13 avril 2020

Le club de lutte (conte revu et corrigé)



j'avais rejoint, cette année là, une université américaine de la côte ouest. J’étais un jeune mec, plutôt grand et très musclé ayant fait beaucoup de sport enfant et adolescent.
Personne ne soupçonnait que j’étais gay Je n'en faisait pas mystère mais je ne l'affichait pas non plus. 
J'appris l'existence d'un club de lutte, comme d'ailleurs dans beaucoup d'université de ce coté-ci de l'atlantique.
Outre, l'intensité sportive de ce sport, j'avoue que le corps à corps avec d'autres mecs, les maillots de lutte si près du corps m'attiraient et me motivaient.  Je m'y rendis assez rapidement pour "essayer".

Lors de cette première visite, deux lutteurs étaient sur le tapis de lutte. L’un d’eux maintenait l’autre accroupi, immobilisé sur lui. C'était exactement ce qui me fantasmait et m'attirait dans ce sport alors, forcément Je me mis à bander dans mon jogging quand je réalisai que celui de dessous devait forcément sentir la bite de l’autre contre son cul, à travers leurs maillots. Quand il réussit à se dégager, ils se redressèrent. Celui qui maintenait l’autre avait une bosse éloquente.
  Se presser contre le cul de l’autre l’avait fait  effectivement bander.

 Ce qui semblait habituel et normal car personne ne semblait y prêter grande attention et le jeune lutteur ne  semblait pas gêné outre mesure, il se remit simplement les "choses" en place tout en se rendant aux vestiaires.
 Le soir même, je m’inscrivis. 

 Bien sûr, je ne fus pas admis tout de suite à combattre. J'eus tout d'abord le droit de venir et regarder, puis j'eus  des cours particuliers avec le coach, Mike, qui m’enseigna les règles du combat, et me fit m’entraîner. 
Au bout de quelques leçons et exercices, une fin d’après-midi, j'eus mon premier combat avec lui. Il avait, me dit-il choisi cet horaire, pour me mettre à l'aise, afin de ne être pour ce premier essai, sous le regard critique ou amusé des autres élèves.

Je n'avais pas encore acheté de maillot de lutte, je combattis en short et torse nu, le coach par contre portait son "singlet" de lutte.

Bien sûr, j’eus très vite le dessous et me retrouvai immobilisé, accroupi moi aussi, Mike au-dessus de moi. Et je sentis sa bite contre mon cul. Il ne bandait pas, mais je la sentais bien. A ma seconde immobilisation, j’étais à plat ventre, Mike au-dessus de moi. Je me tortillais pour me dégager. Mike continuait cependant à me maintenir plaqué. Et à force de remuer sous lui, je sentis sa bite se durcir. La mienne en fit de même. Mike mit fin au combat, en me disant que, pour une première fois, ce n’était pas si mal.

Nous allâmes prendre notre douche ensemble. J’étais encore gêné car encore un peu en érection, mais je me sentis beaucoup mieux, quand je vis mon coach qui me regardait d'un drôle d'air, la bite  « au garde à vous ». Si je restai interdit quelques instants, ne sachant pas comment agir, ma verge "s'exprima " à ma place en se dressant complètement.

Avec un clin d’œil, il me prit par le cou, et me pencha vers sa queue. Mike avait une trentaine d’années, et un corps d'athlète très attirant. A mon âge, je n’avais pas encore eu beaucoup de relations sexuelles avec des hommes, mais je savais les sucer. Je me mis donc au travail avec grand plaisir. Pendant ce temps, Mike se savonnait les mains, et je sentis bientôt une main me parcourir les fesses, et atteindre mon trou du cul, dans lequel il inséra, puis bougea un doigt savonneux. Très excité, je me branlais, à la limite de la jouissance. Mike ne tarda pas à éjaculer dans ma bouche, et j’envoyai mon sperme contre sa jambe. Un peu gênés, nous finîmes de nous doucher sans un mot.
Le lendemain après-midi, je revins au club, où deux mecs combattaient. Dès qu’il me vit, il vint vers moi, et m’invita à aller discuter un peu, dans son bureau.
« J’espère que tu me pardonneras ce qui s’est passé hier sous les douches, mais j’étais très excité »
« Je n’ai rien à te pardonner, j’ai bien apprécié »
« Tu t’es déjà fait baiser par un mec ? »
« Une seule fois, dans des toilettes publiques, par un mec d’une quarantaine d’années. Il me semblait pressé, et je n’ai pas vraiment apprécié » . 


