14 février 2024

massage Pragois





Nous étions partis pour quelques jours à Prague avec plusieurs de mes amis. L'ambiance était très festive malgré le froid. Durant la journée, nous visitions cette belle ville et le soir, nous passions nos soirées à goûter les bières locales et à essayer de charmer les jolies filles que nous rencontrions. Mais personnellement je n'en avais pas le cœur. Au bout du troisième soir, je décidais de les abandonner pour me promener seul dans les rues de la ville. La nuit, la ville était magnifiquement illuminée mais il était facile de se perdre dans ses nombreuses petites rues. Je marchais tranquillement, l'esprit ailleurs quand un groupe d'hommes sortant sur la rue juste devant moi me coupa dans mon élan. Je levai la main en signe d'excuse ayant failli percuter l'un d'eux qui me fit un clin d'œil accompagné d'un large sourire en retour. Les hommes s'éloignèrent ensuite en riant, visiblement de bonne humeur. Curieux, je jetai un regard sur la porte qu'ils venaient d'emprunter et d'où s'échappaient des volutes de vapeur chaude. Ne parlant pas le Tchèque et le lisant encore moins, je ne compris que le mot "sauna" inscrit parmi d'autres au-dessus la porte. Encouragé par la visible bonne humeur des hommes que je venais de croiser, je me décidai à entrer me disant qu'un sauna me ferait le plus grand bien. La porte donnait sur une large pièce au style épuré et très design. Deux hommes se tenaient derrière un large comptoir. Le plus proche de moi leva son regard sur moi et me salua avec un grand sourire. Je m'approchai le saluant à mon tour. À mon grand soulagement, il parlait également anglais. Je lui demandai si je pouvais accéder au sauna et bien sûr quel était le tarif.

L'homme eu un sourire amusé. Il me précisa qu'on ne faisait pas de sauna ici mais que c'était une sorte de hammam et qu'on proposait ici surtout des massages. Il m'indiqua les tarifs. Je me disais qu'après tout, un massage serait encore mieux et de plus, les prix étaient vraiment dérisoires. Il me remit une serviette et m'indiqua le vestiaire et ce que j'appellerai le hammam. Il ajouta que je n'avais qu'à m'y rendre et m'y détendre en attendant que mon masseur vienne me chercher dès qu'il serait libre. "MON" masseur ? Je ne m'étais jamais fait masser par un homme. Cela me surprit mais après tout je me disais pourquoi pas.


