Un été comme un autre dans une station balnéaire dans un pays pas
forcément tolérant en matière d'homosexualité. La station étant néanmoins
fréquentée par une petite communauté gay internationale, en cherchant
bien, il était possible de trouver des boîtes de nuit "friendly". "Le
pottchy " était sans doute la plus "affichée" mais elle avait
l'inconvénient ou l'avantage c'est selon, de se trouver en pleine
campagne assez éloignée de la ville. En tous cas uniquement accessible
en voiture, ce qui assurait ma fois une certaine tranquillité et
évitait, semble t-il, les descentes de police par ailleurs largement
récompensées.
Ce soir, il y avait une soirée déguisée, je le donne en mille : "village people or seventies ". Sachant
que nous étions tous là pour rencontrer l'autochtone et faciliter les
échanges de culture, je n'avais pas hésité pour choisir une tenue très
légère... J'avais enfilé la tenue du parfait runner seventies. Un affreux short en
nylon, un débardeur du même acabit et bien entendu, élément essentiel s'il en fut, le
serre tête!
La fête battait son plein. On croisait tous les
costumes "attendus" dans cette région encore reculée et finalement assez
macho. On pouvait vraiment se croire dans le clip du village people et
d'ailleurs le Dj n'avait nullement hésité et passait joyeusement tous
les grands succès des années disco. Des flics, des cow boys, des indiens,
des motards, des joueurs de foot, bref toute la panoplie camp et bitch.
Cela
sentait la sueur et la fumée mêlée. L'interdiction de fumer dans les
lieux publics n'était pas encore arrivée jusqu'ici. Par contre l'alcool
coulait peu, là aussi prévisible dans un pays musulman. Seuls les
touristes et de rares locaux, commandaient des boissons alcoolisées.
Pas
de dérapages visibles. Ambiance classique de toute boite: des danseurs
dansant seuls ou à deux, quelques fois assez lascivement, beaucoup de
torses nus, quelques mecs déjà en slips, principalement des
touristes. Des discussions au bar, quelques tables basses. Tout se
passait et devait se passer à l'étage. Pas une back room, non. Une
longue et étroite mezzanine occupée de tout le long de banquette en cuir
rouge et plongée dans une obscurité relative car si elle se trouvait au
dessus de la piste de danse et l'entourant, elle était au dessus des
spots tous dirigés vers le bas.
Je dansais longuement sur la
disco. C'était super et si estival! Cela avait le mérite de faire
sourire tout le monde facilitant le contact. Les corps se rapprochaient,
se frôlaient. Certains dansaient ensemble et peu à peu les groupe se
fondaient se mélangeaient. Ma tenue légère de sportif était parfaitement
adéquate. Je suais déjà comme un malade. Mon Marcel me collait à la
peau, mon serre tête faisait son office et mon short en nylon était
trempé aussi. Je sentais par ailleurs le petit slip acrylique coller à
mon sexe, cela se voyait et m'excitait encore plus.
Bientôt,
un mec déguisé en motard s'approcha, s'insérant dans notre groupe de
français et, avec un large sourire se mît à danser près de moi et avec
moi. Il était torse nu sous son blouson de moto et dégoulinait de sueur.
Bientôt il se colla à moi, cul contre ventre et après un rapide pas de
deux durant lequel il s'amusa à caresser ma queue sous le short
provoquant chez moi une érection presque immédiate, impossible à cacher par le peu de tissu
servant à me couvrir.
Il me prit alors par la main et m'entraina à l'étage.
Il me prit alors par la main et m'entraina à l'étage.
À peine assis sur la
banquette de cuir, il sortit ma queue et l'engouffra prestement et
profondément.
Il savait si prendre le bougre! Je lui déboutonnai
le jean, il ne portait rien non plus en dessous. Je baissai son froc et
lui malaxais les fesses tandis qu'il me pompait intensément.
Je
sentais sous mes mains ses fesses fermes et surtout sa rosace déjà bien
accueillante sous une forêt humide de poils . N'en pouvant plus et malgré les regards concupiscents
que je sentais plus que je voyais tout autour de moi, je me levai la
queue dressée, je fis tomber mon short et lui plantai devant les yeux
cet engin qu'il désirait tant.
Lui ayant soulevé les jambes, je lui bouffai un long moment la raie, me régalant de sa moiteur musquée.
Lui ayant soulevé les jambes, je lui bouffai un long moment la raie, me régalant de sa moiteur musquée.
je le pénétrai sans difficulté. J'allais et venais en lui, soutirant à chaque
coup de rein des gémissements excitants et de plus en plus francs. Je
changeai alors de position, je voulais voir mon sexe aller et venir en
lui, je voulais voir son anus dilaté m'appelant, me désirant encore et
encore quand je sortais entièrement ma longue verge.
Bientôt, trop tôt, sans doute un peu pressé par l'endroit et les voyeurs amassés autour de nous , je jouis, je couvris son cul ouvert de mon épaisse semence que je fis rentrer avec application de quelques derniers coup de bite. J'essuyai le reste du bout des doigts et lui tendis à lécher tandis qu'il se finissait dans un long spasme de plaisir. Nous nous quittâmes ainsi, nous frayant un passage entre les mateurs.
Bientôt, trop tôt, sans doute un peu pressé par l'endroit et les voyeurs amassés autour de nous , je jouis, je couvris son cul ouvert de mon épaisse semence que je fis rentrer avec application de quelques derniers coup de bite. J'essuyai le reste du bout des doigts et lui tendis à lécher tandis qu'il se finissait dans un long spasme de plaisir. Nous nous quittâmes ainsi, nous frayant un passage entre les mateurs.
La
nuit ne faisait que commencer, j'allais aimer cet endroit.
Miam. Chaud devant....
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