20 octobre 2020

un dernier? pour la route? **


Tu as décidé que, oui vraiment tu ferais l’amour avec moi. quand tu me l'as dit, c'était au détour d'une conversation, quelque part entre Madeleine et Concorde. Quelques instants avant nous parlions des fringues que nous venions d'acheter, quelques instants après, du film que nous allions voir sur les Champs. Tu m'as excité un moment mais ne te croyant pas, j'ai vite oublié.
C’est à vrai dire une situation délicate pour moi ! Bien sûr que j’en meurs d’envie, et depuis fort longtemps. Mais nous avons depuis, eu le temps de devenir amis. Nous avons depuis, parlé, rigolé, partagé déjà un peu d’intimité. Nous nous connaissons donc un peu, trop peut-être pour donner à l’amour des corps l’intensité, la force de la découverte de l’inconnu qui mérite de transgresser l’amour conjugal. Mais cette amitié naissante n’a pas tué mon désir et a fait naître en toi, l’hétero de base, après le jeu habituel du charmeur, conscient de l’effet produit, une certaine envie de passer outre les barrières. Ce soir là, nous avions passé une bonne soirée entre copains ; tu m’as parlé de tes conquêtes, de toutes ces filles qui te courent après et que tu dédaigne la plupart du temps. Celles que tu raccompagnes chez elles et qui ne demandent qu’une seule chose : que tu montes chez elles prendre un dernier verre, le dernier, pour la route… et toi, tu prends un malin plaisir (que tu dis) à justement, ne prendre que ce dernier verre, pour la route… mais ton insistance à vouloir passer pour un allumeur est douteuse, le sourire de tes yeux cherchant à mesurer l’effet produit sur moi en dit long sur ce que tu as en tête. Alors nous aussi nous montons chez moi boire un dernier verre… mais c’est toi qui me le propose ! 
Ta main s’est posée sur mon genou, tu n’as même pas attendu que je te propose une boisson. Tu m’as dit " je veux bien essayer" et, sans attendre, tu t’es déshabillé ; ostensiblement, devant moi, comme pour bien te montrer, fier de ton corps, sûr de l’effet que cela effectivement, me faisait. Me voilà mort de trouille, paniqué, que faire ? Accepter ? Refuser ? Tu te joues de moi ? Est-ce du bluff, vas-tu au dernier moment partir dans un énorme éclat de rire et me jeter à la figure « mais tu n’as quand même pas cru que j’étais sérieux !!? »
Mais non, tu n’as plus sur toi maintenant que ton caleçon et ton sourire ravageur, encore plus ravageur quand tu commences, sans un instant d’hésitation à enlever ce dernier bout de tissu. Découvrant ainsi, derrière une délicieuse touffe de poils, ta queue, ta queue à toi mon ami. Et tu restes là, fier comme Artaban debout et nu devant moi, ta bite à quelques de centimètres de mon visage ; et moi, qui reste cloué là, assis sur mon canapé. Bravo tu as réussi à me déglinguer la tête, je bouillonne, je dois faire quelque chose tandis que tu me regardes, ton sourire franc et sans arrières pensées et ta queue, ta queue, là juste devant moi qui doucement se dresse, les effluves de ton intimité qui déjà me parviennent. Il faut que je réagisse !
J'approche mon visage, doucement,  trop sans doute mais je suis assailli de questions,; faut-il,  faut-il pas,... et en même temps ton odeur m'enivre.. 
Ta queue se raidit chaque seconde un peu plus et toi tu ne bouges pas tu me regarde,  la bouche entrouverte, déjà,  à quelques centimètres de ta verge.
Ça y est,  je la caresse de mes lèvres,  elle se dresse maintenant.  Longue,  veillée, et je frôle toujours avec mes lèvres entrouvertes, la jointure de peau qui me mène à tes bourses. 
Je les prends en main tandis que mes lèvres remontent vers le gland a moitié décalotté par la tension et la raideur de ta verge. 
Je te regarde me regarder quelques instants avant enfin de la prendre en bouche, te soutirant ton premier soupir.  Voilà, je te donne du plaisir. Ma bouche  parcoure ta verge,  tes couilles, se glisse entre tes cuisses que tu écartes pour me faciliter l'exploration.  