Une fois nu, j'enfilai ma serviette autour de la taille. Le "hammam" était immense. Ou tout du moins c'est l'impression qu'il me donnait. La vapeur ajoutée au faible éclairage m'en cachaient les détails. Il y avait de nombreux recoins d'où me parvenait des voix d'hommes. Je décidai de m'asseoir sur un banc massif en bois, adossé contre un mur. Je regardai autour de moi. Au bout de quelques minutes, je perçus çà et là des silhouettes dans la pénombre. Des hommes assis l'un à côté de l'autre, certains allongés sur des bancs identiques au mien. Deux hommes passèrent devant moi sans me jeter un regard. Je les suivis du regard quand mon attention fut attirée par ce qui se passait dans une alcôve à quelques mètres de moi. Deux hommes étaient assis côte à côte, discutant à voix basse. Ils étaient tous deux de belles statures. Je percevais distinctement des gouttes d'eau glissant le long de leur torse, sur les muscles de leurs bras, de leurs jambes. La sensation que me procura cette vision me troubla profondément. Je sentais une chaleur au creux de mon ventre qui n'avait rien à voir avec celle régnant dans le hammam. Je me sentis gêné. Surtout que sans m'en apercevoir, mon entrejambe avait pris de l'ampleur. Me sentant comme un voleur pris la main dans le sac, je jetai un regard alentour pour vérifier que personne ne m'avait surpris en train d'espionner ces deux hommes. Rassuré, j'essayais de reprendre mes esprits mais j'étais encore très excité. Le désir qui avait pris place au fond de moi ne semblait pas vouloir s'éteindre. Ne pouvant m'en empêcher, je me tournai à nouveau vers les deux hommes. L'homme qui était à gauche semblait plus âgé que l'autre. Environ la quarantaine. Les cheveux coupés très courts, presque chauve Il avait une carrure importante mais des muscles visiblement fermes. Face à lui, l'homme avait la trentaine, une musculature plus sèche et une silhouette plus élancée. Ils parlaient tous deux quand le chauve posa sa main doucement sur la cuisse de l'autre qui ne sembla pas y prêter attention. Ils échangèrent un sourire avant de s'embrasser. D'abord doucement puis avec plus de vigueur. Je voyais leurs langues se mélanger et pénétrer dans la bouche de l'autre. Pendant ce temps, leurs mains se faisaient plus aventureuses, parcourant le corps de l'autre dans un ballet sensuel. Très vite la serviette du chauve s'ouvrit, révélant son sexe en érection. Sa verge était de belle taille. Même à la distance où je me trouvais et malgré la vapeur, je pouvais voir les énormes veines qui la parcouraient. Son gland était énorme. Je ne pouvais détourner mon regard. Le feu que ce spectacle attisait en moi redoublait d'intensité et j'en oubliai le temps et tout ce qui m'entourait. L'autre homme posa sa main sur ce sexe pour le caresser puis l'empoigna pour le branler lentement. Le chauve laissa échapper quelques gémissements. Au bout de quelques minutes de ce régime, il passa son bras derrière son partenaire pour lui empoigner avec fermeté la nuque et lui accompagner la tête jusqu'à sa bite. Le trentenaire ouvrit la bouche sans broncher pour englober cette énorme queue. La main toujours derrière la nuque, le chauve lui imprimait le mouvement. Son amant semblait se donner beaucoup de mal pour faire rentrer toute la longueur dans sa bouche sans parler de la largeur qui le remplissait pleinement. Les gémissements du chauve se changèrent en râle de plaisir. Et moi….. qui matait sans vergogne. Ma queue me faisait presque mal tellement je bandais.


