A cette époque, j’étais membre d’une équipe de mini-foot de la région. Je n’ai jamais vraiment eu de vrai talent sportif, mais avec l'entraînement, j'y pris goût : bon pour le corps et le moral et esprit de camaraderie.
Par ailleurs, Le club cherchait un délégué et comme j’étais
l’unique candidat, je fus élu . Ma sœur s’était également inscrite comme
déléguée remplaçante pour les jours où je devrais m’absenter ou éventuellement
être sur le terrain. On était vraiment dans le fonds du classement, pas de réel
talent collectif, mais on prenait beaucoup de plaisir à se retrouver pour se
détendre les vendredis soir. La troisième mi-temps à la buvette était
d’ailleurs souvent la partie amusante de
la soirée où nous étions « obligés » de noyer notre défaite
dans la bière avec l’équipe adverse. Dans l’équipe je dois bien reconnaître
qu’il y avait quelques canons physiquement. La plupart avait entre 20 et 25
ans, exerçaient souvent un autre sport à côté et avaient quasiment tous une
copine qui venait les encourager de temps à autre. Hélas en tant que
délégué, je partais en dernier au
vestiaire. Difficile de mater et de partager ces moments de virilité dans les
vestiaires car j’assumais mon rôle sérieusement, dans la
cabine de l’arbitre pour signer les feuilles de match.
En février dernier, j’avais envoyé le message de convocation au match comme à l’accoutumée et je n’eus que 7 réponses positives. Certes, il ne faut être que 5 sur le terrain mais le football en salle étant fort physique, il est souvent difficile d’assumer tout un match sur le terrain, raison pour laquelle les remplacements sont autorisés à l’infini lors d’une rencontre. J’en parlai avec un de mes potes qui pensait qu’un 8e serait quand même utile. Je décidai, alors que j'étais légèrement blessé, de me sacrifier et de me porter volontaire en tant que joueur, je ne pouvais de toute façon pas faire pire que mes coéquipiers depuis le début de la saison. Ma sœur repris donc le flambeau en tant que déléguée et me voilà dans les vestiaires au milieu de l'équipe, Dieu, que ces mecs sont bien foutus! Étant plutôt pudique, j’ai tendance à m’installer dans des endroits discrets de la pièce qui ont l’avantage de permettre un angle de vision général sur mes coéquipiers et de ne pas trop vu non plus. Nous nous sommes habillés et rendus sur le terrain.
Le match fut catastrophique, même si j’étais surpris de ne pas être aussi nul que je ne le pensais. Le score final était de 18 - 2! On se dirigeait vers les vestiaires quand ma sœur, qui partait vers la buvette m’apporte la pile des cartes d’identité pour les remettre aux joueurs . Ils étaient déjà tous en boxer ou à poil lorsque j' arrivai dans les vestiaires et j’ai donc glissé les cartes d’identité dans la poche extérieure de mon sac de sport pour leur remettre plus tard. Je me déshabillai et me dirigeai vers la douche collective où ils étaient tous déjà là en train de rigoler et de chahuter leur zob à l’air.
Je m’installai à la douche la plus proche de la sortie et tentai de rester discret sur mon regard peut-être un peu trop insistant. Un des joueurs, bien musclé par son métier manuel, me regardait curieusement et me lança:
- Alors délégué, tu kiffes de nous voir tous à poils ?
Surpris, je tentai de prendre un air ahuri cherchant à montrer mon étonnement et mon désintérêt. Il insista et enchaîna
-
Elle te donne envie ma queue, n’est-ce-pas ?
Par expérience, je sais que tenter de nier
l’évidence donne souvent l’effet inverse et dans ces moments-là j’ai déjà
plusieurs fois joué le jeu, ce qui me permet de finalement déstabiliser
l’interlocuteur. Je le regardai et répondis
-
Bof, d’habitude je m’en tape des bien plus
grosses que la tienne.
Grand éclat de rire collectif, le
groupe le regarda et un d’eux surenchérit
-
Bahh, comment il t’a cassé ! T’es vraiment
qu’une p’tite bite.
En effet, il était blessé dans son amour propre et se rapprocha de moi, attrapa mes cheveux avec une main et pencha ma tête vers son sexe en criant fièrement
-
On va voir s’il l’aime pas ma queue.
