22 janvier 2024

aventures grindr 2




Il est 1 heure ou 1 heure 30 du matin. J’ai sommeil. Certainement pas assez pour y renoncer. J’ai surtout envie de partager, besoin de corps.
Le plan web l’annonçait : pas de blabla, direct.
Alors tu sonnes à l’interphone. Je t’ouvre, t’indique la marche à suivre, la porte de l’appartement est ouverte, tu n’as plus qu’à entrer. Le hall d’entrée est dans la pénombre. Tu commences par deviner qui est en face de toi. Tu demandes si tu peux allumer. Vas ! vois ! Regarde ! J’ai envie d’être vu, dévisagé, de la tête aux pieds. Et surtout, déjà prêt ! Tu souris ! je m’approche. Direction la chambre à coucher qui nous attend. Je te caresse. Commence à glisser ma main sous ton tee-shirt, sous la ceinture de ton pantalon. Tu te laisses faire. Tu te déshabilles. Je m’assieds sur le lit. Je te regarde te dévêtir. Je remarque ta cicatrice (d’appendicite). Tu t’étends. Ton torse rasé de quelques jours, tes poils ras. J’ai envie de te goûter, de goûter ta peau. Je monte et redescends le long de ton corps, le léchant. Il y a aussi ton sexe que je ne veux pas négliger. Tes couilles. Ton entrejambe. La raie de ton cul. Le trou de ton cul que tu m’offres, allongé sur le dos. Et je le visite de ma langue, de mes doigts. Quand je recherche ton visage, ta bouche, tu me l’offres. Quand je retrouve ton sexe, tu me le tends. Quand je fouilles ton cul, tu me l’ouvres. Je sens tes convulsions au passage de ma langue gourmande.
Alors ma queue se faufile dans ta raie, humide. Et ainsi, encore, quand tu te caresses et te masturbes.
D’un mouvement, je me retrouve sur le dos, toi me présentant ta queue que je suce, lèche, savoure. Tu accompagnes le mouvement de ta main. Tu vas me jouir dessus, sur le visage, quand j’éjaculerai sur le bas de ton dos, juste au-dessus de tes fesses.





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