Ce soir, c’est la soirée « délire » dans ton club favori. Selon que tu fasses l’effort d’enlever un ou des vêtements, l’entrée est à prix réduit. Cela va jusqu’à la gratuité de l’entrée et d’une boisson pour ceux qui se déshabillent complètement.
Ce soir, tu as les hormones à l’envers, tu sens ton corps bouillant, tous tes sens en éveil. Après une longue douche, tu as soigneusement enduit tout ton corps d’un lait parfumé hydratant… tu sais que cela ne sert pas à grand-chose, là ou tu vas, ce sont plutôt les odeurs fortes et intimes qui dominent mais tu souhaites te sentir « préparé »comme les vierges que l’on donnait au seigneur.
Tu as choisi un jock-strap de chez unico en fine maille noire qui souligne si bien ton petit cul bombé. Un dernier coup d’œil sur ton reflet dans le miroir de l’entrée et te voilà prêt.
Dès le vestiaire passé, l’ambiance est hallucinante. Enrobés d’une déferlante de décibels, des corps suants, nus ou à moitié nus, se déchainent sur le dance floor. De fait tout le local est un dance floor.
Rien d’autre à faire sous ce vacarme assourdissant que de se mêler à cette grande messe païenne et communier avec l’assemblée.
La sueur se mêle à la sueur, les corps se frôlent, se déhanchent de concert. Des mains se plaquent sur tes fesses, un corps dégoulinant de sueur se colle au tien et à tes mouvements. Tu sens le tissu tendu de son jock frôler la raie de ton cul ; cela t’excites et tu te cambres comme pour t’offrir à lui. Bientôt vous êtes rejoints par d’autres danseurs ; caresses, baisers, slips tendus, sexes érigés. Le désir est à son comble. Il est temps de descendre. Parcourir le labyrinthe obscur, à peine éclairé par les écrans déroulant en permanence des films de cul, croiser ces regards en attente, dans le silence des halètements et de l’entrechoc des corps.
Très vite bien sûr te voilà alpagué. Ton superbe cul qui dit bien ce qu’il aime, ce qu’il attend, enflamme les esprits. Un grand gaillard plus âgé que toi s’approche, le gland fièrement dressé et d’une main ferme te somme d’engloutir sa longue queue veineuse. Tu t’exécutes prestement sachant que ce superbe viet bientôt te transpercera profondément. Goulument tu le suces. Le gland gonflé de sang à chaque coup de rein s’enfonce dans ta gorge. Soudain, il te retourne et d’un coup, sans aucun préambule, te pénètre t’arrachant un long gémissement ; douleur, plaisir. Longtemps ses va-et-vient violents t’empaleront à son sexe tuméfié et superbe, longtemps tu gémiras de plaisir couvrant ainsi les halètements des vidéos. Puis il viendra dans un long et profond spasme pour te donner enfin, sa bite crémeuse à déguster. D’une tape sur la tête il te remerciera, toi restant là, à même le sol froid de ce couloir humide, telle une lope assouvie, rassasiée, sous les regards complices des autres chalands.
Texte exitant et bonne vidéo finale; J'aime avoir la bite aussi bien juteuse, pour l'instant comme je l'ai dessinée je la donne à mangée a une jolie petite femme mais les bouches plus viriles peuvent gouter: https://drawingwithmyfrienddick.blogspot.fr/2018/03/phantasy-dick-bien-cremeux.html
RépondreSupprimerD'accord pour goûter!
RépondreSupprimerPierre