14 avril 2020

Le club de lutte (conte revu et corrigé) suite et fin


Le combat était pour ce soir; malgré nos efforts et malgré notre assiduité à Tom et à moi aux séances d'entrainement , nous n'avions pas réussi à identifier ce Dave que j'allais affronter mais, je m'estimais bien entraîné et prêt à affronter un lutteur de cette catégorie. La dimension "spectaculaire" du combat quant à elle ne me tracassait pas outre mesure , je savais que j'allais aimer me donner en spectacle!
Tom m'avait accompagné car il souhaitait m'encourager bien sûr mais aussi assister au combat. 
Mais au préalable il devait m'aider à réaliser la dernière exigence de notre coach: épilation totale du corps pour ce combat.
Dans le vestiaire, nous nous étonnâmes de ne pas rencontrer mon adversaire, Mike avait sans doute voulu poursuivre la surprise jusqu'au bout et lui avait sans doute demandé de se préparer dans le vestiaire des filles.
Après une longue douche chaude,  Tom commença à  l'aide de ciseaux à débroussailler le pubis et tout mon matériel  puis il   recouvrit l'ensemble  de mousse à raser et rasa méticuleusement. 
Ma queue du coup semblait plus longue et imposante surtout que l'opération n'était pas  sans sensualité et avait provoqué un début d’érection  . Ensuite,  Tom me fit mettre à quatre pattes,  les cuisses bien écartées pour tartiner ma raie et  raser les quelques poils qu'il y avait.
- voilà   me dit-il,  , c'est nickel et tout doux.  Ton trou de balle est superbe et on le voit bien maintenant ! Un peu de crème adoucissante et tu seras prêt ! Après une nouvelle douche rapide  et sous le regard amusé de Tom, j'enfilai le suspensoir qui fut le sien, réparé mais toujours pas lavé depuis; c'était devenu une sorte de vêtement fétiche, une sorte de "porte-bonheur". j'allais pour enfiler mon short de combat, quand Tom voulut se coller le nez sur la bosse du jock
- hmmm, bientôt il tiendra debout! que d'odeurs mêlées! me dit-il après avoir humé bien fort le tissu.
Quelques minutes après, Mike donna le signal et je rejoignis la salle de lutte; les spectateurs semblaient plus nombreux que la dernière fois,  plus bruyant aussi. 
curieusement, le tapis habituel était ce soir recouvert d'une sorte de bâche rouge mais je n'eu pas le temps d'y penser plus longtemps ; Mike me présenta sous les applaudissements et appela mon adversaire, Dave.
C'était, on ne peut le nier, un beau mec; pas beaucoup plus grand que moi, peut-être plus sec,  blond, de peau très blanche  comme une peau de roux, un beau visage rieur aux yeux bleus et sa chevelure coupée court.
Les présentations faites, les spectateurs commencèrent à crier "les shorts!", "les shorts!" ... Dave qui avait sans doute vécu cela me fit signe qu'il nous fallait les enlever; sans doute voulaient-ils que le combat se déroule en jockstap; je m’exécutai donc et nous nous retrouvâmes Dave et moi debout dans nos jockstrap, face à eux. 

Mike se rapprocha de moi juste avant de donner le coup d'envoi  et me glissa à l'oreille:
-belle bête, hein? amusez-vous bien et.. donnez leur du  chaud !
Les premières empoignades me démontrèrent que j'avais à faire à du sérieux. Et je me retrouvais à terre souvent, trop  souvent. Nos corps à corps étaient intenses et j'avais du mal à me dégager  me retrouvant plusieurs fois le nez collé entre  les lanières de son suspensoir ou le visage écrasé contre sa bosse. 
A la fin de ce premier round j'étais fatigué et  il menait  très largement 12 à 3!
C'est alors que Mike arriva avec un flacon,  que l'assistance cria 
- à poil! A poil!

Il fallut donc ôter nos jockstrap, pour le coup,  je le découvrais  dans sa nudité ; une longue et épaisse verge  et des couilles bien pendantes.
Mike nous aspergea alors d'huile  et nous dûmes  nous recouvrir tout le corps.
Après ce rapide massage, le spectacle de nos corps respectifs luisants et la perspective du combat à venir raidissaient déjà nos bites.