Ma queue me fait mal tellement elle est comprimée dans mes fringues.  Je me lève,  me colle à lui,  mes mains caressant ses fesses, les yeux dans les yeux. 
- tu es sûr? C'est ce que tu veux ?
Il prend mon visage dans ses mains, m'embrasse,
- t'as vu ma queue ? Tu vois quoi dans mes yeux,  imbécile ?!
Pour seule réponse, je te prends par la main et nous conduit dans la  chambre et te pousse sur le lit. Couché sur le dos,  jambes écartées couronnées par son superbe sexe en majesté. Je te regarde dans ta belle nudité , je te regarde dans ton attente de moi. Les yeux rivés sur ton pieu  qui bat à rompre contre ton ventre , je me déshabille et c'est nu que je me couche sur toi. Nos queues l'une contre l'autre, je t'embrasse et nos  salives se mêlent, nos corps  s'enlacent et nos odeurs se mêlent, nous enivrent. Enfin  je connais le grain de ta peau,  le goût de ta mouille. 

 Je me glisse entre tes fesses, hume ton intimité, recueille les précieuses et fines gouttelettes de sueur , et force de la langue ton œillet. tu gémis, bien sûr, c'est surement la première fois que l'on te fait cela! Tu viens me chercher, tu veux la bouche qui a vaincu ton intimité, tu veux toi aussi en connaître la saveur. tu me dévore la bouche, tu happe furieusement ma langue, tu baise mes yeux, mon nez.  Nos corps s'embrasent, se déchirent sous les caresses et les baisers. Enfin, tu te tournes vers mon pubis, ta bouche parcoure ma toison avant de dévorer ma verge. Tête bèche , je baise tes boules, lèche ton entrejambe et  écartant tes fesses,  fourre mon visage dans ta brousse humide vers ta rondelle.  Moi aussi,  en cet instant,  voudrais te sentir entre mes fesses,  sentir ton souffle contre ma rosace, sentir peut-être aussi tes doigts,... Mais c'est sans doute trop tôt pour toi. Alors je t'offre mon cul, à toi mon pote hétéro ; c'est, me dis-je,  ce que tu sais et aime faire.  Je me donne donc à toi.
- baise-moi,  dis-je entre deux halètements
- Non, je veux aller jusqu'au bout, toi,  baise-moi,  je veux savoir ce que ça fait.... mais vas-y mollo...
- toi, alors?! T'es sûr ?
Pour toute réponse,  il se met à califourchon sur moi et s'assoit sur mon visage.  En écartant bien ses demi-lunes, j'y fourre ma langue,  je lèche sa rondelle, je crache et doucement il s'entrouvre et je me  fais un passage, l'obligeant à lâcher ma verge et lui arrachant un premier gémissement de plaisir.
Je lui demande de se mettre sur le dos  écarte ses jambes et je continue à lui préparer le cul. Je crache, lèche puis présente mon doigt à sa rondelle et doucement l'introduit tout en lui suçant la bite.
Je fais quelques va-et-vient qui l'électrisent et j'y met un second  doigt. Il grimace mais je  continue à le préparer. Tandis que je lui dilate la rosace,  je lui caresse le ventre, la queue, je l'apaise.
- ça va ? Tu veux que je m'arrête tu n'as qu'à le dire. 
Mes doigts naviguent bien en lui ; Bon Dieu,  je suis en train de doigter mon meilleur pote! Mon meilleur pote soupire les yeux fermés,  la bouche entrouverte , mon meilleur pote se  tortille , se cambre sensible à mes caresses.
Je me retire et regarde entre ses fesses écartées,  son cul entrouvert. Je le retourne sur le ventre, attire son bassin vers moi et de nouveau je lui bouffe la rondelle; intensément. voilà, il gémit et par moment, peut-être encore inconsciemment il se cambre et pousse son cul sur mon visage. Je présente ma verge, mon gland est tout contre son œillet; je pousse, doucement; très doucement; il se crispe, je me retire quelques instants et je reviens.
-Respire profondément; ça va aller dis-je en poussant.
j'y suis et entre cm par cm et, quand enfin mon bassin est tout contre ses fesses, j'entame mes va-et-vient.
je le calme, le rassure, son corps est en sueur, le mien aussi; ses petits cris de douleur se transforment en soupirs de plaisir; nous y sommes. je le chevauche, tapote de temps ses fesses charnues, l'embrasse aussi tandis que mes coups de reins enfoncent mon dard au plus profond de lui. 
- je vais jouir, mec, tu veux gouter au foutre? 
il ne dit rien mais à ses yeux je comprend qu'il m'attend. je me dégage, approche ma queue de son visage et lui envoie  de longs et abondants jets de ma semence.
- A toi maintenant, je le caresse, l'embrase, le suce et bientôt son ventre se couvre de sperme. 
Voilà c'est fait, une page est tournée. Ne pas parler, surtout. Laisser passer la nuit, demain, on verra!













1 commentaire:

  1. "je bouillonne, je dois faire quelque chose tandis que... "je te lis :-).

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