De temps en temps, le chauve sortait sa queue pour que son "ami" puisse reprendre son souffle mais, il la réintroduisait très vite ; celle-ci semblait pénétrer plus profondément à chaque fois. L'avidité avec laquelle son partenaire le suçait me laisser sans voix. Il avait dégagé lui aussi sa queue de sa serviette et se masturbait tout en pompant à pleine bouche. Sa verge était moins impressionnante que celle du chauve mais tout aussi belle et... attirante. Je... Que m'arrivait-il ? Je brûlais d'envie de m'avancer et de... Une voix m'arracha à mes pensées. Un homme se tenait devant moi. Je tentai de cacher mon émoi et ma gêne (ainsi que mon érection). Il me parla à nouveau. Je lui fis signe que je ne comprenais pas. Il jeta un œil rapide à mon entrejambe. Il sourit. "Follow me!" me dit-il accompagné d'un signe de main. Ça devait être mon masseur. Je me levai pour le suivre. Je jetai un dernier regard vers les deux hommes mais ils en avaient profité pour s'éclipser. J'éprouvai comme de la déception. Je n'avais jamais ressenti un tel désir et je me sentais frustré de ne pas avoir pu l'assouvir. Mais je ne savais pas encore ce qui m'attendait.









Encore troublé par ce que j'avais vu, je suivais mon masseur tout en essayant d'analyser ce qui m'arrivait. Je n'avais jamais ressenti jusqu'ici un désir semblable et de plus, il ne semblait pas vouloir me quitter. Je portais finalement mon attention sur mon guide qui me précédait. Il était uniquement vêtu d'un boxer et d'un t-shirt blanc qui mettaient en valeur sa belle carrure. Je ne le voyais que de dos mais, il était visiblement très musclé. Son maillot particulièrement serré, soulignait à merveille ses larges épaules tandis qu'à travers son boxer se dessinait un cul bien ferme. Je me surpris à espérer qu'il se retourne au plus vite pour voir ce que le devant pouvait réserver. Il s'engagea dans un long couloir parsemé de nombreuses portes. Il s'arrêta à la dernière d'entre elles pour me faire face. Il l'ouvrit et me fit signe d'entrer. Je croisai son regard. Ses yeux étaient d'un vert profond. Ses cheveux coupés courts dégageaient son visage qui se terminait par une belle mâchoire carrée parsemée d'une barbe de trois jours. J'entrai dans la pièce. Ce qui me semblait être une table de massage se trouvait au milieu. Il me la désigna et je m'y allongeai sur le ventre. À peine la porte refermée, je le vis retirer son t-shirt et se diriger derrière moi vers le fond de la pièce qui était peu éclairée. Une unique lampe diffusait une lumière tamisée. Je me relevai sur mes avant-bras légèrement pour pouvoir me tourner et observer ce que préparait mon masseur.