«  La première fois, c’est toujours un peu difficile, surtout si le mec n’y va pas en douceur. Si ça te dit  d’essayer à nouveau avec un mec qui saura te donner du plaisir, tu peux toujours faire appel à moi. Mais, dans l’immédiat, je voudrais te parler d’autre chose. Tu n’as pas encore beaucoup de technique, mais ta musculature compensera ce défaut.  J'organise de temps en temps,  le soir des combats  "un peu particuliers " pour quelques spectateurs "avertis" et ça peut te faire un peu de fric. Faut juste aimer le cul et être  un  peu exhib et je ne crois pas me tromper en ce qui te concerne...
J’aimerais bien te voir combattre avec Tom, un nouvel arrivant, moins musclé que toi mais "tout aussi sensible", tu vois ce que je veux dire. Quand je l’ai entraîné, j’ai, sans le vouloir, fait glisser son short, et comme dessous, il ne portait qu’un jockstrap, il s’est retrouvé le cul à l’air devant quatre ou cinq gars qui regardaient le combat. Ça n’a pas sembler le gêner, bien au contraire, car il bandait bien sous le jockstrap. Je te propose de le rencontrer demain soir . Et n’oublies pas le challenge : essaie de lui baisser son short en premier!
Ensuite,  la seconde partie du combat se fera en jockstap. 
- Ok pourquoi pas! je vais aller m'en acheter un.
-Oh tu sais, me répondit-il avec un petit sourire salace, tu n'auras peut-être pas à te donner cette peine, ici tout le monde en as, et il y a toujours un gars qui oublie le sien dans les vestiaires ou dans les douches! Tu n'auras qu'à en "emprunter " s'il y en a un qui traîne. 
Et effectivement, j'en vis un abandonné à un crochet de la salle de douche. Je le décrochai mais je constatai qu'il avait été porté et pas qu'un peu  ce qui de prime abord, me rebuta un peu; je me dis qu'il me suffisais de le laver sous la douche mais, en le portant instinctivement à mon visage, il fleurait bon le mec; un acre mélange de pisse, de sueur et peut-être de sperme. Cela me provoqua d'intenses picotements dans le bassin et je décidai de la garder ainsi; peut-être appartenait-il à Tom,...espérant que Tom m’ôterait aussi mon short et ainsi le reconnaîtrait. 

A 22 heures, Tom et moi, étions sur le ring devant une petite dizaine de spectateurs, dont notre entraîneur. Je supposai, vu l'objectif fixé par lui la veille au soir, que ces spectateurs étaient "avertis" car, on allait s'éloigner quelque peu du combat de lutte traditionnel. Tout en combattant, je cherchais à lui baisser le short. J’y parvins à moitié. Je le basculai à terre, moi sur le dos, et lui maintenu sur le dos, au-dessus de moi, puis, passant un pied entre les jambes, lui fit complètement glisser le short, en le repoussant avec mon pied. Je glissai ensuite mes deux jambes entre les siennes, les écartai, en écartant aussi ses cuisses. Je relevai alors mes jambes, offrant son entrecuisse nue aux regards de tous, son trou du cul bien visible. Du coin de l’œil, je vis que les gars autour du ring appréciaient bien le spectacle.


Il se dégagea et nous nous remîmes debout. Bien sûr, il chercha lui aussi  à baisser mon short, et, après un semblant de résistance, je me laissai faire. Mon short aux chevilles me gênant pour combattre, je m’en débarrassai. Égalité ! Nous étions tous deux dégoulinant de sueur dans nos jocks face à l'assistance, ravie.

 Nous luttions maintenant debout, chacun les mains aux épaules de l’autre, cherchant à basculer l'autre à terre.
- petit dégueulasse, me glissa t-il à  l'oreille, tu m'as chipé mon jock bien crade!... ce qui me déstabilisa un instant..
Pour être plus stable, j’écartai alors bien les jambes, et me penchai vers lui pour le faire basculer, sans y parvenir. Cela étant, j’exposais bien ma raie du cul aux spectateurs. J’entendis quelques petits sifflets admiratifs et la mine satisfaite de Mike.

