après la tournée des bars du marais, seul encore, je m'apprêtais à rentrer chez moi. La rue était déserte et froide et après avoir vainement guetté le passage d'un taxi, je m'arrêtai un moment pour commander un vtc. Le nez encore dans mon smartphone, une voiture s'arrêta près de moi.
- salut, on passait devant le bar au coin de la rue et on t'a repéré! T'es rudement mignon ! T'es tout seul et on s'est dit que peut-être tu ne voudrais pas finir la nuit tout seul...
Un peu gêné et tout de même amusé voire flatté, je déclinai poliment,
- sympa mais tu vois j'étais en train de commander un cab pour aller chez un pote.
- tu sais, en fait on voulait te proposer un plan cul.. Erwan à l'arrière est acteur porno, tu lui a tapé dans l'oeil et il bande grave pour toi.. Il voudrait bien tourner un plan cul avec toi.. une petite aventure exhib, ça te dirait?
- Pas trop mon trip, vraiment...
- Allez monte, on t'emmène là où tu vas et entre temps, Erwan va te montrer ses atouts, si tu changes d'avis...
- on filme mais c'est juste pour rigoler. On te file la cassette, on se garde juste une copie.
Je tentai d'apercevoir sans trop de succès ce Erwan derrière la vitre mais j'avoue que cette situation insolite m'excitait et après quelques instants d'hésitation, je donnai mon accord.
- ok , je vous donne l'adresse, merci pour le ride!
Je montai à l'arrière du véhicule et claquai la portière.
Erwan me salua avec un superbe sourire.
Pas mal le gus... il se caressait l'entrejambe qui effectivement semblait bien réagir à ses caresses.
- Erwan, montre-lui comment t'es chaud bouillant !
Je remarquai alors qu'il filmaient encore avec un smartphone sur un trépied.
- vous filmez encore ?
- oui, t'inquiètes pas, si tu veux pas jouer avec nous, on effacera.
Erwan me pris alors la main et la posa sur sa queue qui se dressait massive hors de son falze.
L'engin était brûlant ; magnifié par intermittence par les néons de la rue. Je sentais sur mes doigts saillir les veines gonflées de sang,..
Je m'approchai. Une forte odeur envahit mes narines. Il avait visiblement jouit il y a peu sans prendre le temps de se laver.. ajoutant encore à l'attirance un peu sauvage de cet Erwan. Je humai ce vit, le décalottai, le léchai avant de l'engloutir .
Il se dégagea de son pantalon et de son slip, offrant à ma bouche sa queue dans toute sa longueur ainsi que ses couilles et son entrejambe humide.
Je bandais, je bandais tellement dur comprimé dans mon jean, que cela en devenait douloureux.
- Alors, convaincu ? T'es ok? Tu vas prendre ton pied comme jamais.
Cette question n'appelait visiblement pas de réponse. La voiture roulait vers une destination inconnue , la caméra filmait sans interruption, je ne pensais plus qu'à mon désir tandis que Erwan libérait ma verge de sa cage.
A genoux entre ses cuisses écartées, sa tige noueuse en face de mon visage, je me délectai de la vue de ce mandrin puissant, lourd. Je pouvais en voir chaque détail et
c’était un ravissement. Je posai mon visage sur son ventre. Sec et ferme,
je sentais chacune des contractions de son abdomen. Mon visage descendit plus bas, jusque sur son pubis joliment taillé. Je sentais les poils de sa
toison contre moi. Il commença alors à passer sa queue sur mon visage et
j’enfonçai mon visage contre elle. Ma bouche s'approchant de nouveau, happa la base de sa hampe.
Et je commençai à glisser sur la partie antérieure. Ma bouche encercla son gland et je posai ma langue sur son frein, laissant ainsi un peu durer, n’encerclant que la tête puis, je tournai autour faisant rouler son gland dans ma bouche, entre mes joues et ma langue. C’était tout bonnement délicieux.
Pendant ce temps, courbé sur moi, sa main flattait ma croupe et un doigt tentait déjà d'explorer mon cul.
La voiture ralentit, je me relevai. La caméra filmait toujours.
- hmmm, belle queue ! Bien raide, mon cochon! Laisse-moi la filmer . Erwan , suce-la un peu, tu vas te régaler.
Erwan ne se fit pas prier et avala entièrement mon chibre pourtant de belle taille.
- putain elle est bonne, marmonna t'il la bouche pleine, nous faisant rire aux éclats.
La voiture s'arrêta dans une ruelle sombre, devant un immeuble minable .
- on arrive, je monte le premier, mettre le chauffage et préparer la caméra, c'est au sixième, Erwan connaît le chemin.
En riant comme des gosses, nous nous aidâmes mutuellement à ranger tant bien que mal nos braquemarts dans nos pantalons, nous nous précipitâmes dans l'escalier et montâmes quatre à quatre en chahutant jusqu'au palier du sixième où nous retrouvâmes - je réalisai alors que je ne savais pas encore son nom- le cameraman.