Je le vis se saisir dans une petite armoire, d'un pot en bois qu'il posa à mes côtés. Il l'ouvrit devant moi. Il contenait une sorte de crème translucide. D'un geste de la main, il m'invita à me rallonger. Il prit ensuite un peu de crème en la répartissant entre ses mains qu'il frotta entre elles. Puis, il les posa sur mes épaules et débuta son massage. Il commença par mes épaules. Ses mains étaient de toutes évidences celle d'un travailleur manuel, grandes et fortes. Chacun de ses doigts étaient énormes. Je pouvais paradoxalement sentir dans chacun de ses gestes autant de fermeté que de douceur.

Délaissant mes épaules, il continua, descendant doucement et progressivement le long de mon dos. Ses mains parcouraient l'ensemble de mon dos avec tant de force qu'il me donnait l'impression de vouloir prendre possession de mon corps. Je sentais le bout de ses doigts, ses paumes caressaient ma peau, dessinaient mes contours et me semblait-il, l'exploraient. Cette impression me troublait. Le désir que j'avais ressenti dans le hammam surgissait à nouveau, encore plus fort. Je sentis mon sexe reprendre son érection de plus belle lorsque mon masseur posa fermement ses mains sur mes hanches, m'empoignant de chaque côté comme s’il s'apprêtait à me soulever. Surpris et profondément troublé, je n'osais pas bouger de peur qu'il devine le feu qui animait mon entrejambe. Je restai immobile, attendant la suite. J'entendais sa respiration. Elle se faisait plus rapide et plus bruyante. Il marmonna quelques mots en Tchèque et se rapprocha de moi car je pouvais désormais sentir son souffle sur ma peau. Que faisait-il et surtout que voulait-il ? Le massage était-il terminé ?

Ses mains reprirent soudainement leur travail mais elles continuaient de descendre. Elles atteignirent mes fesses. La chaleur que je ressentais dans mes entrailles se faisait plus intense et mon sexe encore plus dur. Il massait mes fesses mais j'avais plus l'impression qu'il les pelotait, les pétrissant dans ses immenses mains. Je n'osais protester. En avais-je seulement envie ? Il les écarta ensuite et poussa un râle de satisfaction. Puis il se dirigea vers le pot de crème et s'en badigeonna à nouveau les mains et il revint s'occuper de moi. Il écarta à nouveau mes fesses pour y glisser sa main. Il appliqua délicatement du bout de ses doigts de la crème dans ma raie. Je commençais à me tortiller. Mon érection était à son paroxysme. Je tentai toutefois de stopper ce qui venait de commencer. Je me mis sur mes coudes et me retournai pour lui faire face. Je balbutiai un "non" peu convaincant même pour moi. Il me répondit par un sourire et m'attrapa fermement. Il me retourna sur le dos en un instant avec une grande aisance. Je me considère plutôt comme un beau gabarit mais il était à l'évidence beaucoup plus fort que moi. Il se tenait désormais devant moi me dévisageant. Son regard parcouru mon corps descendant jusqu'à mon entrejambe et mon membre dressé que je ne pouvais guère plus lui dissimuler. Je pouvais deviner à travers son boxer qu'il était lui-même en grande forme. Il remarqua mon intérêt et sembla s'en amuser. Il enleva sans attendre son sous-vêtement. Désormais complètement nu, je pouvais admirer à loisir son corps jeune et massif et enfin découvrir sa magnifique verge. Elle était aussi large que longue, parcourues par de grosses veines qui montaient jusqu'à son gland qui me sembla énorme. Il bandait comme un taureau et je ne pouvais m'empêcher d'être excité à l'idée que j'en étais à l'origine. Il s'avança vers moi et posa sa main sur ma poitrine pour m'inviter à m'allonger. La force tranquille que laissait transparaitre ce geste me fit intimement comprendre que je n'avais pas le choix. Sa puissance me supplantait totalement. Je me sentais à sa merci. C'est lui qui dirigeait... et j'aimais ça. Je m'allongeais donc docilement tandis qu'il montait jusqu'à la tête de la table. Je tournai mon visage vers lui pour découvrir sa queue qu'il présentait devant mon visage. Le désir que j'éprouvais maintenant avait pris totalement possession de mon esprit et de mon corps. Je pris doucement sa verge en main pour la mettre avidement dans ma bouche. Le râle de plaisir que lâcha mon masseur en réaction à ma succion m'emplit de plaisir. D'abord doucement, je le pompais de plus en plus fort et vite à mesure que le désir montait en moi. Les gémissements de mon masseur se changèrent en cris de jouissance et sa queue qui durcissait de plus en plus dans ma bouche me confirmais qu'il aimait ça. J'étais comme un fou agrippé à sa bite comme si ma vie en dépendait. Je ne comptais pas le lâcher avant qu'il n’ait jouit dans ma bouche. Je voulais son sperme. Sentir son jus chaud remplir ma bouche. Mais tout à coup un bruit me stoppa. Quelqu'un était rentré dans la pièce. Je me retournai pour découvrir que le chauve que j'avais vu plus tôt dans le hammam se tenait dans l'encadrement de la porte. Il me regarda d'abord puis s'adressa au masseur en Tchèque. Il avait l'air de se mettre d'accord. Une fois leur court échange terminé, ils reportèrent leur regard sur moi avec un sourire sur leur visage. Le chauve se dirigea vers moi. Visiblement on allait s'occuper de moi...