Le coup d'envoi donné, face à face, nous tenant les épaules nous cherchions la meilleure façon de faire basculer l'autre; le spectacle devait être superbe pour ceux qui avaient la chance de voir par derrière, ses couilles se balancer 
entre ses cuisses écartées, fesses entrouvertes et ce merveilleux mandrin  semi-raide  qui gigote au milieu tel un pendule, cela devait être hallucinant.
Mais voilà, ne pas se concentrer sur ce que l'on fait fait baisser la garde et je me retrouvai de nouveau dos au sol. 
Un sol recouvert d'huile comme nos corps, ce qui rendait difficile tout mouvement, toute prise. c'est ainsi qu'il glissa, se retrouvant sur moi, tête bêche. j'avais son périnée sur le nez , ses couilles sur ma bouche et une vue plongeante sur ses fesses écartées et sur son œillet; instant fugace, car il attrapa soudain  ma queue d'une main serrant et tirant fort provoquant alors une douleur qui me fit lâcher prise; coup de sifflet du coach - ce qui était encouragé dans un combat de ce type n'en était pas moins hors règlement - 
Nous nous levâmes et de nouveau face à face cherchant à faire basculer l'autre. ce coup-ci , j'eus plus de chance, j'arrivais mieux semble t-il à m'accrocher à ses membres huilés et j'avais donc plus de force dans mes prises;
le voici dos au sol et moi sur son torse lui écartant les bras tout en coinçant les cuisses avec mes jambes; je jubilais! tandis que, tel un cheval sauvage, il tentait vainement de me désarçonner. dans une tentative peut-être plus forte que les autres, il réussit à me soulever les fesses de son torse mais ce fut pour mieux retomber sur lui mais, cette fois-ci ma queue se cala sur son visage ce qui provoqua l'hilarité de l'assistance. Enfin, énervé voire humilié, d'un coup de bassin , il réussit à se dégager les jambes et à m’enserrer par les épaules et à me faire tomber; j'étais maintenant sur le ventre , lui sur moi mimant un cavalier en me fessant violemment ;  un doigt dans mon cul bien huilé provoqua une vague  d'approbation dans la salle et l'encouragea à continuer de plus belle ;malheureusement, j'étais vraiment immobilisé, et cette position rendait difficile tout mouvement de libération . c'est alors qu'il fragilisa sa position en voulant m'attraper de nouveau les gonades ce qui le fit glisser et me redonna l'avantage. nous retrouvâmes de nouveau tête-bêche en chiens de fusil, sa tête coincée entre mes cuisses  - littéralement son visage contre mon cul - et moi le visage contre son ventre serrant de mes bras ses cuisses qu'il tentait d'écarter pour me coincer lui aussi. Je Gobai alors sa gaule  en érection là encore  sous les bravos. 
De nouveau le coach siffla, nous pûmes nous relever et reprendre le combat. Nos corps luisaient.Il se redressa triomphalement sous les applaudissements de la salle , bandant maintenant totalement   sans doute à l'idée de recevoir son dû...
 Peu de temps après, je réussi à le mettre à terre, mais c'était trop tard,le gong sonna et j'avais trop de retard en points. il me tenait serré par les cuisses au dessus de lui , je ne pouvais me dégager et, j'avais beau tenter soulever mon bassin et mes jambes pour tenter de me libérer, je n'y parvenait pas;  il me fallait me faire une raison, j'avais perdu.  Tandis que je tentai de me relever, il me prit par la tête et approcha son braquemart turgescent de ma bouche; c'était le prix, surement un début... puis il me commanda de me lever et de lui présenter mon arrière-train et, sous les hourras hystériques des spectateurs, il revêtit la capote que le coach lui tendait et il m'empala direct , à fond. C'est ainsi qu'une nouvelle fois je me faisais tringler en public.
Il me ramonait sans ménagement à coup de reins,  encouragé par un public déchaîné qui hurlait .  De temps à autre   il sortait entièrement son mandrin pour  offrir à l'assistance,  la vue de mon derge grand ouvert , puis il revenait me défoncer, et balancer ses  grosses couille violemment contre mes fesses. Si au début,  j'avais encore une certaine pudeur à ne pas gémir en public,  maintenant je ne retenais plus, le plaisir était trop fort,  ce mec savait ramoner un cul,  savait m'extraire la jouissance des moindres recoins de mon anatomie .et bientôt   sans même me toucher,  mon sexe se dressa encore plus haut, fut pris de soubresaut frénétiques et crachat de longs jets de sperme...Soulevant une nouvelle fois le délire des participants. 
Dave se retira alors,  vint se positionner face à moi , branla sa verge  violemment et dans un spasme silencieux,  m'aspergea le visage de sa semence. 
Nous nous levâmes encore bandants, et je n'avais pas pris la peine d'essuyer le foutre de mon visage, pour saluer le public; certains se branlaient en groupe ou seuls; un mec pantalon baissé se faisait mettre; cette scène avait un coté surréel et, fatigué, je souhaitais maintenant partir
C'est ainsi que nous rejoignîmes enfin les vestiaires.
- c'était super bien,  me dit  Dave,  tiens , tu avais oublié ton jock sur le tapis.  
- j'ai joui comme rarement,  mec; j'en ai oublié les spectateurs et toi aussi je pense,  j'ai adoré t'entendre hurler de plaisir, ça encore plus excité ! J'ai adoré te voir éjaculer comme ça sans même te toucher !
- ça,  c'est ton oeuvre  répliquai-je,  tu laboure comme un chef.  Tu m'as bouleversé   jamais j'avais ressenti ça !
- c'est vexant  pour moi ! Tom venait de nous rejoindre  allez-vous doucher,  vous en avez besoin ! Toi, surtout,  t'as la gueule couverte de son foutre.
Sous la douche,  Dave et moi nous lavions tendrement.  Tom nous rejoignit et tous trois maintenant sous l'eau brûlante, partagions un moment d'intimité et de tendresse. 
Nos mains parcouraient caressantes,  nos corps. La fatigue s'envolait et.. le désir revenait. Enlacés tous les trois, nos bouches s'entrechoquaient, nos langues se mêlaient; mes mains fouillaient vos fesses, mes doigts caressaient vos trèfles, nos sexes se dressaient sous les caresses. Tom alors, chuchota à l'oreille de Dave, baise-moi, baise-moi fort. Alors sans attendre, Dave le prit dans ses bras, le souleva, l'appuya contre moi et l'empala; de mon coté soutenant Tom, je frottai ma verge contre sa raie et le couvrait de baiser . Enfin, nous assîmes à même le carrelage de la douche; Tom s'embrocha de nouveau sur la bite de Dave et, voyant le magnifique braquemart majestueusement dressé de Tom, je m'empalait à lui. 
Ce fut Mike, notre coach qui vint interrompre cette "expérience" plutôt inconfortable. 
- Et ben, toujours pas rassasiés mes cochons! Désolé mais on a tout rangé et nettoyé et il me faut fermer la salle; je vous recommande de continuer chez vous cela sera plus confortable. A demain pour l'entraînement!


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