L'immeuble, passablement délabré, semblait entièrement abandonné par des squatteurs. Les murs étaient par endroits couverts de tags. L'appartement en question était un "champ de ruine ", murs défoncés et tagués, chaises branlantes, matelas souillé et chauffage rudimentaire confié à des radians à infrarouge,... mais j'étais chaud en dedans et sans attendre, je poussai Erwan contre le mur, baissai son jean et son slip, m'agenouillai devant sa queue dressée et avalai entièrement sa queue recta, et très vite en gorge profonde, ce
qui s'avérait une performance compte tenu de la longueur. C'était juste
fantastique, sa queue était super raide, il poussait de petits gémissements
trop délicieux; je le suçais doucement avec des changements
de rythme alternant avec ses couilles que je
massais dans ma bouche, l’une après l’autre.
Sa bite dans la bouche, j'ôtai mes vêtements, faisant valser ma doudoune, mon pull, mon t-shirt. Il fit de même me permettant ainsi de parcourir son torse musclé et m'attarder sur ses tétons durcis. Je rêvai de fourrer ma langue entre ses fesses mais il ne m'en laissa pas le temps. Il me releva, fit tomber mon pantalon et mon boxer, se débarrassa du sien.
Nous voilà nus dans un chantier, entre deux radiateurs infrarouge, filmés en permanence et les hormones à l'envers qui nous faisaient oublier l'environnement pour ne penser qu'au plaisir. Il se baissa pour s'occuper de mon chibre. D'une main, tout en me caressant de l'autre la raie des fesses, il tirait fort sur mes couilles m'obligeant ainsi à pousser ma verge dans sa gorge . C'était douloureux, une douleur qui accentuait encore le plaisir de ma queue dans sa gorge, de sa langue contre mon gland.
quand il me lâcha enfin, j'étais au bord de la jouissance.
- Tu mouilles bien mon salaud! me dit-il , on va changer de jeu.. Retourne-toi et écarte bien les cuisses que je m'occupe de ta rondelle!
Les mains contre le mur, je galbai le dos
pour mieux m’offrir. Il caressa mes fesses un moment, posa sur chacune un baiser, les écarta et je sentis alors son regard posé sur ma rosace, je m'offris encore plus.
- Hmm, on m'appelle, dit-il rieur.
Sa langue parcourut d’abord les bords puis
doucement se glissa dans un tourbillon de plaisir au centre de ma rondelle. j'écartai encore plus les cuisses, me cambrai encore plus si tant est que cela fut possible, tout mon corps vibrait aux caresses, aux mouvements de cette langue qui me pénétrait.
Il cracha et à chacun de ses coups de langue, grandissait l'envie
qu’il aille plus profondément. Je sentais son souffle, haletant, sa barbe
de trois jours contre mes fesses, je perdais pied. Je le voulais en moi, maintenant; il
le comprit.
Il se redressa, je l’entendis cracher et sentis enfin la douce pression entre mes fesses. Puis, d’un coup ferme, il me pénétra. La douleur laissa vite place au plaisir. Il attendit un peu
et s’enfonça à fond. La danse commença. Je sentais son gland frotter, sa bite
gonflée en moi. Ses bourses qui venaient claquer contre mes fesses. J’adorais le rythme de ces percussions. Je gémissais.
J'avais oublié le caméraman qui vint se glisser sous nous sans doute pour filmer en gros plan, ce long mandrin m'embrocher, ces couilles battre contre mes fesses, et ma queue toujours raide se balancer au rythme des coups de butoir. Il allait et venait en moi de
plus en plus rapidement. Sa bite
me remplissait et j'en sentais toute sa géographie à chaque coup. Pour calmer le jeu, il ressortait de temps en temps, sans doute pour se délecter de la vision de mon œillet ouvert mais c'était aussi pour
mieux rentrer de nouveau et retarder l'orgasme. Je n'allais pas tenir longtemps à ce rythme. L'orgasme était proche et c'est ainsi que sans même avoir à me toucher, dans un spasme puissant, j'éjaculais en de longues rafales.
-Putain mec, je suis là! hurla en riant le caméraman, l'objectif de l'appareil inondé de foutre.
Nous nous séparâmes un moment, le temps de rire un bon coup, de reprendre souffle et de... nettoyer le matériel!
Il s'assit sur le sol froid, me tendit son mandrin que j'enfourchai recta. Pas un millimètre ne dépassait, sa longue verge était entièrement en moi et le poids de mon corps accentuait encore la puissance de ce pal. Je serrais mes sphincters autour de ses veines gonflées de sang et lui arrachait à chacun de mes va-et-vient de profonds spasmes de plaisir. ainsi je sentais sa queue grossir, se contracter de plus en plus ...
- Pas encore, il m'attira alors dans une autre pièce, m'écarta de nouveau les cuisses et m'empala d'un grand coup sec.Accroché à mon torse d'une main, il me branlait de l'autre . A intervalles de plus en plus proches, il se tendait comme prêt à jouir; il ressortait alors nous offrant quelques secondes de répit puis reprenait son pilonnage. Sa verge en moi était à rompre quand il se retira soudain
- je vais jouir!!!...
Le caméraman zooma et dans un profond gémissement, il éjacula plusieurs giclées chaudes sur mes fesses . Il me pénétra de nouveau de sa bite pleine de foutre et là n'en pouvant plus de me retenir. Mes sphincters se contractèrent sur son engin et j’explosai en plusieurs jets.
Enlacés tous les deux, nous fîmes un grand sourire à la caméra. Je réalisai soudain que je venais de m'offrir à un film de boules ....
Fin de soirée,
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