Mon masseur se déplaça pour quitter mon champ de vision car mon attention était portée sur l'homme qui venait d'entrer. Il prit soin de refermer la porte et d'en fermer le loquet avant de s'avancer vers moi et de prendre la place qu'occupait mon masseur quelques minutes plus tôt. Il me surplombait de toute son imposante carrure et me dévisageait le regard sérieux mais avec un léger sourire au coin des lèvres. Sa respiration était rapide et bruyante. Chacune de ses inspirations remplissaient bruyamment sa poitrine et bombaient son torse lui donnant un aspect encore plus impressionnant depuis le point de vue où je me trouvais. Il était clairement très excité et ce n'est pas sa queue en érection qui aurait pu me contredire. Si celle de mon masseur m'avait semblé de belle taille, ce n'était pourtant rien en comparaison de celle qui se trouvait juste devant moi. Je pouvais discerner chaque veine qui la parcourait acheminant le sang qui la gorgeait. Elle était tendue, dressée, couronnée par un énorme gland. Le tout associé à de grosses et magnifiques couilles visiblement bien lourdes et pleines. "Elles attendent d'être vidées" me surpris-je à penser. Je tentais toutefois de reprendre mes esprits et de me lever. Tentant vainement (et sans motivation ?) de m'opposer à ce que je pressentais (désirais ?). Le chauve ne m'en laissa pas l'occasion. D'une main passée derrière ma nuque, il amena mon visage jusqu'à lui et il m'embrassa fougueusement. Sa langue força le barrage de mes lèvres. C'était un baiser purement bestial. Comme s’il cherchait à violer ma bouche. Puis sa main toujours agrippée à mon cou, il me guida jusqu'à sa bite qu'il m'enfourna sans ménagement. Comme j'avais pu le constater dans le hammam, elle remplissait sans peine une bouche et maintenant c'était mon tour de tenter de l'avaler. J'essayais tant bien que mal de la rentrer le plus possible dans ma bouche sous les impulsions de ce colosse. Je pompais avidement et docilement son gland. Au fur et à mesure des va-et-vient le rythme s'intensifiait et sa verge emplissait de plus en plus ma bouche semblant se frayer un chemin vers ma gorge. Je sentais son odeur et également son goût. Le goût de sa queue. J'en avais presque oublié mon masseur lorsque celui se manifesta à nouveau. Je vis du coin de l'œil que celui-ci se trouvait maintenant entre mes cuisses qu'il venait d'écarter attirant ainsi mon attention. Je sentis sa queue se frotter entre mes fesses s'imprégnant d’un peu de la crème qu'il y avait précédemment déposé. Il avait sa bite bien en main, elle était capotée et il commençait à tourner autour de ma rondelle par de petits cercles de plus en plus restreints et rapprochés. Je sentis quelque chose titiller mon anus puis, doucement tenter de le braver. C’étaient ses doigts, je pouvais le sentir. Il en entra un premier sans aucune difficulté. Un court instant passa. Lorsqu'il sentit que je m'étais habitué, un deuxième le rejoignit sans plus de problèmes puis finalement un troisième. Je fus surpris. Moi qui étais vierge de ce côté-là. Il y a encore quelques heures, je n'avais jamais couché avec un homme et voilà maintenant que je faisais de mon mieux pour qu'un inconnu puisse me pénétrer. Car je le désirais. Après l'avoir sucé comme un affamé en quête de son sperme, je voulais maintenant qu'il me prenne. Je voulais sentir sa queue dans mon cul, la sentir en moi et même sentir son jus me remplir. Voyant que je n'étais plus concentré sur ma tâche, le chauve me fouetta le visage avec sa queue et grogna quelques mots que je ne pouvais pas comprendre. Il la remit tout de suite dans ma bouche avec un entrain redoublé s'aidant cette fois-ci de ses deux mains pour littéralement me baiser la gueule. Mon masseur en profita pour présenter son gland à l'orée de mon anus. Doucement mais avec fermeté il l'introduisit. Mon premier réflexe fût de me crisper. Mais il s'avait y faire le bougre ! Il ne perdait toutefois pas de temps et gagnait progressivement du terrain en moi. À part quelques petites décharges, je ne ressentais aucune douleur. Il était doué. Maintenant il était pleinement en moi et une fois qu'il me sentit prêt, il débuta son va-et-vient. Il m'attrapa par les hanches, me bascula sur le dos, calant mes jambes sur ses larges épaules. Il prit ma queue déjà tendue en main et commença à me branler et dans le même temps s'approcha de moi pour embrasser mes tétons puis les téter tour à tour. Le cul bien tendu, il me baisait à bon rythme. La queue de mon masseur et du chauve allaient de concert, comblant mes orifices. J'entendais leur souffle haletant, leurs gémissements de plaisir. Leurs verges bien dures me besognant avec fougue. J'avais maintenant la bite du chauve bien en bouche. Je la pompais goulument et c'est moi qui maintenant menait la danse. Il avait relâché son étreinte et m'avait laissé prendre les choses en main. Je parcourais de ma langue sa longue verge prenant ses couilles en bouche. Je les suçais, les léchais. Il aimait ça et moi j'aimais qu'il prenne son pied. Je revenais toujours à son gland que je pompai copieusement. Tandis que mon masseur me culbutait de bon cœur. Je pouvais sentir ses couilles battre contre mes fesses et sa verge me pénétrer, instillant dans mes entrailles un feu que je n'avais encore jamais connu. Il accéléra sa cadence, me tenant encore plus fermement. Ses coups de queue se firent plus intenses et sauvages. Il fermait les yeux et je l'entendais pousser des râles de plaisir, le souffle court. Très vite sa bite fût prise de spasmes. Il se retira prestement, enleva sa capote pour pouvoir éjaculer copieusement sur moi dans un long râle de plaisir. Dans le même temps le chauve se recula pour mieux observer ce qui venait de se passer, J'étais maintenant seul sur la table, le cul parsemé de sperme avec ces deux hommes qui me regardaient. Je reprenais un peu mes esprits mais le désir était toujours là. Ça tombait bien car mes deux amants n'en avaient pas terminé et ne comptaient pas me laisser partir sans avoir goûté le plus gros morceau.

