis rendu à la salle.  Personne bien sûr.  J'étais ravi de passer une heure ou deux à me préparer pour le concours et j'avais pris avec moi ma combinaison de lutte du collège.  
En la revêtant, j'avais oublié comme elle était moulante... et c'était plutôt agréable à porter. 
En faisant mes exercices au sol,  je ne me suis pas aperçu tout de suite que je n'étais plus seul. Un homme en tenue de travail était là et me regardait.  Depuis combien de temps? Il avait un air bizarre et je me suis senti soudain vulnérable dans ma tenue moulante.  J'avais l'impression que l'on ne voyait - qu'il ne voyait- que la protubérance formée par mon sexe.. 
Le gars était là pour faire un peu de ménage. Après lui avoir donné quelques explications sur ma présence. Il m'a indiqué qu'il avait été lutteur lui aussi. 

- super ta tenue ! Ça te va bien dit-il En regardant de manière insistante mon entrejambe, mais elle est un peu usée,  tiens essaie celle-ci et il me tend une tenue de combat en lycra bleu. 
J'ai un peu hésité ; d'abord j'aime bien ma combinaison et puis surtout je ne voyais pas où j'allais bien pouvoir me changer..ni pourquoi.. mais il y avait dans le regard du gars quelque chose de sensuel voire plus.. je le suis exécuté 
- soit pas timide,  pas besoin de faire de chichi..
A ces mots,  j'ai commencé à sentir des papillons dans le bas-ventre et en me déshabillant je savais que j'allais montrer une gaule bien raide. 
je suis resté comme ça devant lui à poil,  la queue dressée. 
Admiratif,  il a attendu quelques secondes sans faire de commentaire avant de me tendre la combat bleue, 
Évidemment,  ma queue faisait une barre bien droite sous le lycra. 
- si tu veux,  je te montre quelques mouvements qui t'aideront pour le concours. J'ai trouvé ça bizarre et plutôt malsain mais malgré tout excitant.. je sentais bien que la situation au complet était plutôt incongrue et malsaine...
Sans attendre ma réponse,  il a  dézippé sa tenue de travail.  Il était nu dessous et il bandait aussi. 
- si tu permets,  je vais mettre ta combinaison,  finalement elle n'est pas si mal. Comme fait exprès,  il est resté quelques instants nu face à moi,  le temps de retourner ma combinaison et de l'enfiler ; le temps surtout de me laisser entrevoir une belle tige demi-molle certes mais déjà de belle taille et très épaisse. 
C'est revêtu de ma tenue moulante déformée par son érection qu'il s'est positionné devant moi. 
On a fait quelques mouvements frôlant à chaque fois nos queues respectives.  À  un moment il a glissé sa main dans ma combinaison pour en sortir par mon vit et j'ai fait de même.  C'était marrant de voir nos verges balloter ainsi !
Rapidement le jeu a consisté à " celui qui déshabille l'autre gagne". 
On s'est très vite retrouvés l'un et l'autre nus, sexes érigés et nous avons continué un moment à lutter dans un corps à corps endiablé et de plus en plus sexuel.  Le désir était là,  plutôt de raison pour le nier.  La suite serait un jeu... On s'est regardés dressés l'un face à l'autre, corps en sueur.  Il s'est approché de moi,  nous nous sommes enlacé,  embrassé,  caressé puis,  par une prise surprise,  il m'a basculé sur le sol. On a lutté quelques minutes comme pour retarder l'inévitable dans un corps à corps endiablé etvde plus en plus sexuel

Enfin, après m'avoir maîtrisé dos au sol,  jambes écartées,  il s'est emparé fermement de ma teub. Dans un dernier effort pour me dégager, nous nous sommes retrouvés tête bêche et moi aussi je me suis emparé de sa bite.
Voilà ça y est,  il n'est plus question de coaching ou de lutte mais de sexe. Ce mec même plus vieux que moi me fait envie. Sa peau,  son sexe,  sin cul, je le veux. 

Ma queue rentre facilement dans sa gorge, son nez est plaqué contre mon pubis alors que je sens sa langue s’agiter. Il me recrache que pour reprendre de l’air et me masturbe en attendant. Je le laisse me faire quelques gorges profondes puis je plaque ma tige recouverte de salive contre mon ventre.
Ses mains quittent mes couilles mais sont vite remplacées par ses lèvres. Il me lèche, les prend en bouche, les lèche de nouveau puis les aspire l’une après l’autre. Je lui demande de les mordiller mais il a un peu peur d’y aller comme j’aime. Il abandonne mes boules pour me reprendre en bouche. Il me suce à différentes cadences, ses mains l’aident toujours dans son travail.

Sans plus hésiter, je me mets moi aussi à lécher ses couilles qui ont l’air bien pleine ! J’approche ma bouche de sa queue et je commence à le branler en lui donnant des petits coups de langue sur son gland. Puis, j’enfourne son mandrin dans ma bouche, jusqu’aux couilles. Son gland va vite toucher ma gorge. Il me faut quelques secondes pour me faire à sa teub... mais j’arrive à tout prendre en bouche. Hm... je me sens enivré par l’odeur de mâle qui se dégage de ses poils de son pubis.