La force de son geste me poussa à
me mettre à genoux, me retrouvant face à face avec sa queue qui je dois bien le
reconnaître était très attirante. Il avança son bassin de ma bouche et
instinctivement je l’ouvris et goba son sexe. Je commençai à lui prodiguer ce
qui semblait être mon plus grand talent ; je le suçai, léchai et pompai
bien son sexe rapidement devenu un vrai bazooka dans ma bouche. Il me baisait
la bouche pas trop rapidement comme pour bien profiter de chaque sensation que
je lui procurais. J’en avais presque oublié les 6 autres qui nous regardaient, sans
dote éberlués. je jetai un œil autour de
moi et je les vis tous en train de se caresser et masturber la bite. L’un deux
se rapprocha et dit qu’il voulait son tour, je dégageai alors ma tête et la
tournai à droite pour le sucer à son tour, son sexe était plus fin et me touchait la glotte à chaque coup de rein
tellement elle était longue. A ma gauche un troisième se présenta et j’alternai
avec lui tout en branlant deux autres queues au hasard avec mes mains. Je n’en
revenais pas, c’était encore mieux que dans mes rêves les plus fous.
J’enchaînais les queues dans ma bouche, dans ma main, avec leurs calibres,
leurs pilosités et leurs énergies respectives. Je ne sais pas si je les eu tous
eu en bouche mais tous étaient restés dans la douche tout au long en tout cas.
Je respirais difficilement
tellement j’étais excité d’enchaîner ainsi les objets de mes fantasmes secrets.
Tout à coup, mon assaillant initial revint en position, me pilonna trois ou
quatre fois la bouche avec force et déversa ensuite son flot de sperme sur mon
visage, ça coulait partout jusque dans mes yeux. Un deuxième très excité par ce
qu’il venait de voir reproduit le même schéma d’abord dans ma bouche puis sur
mon visage. Autant dire que j’étais aveuglé et en quelque sorte à leur merci.
Ils se succédèrent tous les sept sur mon visage, l’acidité de leur semence me
brûlait la peau. Le dernier fit une espèce de caresse sur mon visage en me
chuchotant à l’oreille
- C’est bon te voilà tranquille, tu peux te laver.
Il me releva et me dirigea vers une douche
qu’il alluma pour moi afin que je me rince le corps pour commencer.
Après cela Je me branlai seul,
puis lavé, et ensuite rhabillé, tout le monde étant déjà parti du vestiaire. Je
les rejoignis à la buvette, ils firent évidemment tous semblant de rien et me tendirent
une bière et trinquèrent à ma santé. L’un deux me fit un clin d’œil, je pense
que c’était lui qui m’avait relevé et amené gentiment vers la douche.
Le lendemain, je reçu un message
d’un des deux jumeaux de notre club. Ils ont réellement le physique de dieux
grecs sans exagérer, une musculature entretenue mais pas exagérément, un visage
d’ange, des yeux à tomber par terre et leur sourire, leur sourire... Hum, bref,
des vrais beaux gosses. Le texto disait "Salut délégué, c’est toi qui a
nos cartes d’identité parce qu’on en aurait besoin pour aller à Londres demain
?".
Je répondis immédiatement
"Oui désolé, hier j’ai eu la tête ailleurs ! Comment voulez-vous qu’on
s’arrange ?". Il enchaînait "Si tu veux, on est près de chez toi, on
peut passer ?". Ne pouvant décemment pas faire autrement, j’acceptai. Dix
minutes plus tard, les voilà tous les deux à ma porte. La vision de ces deux
éphèbes à l’entrée de chez moi me remplissait de désir. Je les saluai, leur
proposai de s’asseoir et leur rendis directement leurs cartes d’identité afin
de ne pas oublier. Je leur demandai s’ils voulaient boire un verre, ils acceptèrent.
J’avais l’impression d’être dans un rêve, il y avait une espèce de tendresse dans leurs gestes mêlée à une fougue de jeunes en rut. Je prenais un pied grave et ne m’en cachais pas auprès d’eux, mes gémissements le prouvaient. Les voilà qui échangeaient les positions, je me retrouvai à sucer la queue qui venait de me pénétrer le cul, pendant que l’autre entamait lui aussi ses coups de reins dans mes entrailles. Cela dura encore dix bonnes minutes, je gémissais, je me touchais, je suçais, je caressais, je léchais, j’étais aux anges !
quand soudain celui qui me
baisait la gorge se crispa et m’envoya tout son foutre en pleine bouche. Il se
retira et la queue bien essuyée par mes soins, assis sur le canapé, nous
regardait continuer.
Son jumeau continuait à me
pilonner l’anus, ses couilles cognaient contre moi et bientôt je jouis sans même me toucher ; de long jets de
foutre, s’écoulaient de ma queue.
Quelques secondes plus tard, il fit pareil inondant
mon cul de sa semence.
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