Je reprenais doucement mes esprits. Le torse et le ventre encore parsemés du sperme de mon masseur. Quelques gouttes en perlaient encore de sa queue. Animé par un désir irrépressible, je sautais depuis la table de massage pour me jeter à ses genoux et prendre sa verge en bouche. J'entrepris de bien la nettoyer et même pourquoi pas le faire jouir à nouveau.

Mais cette fois, hors de question de la lâcher. Je voulais qu'il jute dans ma bouche et qu'il me donne son foutre à avaler. Vu la manière dont sa tige reprenait rapidement de la vigueur, je ne doutai pas qu'il fut d'accord avec moi. Je le pompai avidement en oubliant presque la présence du chauve. Je ne le vis donc pas venir quand il m'attrapa pour me jeter à terre.

Je me retrouvai au sol, ne comprenant pas tout de suite ce qui venait de se passer. Je l'entendais juste éructer au-dessus de moi visiblement en colère. Il m'agrippa de nouveau par les hanches et me souleva pour me forcer à me mettre sur les genoux, le cul cambré vers le haut et le visage contre le sol. Ses mains puissantes me manipulaient sans que je puisse avoir l'impression de résister à aucun moment. Il semblait en proie à une fièvre bestiale. Je l'entendais grommeler dans mon dos, le souffle court. Pas la peine de parler le Tchèque pour comprendre qu'il était fortement excité et qu'il devait probablement vertement m'insulter. Il appuyait sur moi de tout son poids et de sa force, m'obligeant à me cambrer, le cul pleinement offert. Je n'eus pas à attendre très longtemps la suite. Le crachat que je sentis se déposer sur ma rondelle fut le coup de départ de ce qui m'attendait. Si mon masseur avait su être aussi doux que tendre, il n'en était rien pour celui qui se tenait à califourchon au-dessus de mon cul. Il me pénétra sans ménagement et je n'osais imaginer ce que j’aurais ressenti alors si mon masseur ne m'avait pas si bien préparé avant. Mon anus tenta de se raidir et de se serrer pour ralentir la pénétration mais le chauve le força et il avait déjà enfoncé les trois quarts de sa bite sans que je puisse faire quoi ce soit. Elle était énorme. Je pouvais la sentir toute entière au fond de moi ainsi que sa grosse paire de couilles qui reposait lourdement à l'entrée de ma rondelle désormais en feu. J'avais l'impression que tout mon bas ventre était rempli par son mandrin. Je pouvais en sentir chaque détail, chaque relief, la moindre veine ainsi que son énorme gland qui butait dans mon fondement. Ses va-et-vient étaient violents et secs. Il m'empoignait fermement les hanches et me soulevait presque de terre à chaque coup de rein, claquant mon cul contre lui, ses testicules ballottant et venant frapper contre moi. Il ne semblait jamais vouloir ralentir. De temps en temps, il me claquait les fesses puis les agrippaient en enfonçant ses doigts dans ma chair, me griffant parfois. Les seules pauses étaient quand il sortait sa verge pour pouvoir cracher dans mon trou que j'imaginais béant désormais. Il écartait alors mes fesses et poussait un râle de contentement avant de me pilonner à nouveau avec un entrain redoublé. Tête contre terre, je fis quelques tentatives pour prendre un peu appui sur mes bras et me redresser mais je me retrouvai à chaque fois à nouveau les bras dans le dos, qu'il me menottait le plus souvent avec une main. Puis peu à peu, je me décidai finalement à me laisser faire. La douleur s'était rapidement atténuée pour évoluer vers une autre sensation indéfinissable. Je me prenais au jeu, me cambrant encore plus pour lui offrir pleinement mon cul. Je l'entendais pousser des râles de plaisir. Puisqu'il voulait me baiser et qu'il ne me laissait pas le choix alors il serait servi. Je tendais mes fesses le plus possible en arrière, dandinant comme une petite chatte en chaleur.

Après tout, c'est ce que j'étais sur l'instant, une chatte à remplir et qui en plus y prenait goût. Je devais me l'avouer. Je pouvais jouer ma vierge effarouchée mais la vérité est que je la voulais cette bite depuis que je l'avais aperçu dans le hammam. Je la voulais au fond de moi, elle et tout le foutre qu'elle pourrait y gicler. Soudain il se retira. J'en profitais pour m'allonger sur le dos et reprendre mon souffle. Un mélange de sa mouille et de sa salive s'écoulait de mon trou bien dilaté.