Après quelques prises, après avoir l'un et l'autre touché le sol plusieurs fois, Notre coache siffla la fin du combat, nous déclarant ex-aequo et donnant rendez-vous à l'assistance pour une prochaine finale.

Nous avions une drôle d'allure, debout , en nage, de chaque coté du coach nous levant le bras en signe de victoire!  la verge de Tom à moitié sortie de son suspensoir et moi avec mon jock débraillé avec un des élastiques décousu et pendant!
Deux autres lutteurs entrèrent sur le tapis sous les applaudissements et tandis que nous faisions route vers les vestiaires, Mike me glissa à l’oreille:
« Merci pour le spectacle bien bandant que vous nous avez offert. Pour l’autre sujet dont nous avons parlé, si tu es intéressé, je suis seul dans ma chambre ce  soir »

Vers Minuit, n’y tenant plus je partis pour rejoindre le coach chez lui de l'autre côté du campus.
Je n’avais pas mis de slip sous mon short en mesh et mon gland décalotté frottait contre le tissu accentuant encore mon envie de sexe .  
En entrant dans son studio de prof, je le vis dans une pénombre très étudiée, assis sur son canapé en conversation téléphonique ; il ne portait qu’un slip ouvert et un marcel.  Pour mettre de l’ambiance, il m’offrit un whisky et  alluma la TV pour me faire voir un DVD de lutte qu’il avait filmé.  Un peu étonné et déçu,  je n'étais pas venu pour ça, il me dit
- tu vas vite comprendre et tu vas aimer,  sûr !

Ça ne m’étonna pas de voir les combattants s’enlever leur short et combattre en jockstrap.  Cela rappelait simplement notre combat avec Tom. Non, ce fût l’étape d’après qui me stupéfia. Un des lutteurs avait immobilisé l’autre à plat ventre sous lui, il se souleva un peu, sortit sa bite et la frotta contre la raie de l’autre, puis, d’un coup de rein, la lui enfila et se mit à l’enculer sous les vivats des spectateurs. 
- Mais c'est quoi ça!? je reconnais notre salle! c'est hyper chaud! Si ça te branche, c'est une bonne façon de se faire un peu de fric. 
Ma queue était vraiment à l'étroit dans mon short et mon gland poussait le tissu et transparaissait .
Me jugeant suffisamment excité, Mike enleva son slip. Je fis de même avec mon short. Il me conduisit alors dans sa chambre, et m’allongea à plat ventre sur son lit. Il commença à me caresser la raie du cul avec sa main. Puis, m’écartant les fesses se mit à me lécher la raie et le troufignon;  Lubrifiant un doigt, il me massa doucement la rondelle, en faisant des ronds, en appuyant progressivement de plus en plus fort. Je sentis mon anus s’ouvrir et un doigt me pénétrer. Il recommença avec deux doigts. 
Il me prépara longuement,  délicatement puis me jugeant suffisamment prêt, il  me releva, 

appuya sa queue contre mon trou du cul. Je le sentis s’ouvrir sous la pression, et sa bite chaude et douce pénétrer lentement en moi. Impatient, je m’empalai sans effort dessus. Mike commença alors de lents va et vient. Je sentais avec extase sa bite me caresser les intérieurs, ses couilles cogner sur mes fesses . 
Il augmenta progressivement sa cadence et je commençai à gémir de plaisir. Quand il se retira, après une longue et bruyante extase, j’avais joui sous moi.
Il accola sa bouche contre ma raie, lécha goulûment sa semence qui s'écoulait doucement de moi et puis, me retournant, lécha ma queue de ma propre semence et partagea en frère dans un long et pénétrant baiser.
« T’as aimé ? »
« C’était génial ! On recommence quand tu veux ! »
« Désolé de ne pas pouvoir t’offrir de prendre une douche, mais elle est en panne ».
Une tape sur la fesse, un baiser léger et fugace,  il était redevenu le coach.
- allez au lit maintenant,  je suis sûr que tu va bien dormir et demain une rude journée t'attend. 
Je renfilai mon short et rentrai chez moi.

Je retrouvai Mike à l’entrainement le lendemain. Il me prit à part
« J’espère que tu ne m’en voudras pas, mais je t’ai joué un petit tour, hier soir. Ma douche n’était pas en panne, mais Tom était caché dedans. Il a tout maté, et filmé et a beaucoup apprécié... ton potentiel et ta queue surtout... En échange il te propose de le baiser quand tu veux!". 