Je le suce lentement, mais il donne des coups de reins, ce qui me fait comprendre qu’il faut que j’accélère... Ce que je fais, bien évidemment. Je le suce avidement et il se laisse faire. Puis, il se retire de ma bouche et nous enlaçons sauvagement; j’admire alors son corps. Un fin duvet recouvre son torse ainsi que le milieu de son ventre. Ses bras et ses jambes sont un peu poilus. Il a un pubis recouvert de poils denses mais un peu taillé. Sa queue de 20 cm, est très épaisse : ma main arrive à peine à en faire le tour. Il a des boules pendantes et rasées qui ont l’air bien remplies.
Soudain, il me fait me relever.
- j'ai envie de jouir de ton cul,  descendons.  Tu vas t'appuyer contre le ring,  cuisses écartées et tu vas me montrer ta rosace. 
Je me suis exécuté, bien cambré et cul à découvert en écartant mes fesses des deux mains. 
Lui était assis juste devant, admirant ma rondelle tout en se caressant la hampe. 
Il se lève écarte mes fesses... et il enfonce directement sa langue dans mon anus. Il se met alors à me brouter le cul de façon démente. Je gueule directement de plaisir ! Puis, il enfonce un doigt dans mon anus et il va me titiller la prostate. Je crie encore plus fort.
Il s'éloigne ensuite quelques instants 
- ne bouge surtout pas ! Me dit-il en farfouillant dans son sac ouvert.  Il en sort une sorte de gode qu'il glisse sur...son balai ! 
- hey ! Ça va pas non ?! 
- t'inquiète,  c'est pour te préparer à ma queue ; tu vois pas que ce truc est moins épais 

Et après avoir craché abondamment sur mon œillet,  il commence à l'introduire doucement...  je suis le premier étonné de voir que je l'accepte assez facilement..
- c'était pas la peine de prendre le balai,  ...dis-je entre deux halètements 
- ça permet juste de faire entrer le gode entièrement,  dit-il en poussant d'un coup,  l'engin en moi,  me faisant hurler. 
- voilà,  un beau trou prêt à m'accueillir,  dit-il après l'avoir entièrement retiré...
Et voilà qu'il m'écarte les sphincters avec les doigts 
Avant de cracher dedans ainsi que sur sa queue. Puis, il positionne son gland contre mon anus et il s’enfonce en moi, lentement, mais sans faire d’arrêts. Quand je sens ses poils de pubis contre mon cul, je pousse un soupir sachant qu’il est au fond de moi. Il marque une pause, le temps que je m'habitue à sa queue dans mon cul. Il me saisit les hanches et il entame de lents mouvements qui se transforment vite en un pilonnage en règle. Sa queue est vraiment bien épaisse mais je suis tellement excité par la situation que je mouille à fond. Ensuite, il me fait retourner, je me retrouve sur le ring, je passe mes jambes autour de ses hanches et il me porte tout en s’enfonçant en moi. Il recommence sa baise. 
Le mec me défonce bien. Je gémis fort. Parfois, il s'arrête, sa queue enfoncée en moi. Puis, il recommence à me labourer. Il me pilonne l'anus à fond dans une cadence régulière et hyper profonde. Il me tient bien, appuyé contre le mur et je suis vraiment bien empalé sur sa teub. Je sens ses couilles contre mon cul sur lequel elles claquent car ses mouvements de va-et-vient sont de plus en plus rapides.
- Joue avec mes tétons !
Je me mets à malaxer et à pincer ses tétons.

- Tu veux mon jus ?
- Oui !
- serre ton cul à fond contre ma teub.  
Je sens sa queue durcir  et ses veines gonflées de sang frotter contre mes muqueuses; très vite, il pousse un cri de jouissance. Je sens alors les soubresauts de sa teub qui décharge dans mon cul. Ce sont de longues et puissantes giclées. J’ai l'impression qu'il ne va pas s’arrêter de gicler. Il libère bien une dizaine de jets dans mon cul. Putain ! Il ne s’était pas vidangé depuis un moment. Il redonne des coups de bite, tassant son jus.

Quand il ressort, sa semence dégouline hors de mon anus. Il saisit ma bite et il la branle. Je suis tellement chaud que je jouis une grosse quantité de sperme un peu partout, sur mon ventre, sur mon torse et même sur mon visage. Il se penche sur moi et il m’embrasse, prenant par la même occasion un peu de mon sperme dans sa bouche.
Je me penche sur lui et je lui nettoie sa queue qui est devenue molle. Son gland est humide, encore recouvert de sperme. J’avale bien sûr tout avidement.
-c'était ta première fois? 
Je fais oui de la tête, 
- et ben on peut dire que tu t'es bien débrouillé,  t'aurais dû commencer avant ! Allez, 
On a bien mérité une douche,  reviens demain,  peut être qu'on aura envie de s'entraîner...ou pas....



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire