Après une longue journée de travail, me voilà enfin dans mon TGV à destination de Paris. je peste car, bien que le train soit presque vide, je me retrouve dans un club quatre au fond de la voiture. Je peste encore plus quand, alors que les portes se ferment, le seul autre passager de la voiture, se retrouve sur la banquette en face de moi. Je me dis que dès que le train aura démarré, il changera de place ou, d'ailleurs c'est moi qui irais prendre une place solo, on a l'embarras du choix !
Mais voilà quand il s'est installé, d'un coup d'oeil discret, j'ai vu un mec plutôt avenant, en survêtement, coupe para, bien foutu, sexy quoi...
Bon, sûr qu'il va s'isoler, moi finalement, je serai à l'aise tout seul dans mon club 4. Mais non seulement il ne bougeait pas mais il se mettait à l'aise, veste de survêtement accrochée à la patère, chaussures ôtées ...
Plongé dans mon canard et croyant qu'il ne me voyait pas car il regardait plutôt vers la fenêtre, je ne pouvais m’empêcher de jeter des coups d’œil en coin vers lui .... Mauvaise pioche! il faisait nuit, la vitre faisant miroir, il ne pouvait faire aucun doute qu'il était conscient de mon intérêt..
Toujours faussement plongé sur mon canard sans être vraiment capable de lire, je sentis son genou frotter contre ma jambe; mon cœur battait la chamade; que faire? comme si de rien était? lever les yeux et soutenir son regard? Était-ce dû aux mouvements du train ?
il me plaisait, c'est sûr ! Mais on fait quoi dans un train? Malgré moi, je levai le nez et immanquablement nos regards se croisèrent. Il sourit, fier de son effet et, à ma très grande surprise et frayeur, tout en ne me quittant pas des yeux, il posa son pied contre mon entrejambe.
Plus de doute, il me cherchait, il en voulait,...
Je restai ainsi, cuisses écartées, son pied appuyant sur ma braguette ; il devait sans nul doute sentir que sous le pantalon, ma queue durcissait . ..
Toujours souriant, sans me quitter des yeux , il baissa d'un coup son pantalon de jogging;
ouahouuu! il ne portait rien dessous offrant ainsi à mes yeux effarés, un sexe superbe; court mais massif surplombant de belles grosses couilles bien pendues. une belle bête!
Je regardai alors vivement vers l’entrée de la voiture; heureusement personne!
Quelques secondes passèrent qui me parurent une éternité. Quelques secondes pour me décider, presque mécaniquement, comme hypnotisé, j'approchai ma main vers sa tringle. Vers cette masse de chair brûlante qui dans ma main se faisait encore plus dure. Je sentais les veines gonflées de sang, saillir.
Il vint s’asseoir à coté de moi. je me penchai alors vers son vit charnu, maintenant bien raide.
Je la décalottai, les narines émoustillées par les effluves acidulées, je le pompai goulûment tandis que, tout en surveillant le wagon, il m'encourageait de la main.
C'était un vrai bonheur! je caressai ses belles gonades tout en allant et venant sur ce bel engin qui me remplissait jusqu'à l'étouffement la bouche et la gorge.
- "relève toi, viens"
j’obéis; Après un court baiser, il commença à me déboutonner mon pantalon de costume; je l'aidai. Il complimenta ma bite dressée hors de mon caleçon; longue, veineuse, épaisse aussi, bien que moins que celle qu'il m'offrait depuis quelques minutes. il s'en empara, la décalotta, posa sa bouche sur mon gland laissant couler quelques gouttes de salive et l'engloutit subitement; bordel, que c'était bon ! il n'en restait rien, toute entière gobée. Tout en surveillant à mon tour l'entrée du wagon et tandis qu'il s'affairait, je le branlai.
- j'ai envie que tu me baise, je veux ta grosse queue dans mon cul, défonce-moi le cul, elle est trop bonne. viens allons aux chiottes.
Là j'avoue que ça me fit débander; j'avais déjà l'impression que nous étions déjà allé trop loin et l'idée de me retrouver nez à nez avec quelqu'un en sortant des toilettes me tétanisais. Mais j'avais quand même les hormones à l'envers, sa queue, un vrai braquemart, me tentait trop et l'idée de le baiser l'emporta.
Mais voilà quand il s'est installé, d'un coup d'oeil discret, j'ai vu un mec plutôt avenant, en survêtement, coupe para, bien foutu, sexy quoi...
Bon, sûr qu'il va s'isoler, moi finalement, je serai à l'aise tout seul dans mon club 4. Mais non seulement il ne bougeait pas mais il se mettait à l'aise, veste de survêtement accrochée à la patère, chaussures ôtées ...
Plongé dans mon canard et croyant qu'il ne me voyait pas car il regardait plutôt vers la fenêtre, je ne pouvais m’empêcher de jeter des coups d’œil en coin vers lui .... Mauvaise pioche! il faisait nuit, la vitre faisant miroir, il ne pouvait faire aucun doute qu'il était conscient de mon intérêt..
Toujours faussement plongé sur mon canard sans être vraiment capable de lire, je sentis son genou frotter contre ma jambe; mon cœur battait la chamade; que faire? comme si de rien était? lever les yeux et soutenir son regard? Était-ce dû aux mouvements du train ?
il me plaisait, c'est sûr ! Mais on fait quoi dans un train? Malgré moi, je levai le nez et immanquablement nos regards se croisèrent. Il sourit, fier de son effet et, à ma très grande surprise et frayeur, tout en ne me quittant pas des yeux, il posa son pied contre mon entrejambe.
Plus de doute, il me cherchait, il en voulait,...
Je restai ainsi, cuisses écartées, son pied appuyant sur ma braguette ; il devait sans nul doute sentir que sous le pantalon, ma queue durcissait . ..
Toujours souriant, sans me quitter des yeux , il baissa d'un coup son pantalon de jogging;
ouahouuu! il ne portait rien dessous offrant ainsi à mes yeux effarés, un sexe superbe; court mais massif surplombant de belles grosses couilles bien pendues. une belle bête!
Je regardai alors vivement vers l’entrée de la voiture; heureusement personne!
Quelques secondes passèrent qui me parurent une éternité. Quelques secondes pour me décider, presque mécaniquement, comme hypnotisé, j'approchai ma main vers sa tringle. Vers cette masse de chair brûlante qui dans ma main se faisait encore plus dure. Je sentais les veines gonflées de sang, saillir.
Il vint s’asseoir à coté de moi. je me penchai alors vers son vit charnu, maintenant bien raide.
Je la décalottai, les narines émoustillées par les effluves acidulées, je le pompai goulûment tandis que, tout en surveillant le wagon, il m'encourageait de la main.
C'était un vrai bonheur! je caressai ses belles gonades tout en allant et venant sur ce bel engin qui me remplissait jusqu'à l'étouffement la bouche et la gorge.
- "relève toi, viens"
j’obéis; Après un court baiser, il commença à me déboutonner mon pantalon de costume; je l'aidai. Il complimenta ma bite dressée hors de mon caleçon; longue, veineuse, épaisse aussi, bien que moins que celle qu'il m'offrait depuis quelques minutes. il s'en empara, la décalotta, posa sa bouche sur mon gland laissant couler quelques gouttes de salive et l'engloutit subitement; bordel, que c'était bon ! il n'en restait rien, toute entière gobée. Tout en surveillant à mon tour l'entrée du wagon et tandis qu'il s'affairait, je le branlai.
- j'ai envie que tu me baise, je veux ta grosse queue dans mon cul, défonce-moi le cul, elle est trop bonne. viens allons aux chiottes.
Là j'avoue que ça me fit débander; j'avais déjà l'impression que nous étions déjà allé trop loin et l'idée de me retrouver nez à nez avec quelqu'un en sortant des toilettes me tétanisais. Mais j'avais quand même les hormones à l'envers, sa queue, un vrai braquemart, me tentait trop et l'idée de le baiser l'emporta.
Les falzars à peine remontés, nous nous enfermâmes dans ces superbes et vastes toilettes de TGV. Le survêt de nouveau baissé, le tee-shirt ôté, posant les mains contre la paroi, écartant les jambes et s'agrippant comme il put, se cambrant au maximum, il m'offrit son cul.
- t'inquiète pas, à cette heure-ci pas de ménage et pas de contrôle, on a tout le temps enlève tout, je veux te voir à poil. Fou de l'écouter et fou de le croire... mais quand on le cul en feu, on ne s'écoute plus... j'ôtai ma chemise, je baissai moi aussi mon falze et mon caleçon, et j'écartai ses fesses des deux mains pour découvrir une rondelle déjà bien offerte. j'y enfonçai mon visage et la langue avec gourmandise, humai ses senteurs intimes; je chavirai! Après avoir humecté d'un crachat, j'y glissai un doigt, encouragé par ses premiers gémissements de plaisir, j'y risquai un second doigt que je faisais glisser avec force. Il aimait ça le bougre, pour mieux être pénétré, il avait soulevé la jambe droite qui reposait maintenant sur le lavabo. Mes doigts, trois maintenant, allaient et venaient, élargissant sa rosace, la préparant à ma venue.
Il était temps, je frottai son anus de mon gland et tout doucement le pénétrai.
La situation un peu angoissante, pour moi en tous cas, renforçait l'intensité de notre geste. Mes coups de reins se firent très vite violents; et très vite, trop, j'arrivai à l'orgasme. Un orgasme intense mêlé à l'angoisse et à la peur d'être découverts. Je restai néanmoins en lui embrassant son dos tandis qu'il se branlait.
et arrivait lui aussi à la jouissance.
- A toi maintenant, viens assied-toi là
Je me retrouvai assis sur le lavabo, la queue bien dressée, il m'écarta les jambes les faisant reposer sur ses épaules et glissant un doigt dans mon cul, caressa ma prostate et commença un massage interne, bientôt, une puissante vague de plaisir m'inonda; je frissonnais et le corps pris de multiples spasmes, les yeux révulsés, ce fut un profond orgasme, ma verge qu'il maintenait dressée expulsa de longs jets de foutre sur mon ventre, mon torse , mon visage. Alors, ayant quelque peu repris mes esprits, j'approchai mon visage du sien et l'embrassai tendrement.
- on ne connaît pas, je ne sais même pas ton nom, ni toi le mien, mais là, c'était inoubliable... J'ai encore une putain d'envie de mieux connaître ta belle queue et mon cul aussi mais faut peut-être se rhabiller maintenant ? Tu crois pas?
Je pris une dernière fois son mandrin dans la bouche, essuyant le sperme séché et le laissai se rhabiller tandis que j'essayais tant bien que mal d'enfiler mon pantalon de costume, ma chemise et surtout de lacer mes souliers.
Le train semblait silencieux, personne n'avait tenté d'accéder à ces toilettes. Nous sortîmes et enfin tranquillisés, nous rejoignîmes nos places dans un grand éclat de rire.
Le voyage se passa tranquillement en parlant chacun de nos vies, sans l'ombre d'un contrôleur. J'avoue que je passai la plupart du temps la main dans son froc, sa queue dans la main la maintenant légèrement "éveillée " par mes caresses.
Nous ne nous revîmes pas.
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