Le soir, même, Je saisis la balle au bond, et allait frapper à la porte de Tom.
-entrez, c'est ouvert,  entendis-je derrière la porte 
 Il était tranquille sur son lit,  un bouquin à la main.  Je le trouvais super sexy torse nu , les jambes légèrement écartées avec son short  entrouvert.
- tu viens me rendre mon jock?, dit-il avec un sourire malicieux,  tu t'es pas branlé avec  j'espère.. quoique,  ça doit être excitant nos deux spermes mêlés ! Tu sais,  j'ai pas dû le laver depuis longtemps,  il devait bien schlinguer !!! Humm  trop bandant. Ajouta t'il  en se frottant l'entrejambe ..
- il paraît que tu aimes bien mater et que ma queue te plaît.. et bien tu vas y goûter  aussitôt  dit, je me débarrasse  de mon short et de mon marcel et me précipite sur lui pour lui écarter les cuisses et fourrer mon nez dans dans son entrejambe et humer les senteurs épicées de son intimité; comme un avant-goût de la suite.
Je le fis mettre à genoux, sur son lit, cul tourné vers moi. Je lui baissai son short aux genoux, le lubrifiai sommairement, et le baisai assez « virilement ».
- elle est bonne,  vas-y,  défonce-moi,  bourre-moi 
gémissait-il tout en se branlant.
- putain,  j'aime sentir tes couilles contre mon cul! C'est trop bon!
Après avoir joui copieusement en lui, je me retirai et restai un moment admiratif devant son cul encore ouvert, les premières gouttes de ma semence gouttant le long de son périnée. j'en recueilli quelques une que nous partageâmes tandis qu'il se branlait furieusement; une puissante et copieuse giclée vint s'écraser contre mon torse et mon visage, là encore, nous nous régalâmes.
Après, enlacés sur son lit,  Il m’expliqua que Mike voulait organiser le lendemain un combat « spécial » entre nous deux, la fameuse "finale" avec enculades sur le tapis. Pour préserver la confidentialité de la chose, le match aurait lieu à 23h, devant une quinzaine de spectateurs, dont Mike était sûr de la discrétion. Je fus bien évidemment tout de suite d’accord.

A 22h30, le lendemain, nous allâmes trouver Mike, pour recevoir ses consignes. Il n’y en avait aucune, sauf de bien se battre, de bien mouiller , de se donner à fond... dans tous les sens du terme devant les spectateurs. Nous nous mîmes en tenue dans les vestiaires, mon suspensoir recousu - ou devrais-je dire celui de Tom? - et un short rouge; même chose pour Tom mais en bleu.



Dès le début du combat, je sentis Tom  désireux de donner du "grand spectacle".
Il se défendait bien,  résistant à mes assauts. 
La tension était palpable chez les spectateurs.
Dans une attaque,  il réussit à m'ôter le short, m'obligeant  à redoubler d'efforts pour l'en débarrasser à mon tour.
Quand nous nous retrouvâmes  enfin tous deux en jock , les corps ruisselants  de sueur,  une ovation de la salle  nous encouragea à combattre .
Nos corps glissaient l'un contre l'autre.


A plusieurs reprises, nous nous retrouvâmes  face contre cul, face contre couilles.  L'odeur âcre de nos sueurs mêlées nous excitaient tellement que nos verges  commençaient à être à l'étroit dans les suspensoirs. 
Dans un instant favorable  je réussi à lui ôter le sien, libérant dans l'approbation générale sa bite semi raide.
Mon avance fut de courte durée,  peu de temps après,  la surprise passée,  Tom fit de même avec le mien,  provoquant de nouveau l'enthousiasme de la salle.
A  la faveur d'une belle prise,  Tom se retrouva coincé ventre à terre. Je jubilais! Son beau cul était à merci, je lui donnai une fessée de la main puis lui écartai les fesses un instant pour cracher sur son trèfle. 

