du sport et encore du sport

Après ces températures caniculaires, enfin un temps pour courir un peu sans risquer pour cela l'insolation.

Ce matin là, le Luxembourg ne grouillait pas de coureurs. En tout cas moins que d'habitude;  l'été sans doute et les premiers effets bénéfiques de la grande transhumance. 

J'aime bien courir à contre courant. Cela me permet de voir les autres coureurs et surtout d'avoir au moins l'impression de ne pas trop faire comme tout le monde. Et puis rien de pire pour moi que de courir le nez collé au short ou à la culotte de celui ou celle qui me précède.

C'est ainsi que je l'ai repéré. Un beau gaillard, une belle foulée, un large pantalon de jogging  (encore un A&F) et un marcel tout aussi ample. Dès le premier passage, nos regards se sont croisés et bien sûr, cela a fait tilt. Mon système de repérage s'était déclenché. Au second plus de doute. Au troisième, il n'y eu pas de troisième. 
Sans doute avait-il terminé son circuit, pensai-je dans un sentiment de regret fugace. 

C'est alors que j'entendis derrière moi une foulée régulière, à peu près au diapason de la mienne. Mon cœur se mit à battre violemment déstabilisant mon rythme et me faisant trébucher. 
Je m'arrêtai, essoufflé et la cheville légèrement endolorie. Il s'arrêta aussi 
- ça va? Rien de cassé? - demanda t'il un brin amusé. je tentai de faire une vanne foireuse mais elle tomba complètement à plat.  

- j'habite tout à côté, je suis sûr qu'un peu de pommade ne pourra que soulager la douleur et éviter des complications-

Aucun des deux n'était bien entendu dupe. Je savais pourquoi je le suivais en exagérant mon boitillement et il savait ce qu'il voulait. Tout deux enfin savions que l'autre savait; quel cinéma! 

D'ailleurs, la porte de son appartement à peine poussée que nous nous jetions l'un sur l'autre.  Tandis qu'il me baisait sauvagement le visage et le cou, je fouillais son A et F pour me saisir de son sexe qui déjà tendait le coton de son boxer. 

Il m'entraîna ainsi vers la chambre, cognant contre les murs, jetant nos vêtements et tentant de nous dévêtir sans pour autant décoller nos bouches l'une de l'autre. 

Sur le lit, nos chaussures valsèrent ainsi que nos pantalons de jogging. Sa bouche me bouffait la proéminence de mon boxer, il reniflait, mordillait faisant se tendre le tissu.    
Les boxers à leur tour volèrent à travers la pièce laissant ainsi nos queues s'ébattre enfin. Sa peau était très douce et mes mains prenaient plaisir à parcourir son corps mais ce qui m'emportait par dessus tout c'était ses fesses charnues et fermes. Et tandis qu'il parcourait mon torse de sa bouche gourmande, mordillant au passage mes tétons , les pinçant tout en descendant vers mon ventre, sa langue explorant mon nombril avant de s'emparer de ma queue posée toute raide contre mon ventre, mes mains lui malaxaient les fesses en rêvant déjà leurs mouvements tandis qu'il me pénétrait. 

Il dut sans doute s'en rendre compte car il s'écarta, et me levant les jambes, il se glissa entre mes cuisses, bouffant mes couilles léchant mon périnée et la merveilleuse "cicatrice", juste avant de glisser son visage entre les fesses et d'exciter mes sphincters avec sa langue. 

Il n'en fallut pas beaucoup plus pour me "détendre" et lui offrir ainsi le plus beau des signaux. Quand enfin il me pénétra, mes mains purent de nouveau se saisir de ses fesses musclées, sentir les contractions de tous ses muscles à chaque coup de rein. Je l'encourageais ainsi à aller au plus profond, à fouiller mes entrailles, à caresser de son gland ma prostate et Dieu sait qu'il savait si prendre! 

Quand tout fut consommé, nos corps repus s'affaissèrent. Mon sperme collait à mon ventre tandis qu'il le répartissait en riant. 

Une bonne douche ensemble une bonne rigolade en se rhabillant et ma "foulure" fut oubliée.  Nous repartîmes courir ensemble.

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