Mon anus se contractait encore par à-coups comme par réflexe après avoir été si malmené. Il ne me laissa pas beaucoup de répit. Il m'enjamba pour venir s'agenouiller sur moi et me présenter sa queue devant mon visage. Je pris les devants en le prenant tout de suite en bouche. Je vis un sourire amusé sur son visage. Il aimait qu'on le regarde pendant qu'on le suçait. Je le pompais avec entrain, tentant de prendre le maximum de longueur dans ma bouche. On peut dire que je me donnais du mal pour lui bouffer toute la tige mais ça ne semblait pas lui suffire. Passant sa main derrière ma nuque et s'appuyant contre le sol de l'autre, il se pencha sur moi et entreprit de me baiser profondément la bouche. Mes lèvres buttaient contre ses couilles qu'il ne tarda pas à me donner à lécher. Il me les écrasait contre le visage puis réintroduisait sa queue, forçant jusqu'à ce que j'avale jusqu'au dernier centimètre. Puis il s'adressa au masseur qui était resté à nous regarder, la queue à la main, visiblement satisfait du spectacle. Je l'avais complètement oublié. Ils échangèrent quelques mots puis il vint s'agenouiller à son tour près de moi. Le message était clair : il allait falloir sucer deux fois plus. Je n'avais aucune maitrise. Ils enfournaient leur verge en alternance. Ma bouche était juste un orifice qu'ils occupaient à leur convenance. Le masseur était visiblement surexcité. Il ouvrait de temps à autre ma bouche avec ses doigts pour cracher dedans. Le chauve faisait de même pour ensuite me rouler de longues pelles. Leurs langues remplaçant alors leurs queues. Après un long moment de ce petit jeu, le chauve finit par s'allonger à mes côtés et me fit signe de venir. Je me relevais et jetais un regard vers la porte. Était-ce le moment de partir ? Le masseur avait dû voir mon regard car il m'attrapa par les cheveux et me jeta sur son partenaire. Sans avoir le temps de réfléchir, je me retrouvai à califourchon sur le chauve. Je le vis cracher sur sa main et empoigner sa queue avec laquelle il me pénétra d'un seul coup. Il faut croire que ma rondelle était sacrement dilaté. Il me chopa les fesses à pleines mains et commença à me baiser comme un affamé. Il m'empoigna par les hanches et accéléra le rythme. La situation me semblait dingue. Moi qui me considérait comme un mec viril, qui pensait être ici pour me faire quelques filles, c'est moi qui me retrouvait avec deux colosses, offrant mon cul et ma bouche à leurs bites qui bandaient pour moi. Oui, pour moi. Et cette idée avait fait son chemin dans mon esprit et ça commençait à me plaire. Ses mecs bandaient pour moi et je prenais à cœur de m'occuper de leurs queues. Je fis signe au masseur de s'approcher et me jeter avidement sur son nœud. Pour sûr, il cracherait son jus dans ma bouche. Dans le même temps, je me dandinais sur le chauve. Il avait compris que je comptais prendre les choses en main et se laissait guider. J'impulsais des va-et-vient le long de sa verge, ma rondelle épousant parfaitement chaque relief de sa grosse queue. Je m'empalais littéralement sur elle voulant la sentir me remplir, être en moi. Sans que je m'y attende, la queue du masseur se raidit de plus en plus. Je la pris bien en bouche juste à temps pour sentir les spasmes qui l'agitaient tandis que des jets de semence emplissaient ma gorge. J'avalais le tout non sans difficulté. Le masseur acheva de se branler dans ma bouche afin que je n'en perde pas une goutte et il ne se retira qu'une fois sa verge bien nettoyée. Presque au même moment, la bite du chauve se gorgea pour éjaculer copieusement en moi. Son foutre se répandait par saccades.

La chaleur de son sperme irradiant jusque dans mes reins. Il resta quelques instants en moi avant de me mettre sur le côté avec une douceur que je n'avais pas décelé chez lui jusqu'ici. Je pris une dernière fois sa tige en bouche pour en effacer la moindre trace de son jus. Prenant mon visage dans ses mains, il m'embrassa doucement, mélangeant sa salive à son sperme encore présent sur mes lèvres. Il se remit debout et sans un regard, se dirigea vers la porte pour disparaitre. Le masseur était visiblement déjà parti sans demander son reste. Je me retrouvai seul, allongé sur le sol. Du sperme coulait abondamment de ma rondelle et j'en avais encore le goût dans la bouche. Je sentais aussi sur moi leur sueur, cette pure odeur de mâles. Je mis longtemps à reprendre mes esprits et à me lever pour quitter ce lieu.




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire