22 octobre 2020

l'équipe de mini foot

 


A cette époque, j’étais membre d’une équipe de mini-foot de la région. Je n’ai jamais vraiment eu de vrai talent sportif, mais avec l'entraînement,  j'y  pris goût : bon pour le corps et le moral et esprit de camaraderie.

Par ailleurs,  Le club cherchait un délégué et comme j’étais l’unique candidat, je fus élu . Ma sœur s’était également inscrite comme déléguée remplaçante pour les jours où je devrais m’absenter ou éventuellement être sur le terrain. On était vraiment dans le fonds du classement, pas de réel talent collectif, mais on prenait beaucoup de plaisir à se retrouver pour se détendre les vendredis soir. La troisième mi-temps à la buvette était d’ailleurs souvent la partie  amusante de la soirée où nous étions  « obligés » de noyer notre défaite dans la bière avec l’équipe adverse. Dans l’équipe je dois bien reconnaître qu’il y avait quelques canons physiquement. La plupart avait entre 20 et 25 ans, exerçaient souvent un autre sport à côté et avaient quasiment tous une copine qui venait les encourager de temps à autre. Hélas en tant que délégué,  je partais en dernier au vestiaire. Difficile de mater et de partager ces moments de virilité dans les vestiaires  car  j’assumais mon rôle sérieusement, dans la cabine de l’arbitre pour signer les feuilles de match.

En février dernier, j’avais envoyé le message de convocation au match comme à l’accoutumée et je n’eus que 7 réponses positives. Certes, il ne faut être que 5 sur le terrain mais le football en salle étant fort physique, il est souvent difficile d’assumer tout un match sur le terrain, raison pour laquelle les remplacements sont autorisés à l’infini lors d’une rencontre. J’en parlai avec un de mes potes qui pensait qu’un 8e serait quand même utile. Je décidai, alors que j'étais légèrement blessé, de me sacrifier et de me porter volontaire en tant que joueur, je ne pouvais de toute façon pas faire pire que mes coéquipiers depuis le début de la saison. Ma sœur repris donc le flambeau en tant que déléguée et me voilà dans les vestiaires au milieu de  l'équipe, Dieu, que ces mecs sont bien foutus! Étant plutôt pudique, j’ai tendance à m’installer dans des endroits discrets de la pièce qui ont l’avantage de permettre un angle de vision général sur mes coéquipiers et de ne pas trop vu non plus. Nous nous sommes habillés et rendus sur le terrain. 


Le match fut catastrophique, même si j’étais surpris de ne pas être aussi nul que je ne le pensais. Le score final était de 18 - 2! On se dirigeait vers les vestiaires quand ma sœur, qui partait vers la buvette m’apporte la pile des cartes d’identité pour les remettre aux joueurs . Ils étaient déjà tous en boxer ou à poil lorsque j' arrivai dans les vestiaires et j’ai donc glissé les cartes d’identité dans la poche extérieure de mon sac de sport pour leur remettre plus tard. Je me déshabillai et me dirigeai vers la douche collective où ils étaient tous déjà là en train de rigoler et de chahuter leur zob à l’air.

Je m’installai à la douche la plus proche de la sortie et tentai de rester discret sur mon regard peut-être un peu trop insistant. Un des joueurs, bien musclé par son métier manuel, me regardait curieusement  et me lança:


-  Alors délégué, tu kiffes de nous voir tous à poils ?

 Surpris, je tentai de prendre un air ahuri cherchant à montrer mon étonnement et mon désintérêt. Il insista et enchaîna

-        Elle te donne envie ma queue, n’est-ce-pas ?

 Par expérience, je sais que tenter de nier l’évidence donne souvent l’effet inverse et dans ces moments-là j’ai déjà plusieurs fois joué le jeu, ce qui me permet de finalement déstabiliser l’interlocuteur. Je le regardai et répondis

-        Bof, d’habitude je m’en tape des bien plus grosses que la tienne.

Grand éclat de rire collectif, le groupe le regarda et un d’eux surenchérit

-        Bahh, comment il t’a cassé ! T’es vraiment qu’une p’tite bite.

 En effet, il était blessé dans son amour propre et se rapprocha de moi, attrapa mes cheveux avec une main et pencha ma tête vers son sexe en criant fièrement


-        On va voir s’il l’aime pas ma queue.

La force de son geste me poussa à me mettre à genoux, me retrouvant face à face avec sa queue qui je dois bien le reconnaître était très attirante. Il avança son bassin de ma bouche et instinctivement je l’ouvris et goba son sexe. Je commençai à lui prodiguer ce qui semblait être mon plus grand talent ; je le suçai, léchai et pompai bien son sexe rapidement devenu un vrai bazooka dans ma bouche. Il me baisait la bouche pas trop rapidement comme pour bien profiter de chaque sensation que je lui procurais. J’en avais presque oublié les 6 autres qui nous regardaient, sans dote éberlués.  je jetai un œil autour de moi et je les vis tous en train de se caresser et masturber la bite. L’un deux se rapprocha et dit qu’il voulait son tour, je dégageai alors ma tête et la tournai à droite pour le sucer à son tour, son sexe était plus fin et  me touchait la glotte à chaque coup de rein tellement elle était longue. A ma gauche un troisième se présenta et j’alternai avec lui tout en branlant deux autres queues au hasard avec mes mains. Je n’en revenais pas, c’était encore mieux que dans mes rêves les plus fous. J’enchaînais les queues dans ma bouche, dans ma main, avec leurs calibres, leurs pilosités et leurs énergies respectives. Je ne sais pas si je les eu tous eu en bouche mais tous étaient restés dans la douche tout au long en tout cas.

Je respirais difficilement tellement j’étais excité d’enchaîner ainsi les objets de mes fantasmes secrets. Tout à coup, mon assaillant initial revint en position, me pilonna trois ou quatre fois la bouche avec force et déversa ensuite son flot de sperme sur mon visage, ça coulait partout jusque dans mes yeux. Un deuxième très excité par ce qu’il venait de voir reproduit le même schéma d’abord dans ma bouche puis sur mon visage. Autant dire que j’étais aveuglé et en quelque sorte à leur merci. Ils se succédèrent tous les sept sur mon visage, l’acidité de leur semence me brûlait la peau. Le dernier fit une espèce de caresse sur mon visage en me chuchotant à l’oreille

-        C’est bon te voilà tranquille, tu peux te laver.



 

 Il me releva et me dirigea vers une douche qu’il alluma pour moi afin que je me rince le corps pour commencer.

Après cela Je me branlai seul, puis lavé, et ensuite rhabillé, tout le monde étant déjà parti du vestiaire. Je les rejoignis à la buvette, ils firent évidemment tous semblant de rien et me tendirent une bière et trinquèrent à ma santé. L’un deux me fit un clin d’œil, je pense que c’était lui qui m’avait relevé et amené gentiment vers la douche.

Le lendemain, je reçu un message d’un des deux jumeaux de notre club. Ils ont réellement le physique de dieux grecs sans exagérer, une musculature entretenue mais pas exagérément, un visage d’ange, des yeux à tomber par terre et leur sourire, leur sourire... Hum, bref, des vrais beaux gosses. Le texto disait "Salut délégué, c’est toi qui a nos cartes d’identité parce qu’on en aurait besoin pour aller à Londres demain ?".

Je répondis immédiatement "Oui désolé, hier j’ai eu la tête ailleurs ! Comment voulez-vous qu’on s’arrange ?". Il enchaînait "Si tu veux, on est près de chez toi, on peut passer ?". Ne pouvant décemment pas faire autrement, j’acceptai. Dix minutes plus tard, les voilà tous les deux à ma porte. La vision de ces deux éphèbes à l’entrée de chez moi me remplissait de désir. Je les saluai, leur proposai de s’asseoir et leur rendis directement leurs cartes d’identité afin de ne pas oublier. Je leur demandai s’ils voulaient boire un verre, ils acceptèrent.

Lorsque je revins de la cuisine avec les rafraichissements, qu’elle ne fut pas ma surprise de les retrouver tous les deux, le pantalon baissé, la queue à l’air se caressant l’entrejambe. L’un des deux me regardait et me demanda si je voulais un second tour ? Vu ce qui s’était passé la veille, j’aurais été débile de refuser et me mis donc à nouveau à genoux entre leurs deux membres et commençai à les pomper l’un après l’autre avec autant d’envie que dans les douches. Ils sont vraiment identiques jusqu’au bout et je ne constatai aucune différence entre leurs deux queues. A un moment ils me firent me relever, un des deux se plaça derrière moi et l’autre me présenta à nouveau sa queue sur laquelle je me penchai pour bien en profiter. Je sentis en même temps le deuxième me bouffer le cul, me doigter et ce n’était pas pour me déplaire. Une fois mon cul dilaté ce qu’il fallait, il se releva et m’enfonça son pieu dans le derrière. Je gémis. Il entama alors des va-et-vient en moi de plus en plus violents pendant que j’avais en bouche son double.

J’avais l’impression d’être dans un rêve, il y avait une espèce de tendresse dans leurs gestes mêlée à une fougue de jeunes en rut. Je prenais un pied grave et ne m’en cachais pas auprès d’eux, mes gémissements le prouvaient. Les voilà qui échangeaient les positions, je me retrouvai à sucer la queue qui venait de me pénétrer le cul, pendant que l’autre entamait lui aussi ses coups de reins dans mes entrailles. Cela dura  encore dix bonnes minutes, je gémissais, je me touchais, je suçais, je caressais, je léchais, j’étais aux anges !


quand soudain celui qui me baisait la gorge se crispa et m’envoya tout son foutre en pleine bouche. Il se retira et la queue bien essuyée par mes soins, assis sur le canapé, nous regardait continuer.

Son jumeau continuait à me pilonner l’anus, ses couilles cognaient contre moi et bientôt je jouis  sans même me toucher ; de long jets de foutre, s’écoulaient de ma queue.

Quelques  secondes plus tard, il fit pareil inondant mon cul de sa semence.




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