- ça c'est pour tout à l'heure,  criai-je, provoquant des ricanements excités. 
Je le rejetai à plat ventre sur le sol, puis me relevai, à poil,  la verge turgescente et me fis mater ainsi quelques instants.
Bien sûr,  il n'en fallut pas plus pour que Tom, se jette sur moi et que le combat reprenne de plus belle.
Mais,  rapidement,  je repris le dessus et je compris d'un geste de Mike qu'il nous fallait conclure. 
Peu de temps  après,  je  le mis de nouveau ventre à terre et épuisé, s'avoua vaincu.
Sous les bravos de la salle, agenouillé derrière Tom, j’attirai son cul vers moi, lui écartai les jambes, me couchai sur lui  et l'enserrant entre mes cuisses,  frottai ma queue entre ses fesses; les cuisses bien écartées moi aussi, je savais mes fesses bien ouvertes, offertes aux regards. Je sentais l'air me rafraîchir la rondelle et cela m'excitait encore plus. 
Un silence lourd et concupiscent se fit. Soulevant  le bassin, j’enfilai sans peine son cul déjà lubrifié par la sueur, déchaînant les applaudissements.
Après quelques coups du bassin pour bien ouvrir le passage, je me dégageai assez vite, le retournai sur le dos, et vint m’accroupir au-dessus de son visage, lui offrant ma croupe qu’il s’empressa de lécher ainsi que ma rosette. L’ambiance devenait de plus en plus chaude. Je me mis alors à quatre pattes, et Tom vint m'empaler  sous les sifflets des spectateurs déchaînés. La veille, je n'avais pas vraiment prêté attention à son braquemart et je dois dire qu'il en imposait! Chauffé à blanc par le combat, l'ambiance, les spectateurs, je n'eus aucun difficulté à "engloutir" son engin et à encaisser les coups de butoir qu'il m’assénait; Pour communier dans la jouissance avec Tom, j'enserrai  de tous mes muscles sa verge comme dans un fourreau , faisant corps avec elle; je sentais ses veines se gonfler à chaque instant un peu plus tandis que sa jouissance montait, montait, jusqu'à l'explosion finale qui nous emporta tous les deux pratiquement ensemble. 
nous nous séparâmes trop rapidement à notre goût.  Nous nous redressâmes brillant  de sueur,  nos sexes encore durs et  encore luisants de sperme; sa semence coulait le long de ma jambe, comme j'eusse aimé m'en délecter! 
sous les applaudissements des spectateurs, certains pantalons baissés et queues dressées Mike nous félicita pour "la qualité de notre prestation ".. 

Tom et moi partîmes prendre une longue douche pleine de tendresse. Nous nous lavâmes mutuellement,  épuisés mais heureux et fiers.

Les deux jours suivants étaient des journées de week-end. Bon nombre d’étudiants rentraient chez eux, et le club était fermé. Le dimanche après-midi, je croisai un des spectateurs de mon combat, qui me fit un clin d’œil complice: 
- Tu as aimé? lui demandai-je
- Ouais tu as été très exhibitionniste et très chaud , j'ai super bandé !
- Qu’as-tu préféré : me voir enculer ou me voir me faire baiser ? 
- Plutôt te faire baiser , j'ai adoré voir sa belle queue te pourfendre
- Tu vas remettre ça,  j'espère ?
Je répondis par un sourire 
- Peut-être ! dis-je en le quittant


Quelques semaines après, j'avais, de l'avis même de mon coach, fait de réels progrès et je pouvais maintenant m'entraîner avec les autres étudiants; j'avais aussi fièrement étrenné mon premier maillot de lutte  et j'attendais avec impatience d'avoir un meilleur niveau afin de concourir avec le maillot aux couleurs de l'université. 
Tom et moi, étions devenus les meilleurs amis du monde et notre entrainement "sportif" allait bon train également. Mike était redevenu notre coach et nous n’eûmes plus l'occasion de baiser ensemble, à mon grand regret car j'appréciais toujours son corps athlétique lorsque il prenait sa douche avec nous.

 Et c'est alors que Mike m’annonça qu’il voulait organiser un nouveau combat "spécial" entre moi et un dénommé Theo. Il m’expliqua que Theo était plus musclé et plus expérimenté que moi, et que donc ce serait lui qui surement me dominerait mais que cela serait " à tous points de vue" une bonne expérience pour moi
Il me dit , énigmatique:

- tu as visiblement aimé ma queue et celle de Tom, celle de Théo sera un vrai régal!  que du bonheur, pour toi et les amateurs évidement!



A suivre.....



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