25 août 2023

sur la route

Prologue 

Cela devait être une sorte de voyage de respiration. Je venais de terminer mes études et un grand vide venait de s'installer en moi.  J'étais vidé,  lessivé.  Je prenais conscience que je rentrais dans la phase adulte de mon existence   sans trop savoir ce que cela voulait dire ni ce que cela impliquait.  Je me rendais compte aussi que j'avais sans doute consacré énormément de temps aux études et que je ne n'avais peut-être pas pris assez de temps pour réfléchir à qui j'étais.. ces vacances en solitaire devaient m'aider à prendre le temps de réfléchir à moi et  à ce que je voulais faire.  Ce fut aussi un voyage initiatique, un voyage de libération.
J'avais donc quitté mon petit appartement d'étudiant en coloc et pris la route avec pour seul objectif de marcher le plus possible,  faire éventuellement du stop ou du blablacar.  J'avais déterminé un itinéraire avec quelques haltes dans des refuges et même dans une ferme des Pyrénées où l'arrangement était de disposer du gîte et du couvert en échange de coups de mains pour les travaux de la ferme. J'avais d'ailleurs prévu d'y passer quelques jours et cela devait être mon avant-dernière étape avant de rejoindre des potes à Biarritz pour un séjour de vraies vacances. 

Première nuit à la ferme 
Effectivement quand j'arrivais enfin dans la région de la ferme j'étais  fatigué de ma longue marche et heureux de poser mon sac quelques jours.  Je regrettais juste l'idée de "travail à la ferme " et espérais que cela reste dans le domaine du "symbole " mais de toutes les manières,  je n'avais presque plus de ronds,, je m'étais engagé et donc il fallait y aller. 
La ferme était plutôt isolée et il fallait suivre un long chemin très vallonné  surplombant des paysages à couper le souffle. Après presque une bonne heure de marche depuis le village,  je voyais enfin en haut d'une petite colline une belle ferme basque.  J'étais en nage, mon tee-shirt était trempé de sueur et j'étais  mort de soif, j'avais hâte d'arriver, de découvrir ce qui allait être mon environnement pendant les prochains jours. 
Arrivé dans la cour de la ferme,  je ne vis personne. 
- bonjour ! Il y a quelqu'un ? Je suis Bastien votre hôte, criai--je.
Rien,  pas une réaction.. pourtant,  j'entendais un peu de bruit dans ce qui semblait être une étable. 
Je m'approchai, continuant à appeler quand soudain je le vis. 
Mon sang ne fit qu'un tour ; devant moi,  sortant de la pénombre de l'étable,  approchait un solide gaillard,  une fourche à la main.  Il était.. juste vêtu d'un simple boxer qui avait dû être blanc ce matin mais terriblement maculé maintenant. 
- désolé de vous recevoir dans cette tenue.  A vrai dire je ne vous attendait pas si tôt et il fait vraiment très chaud comme vous pouvez le constater... Je crois que vous avez vous aussi besoin de vous rafraîchir. 
Je devais être rouge pivoine,  la bouche entrouverte ne sachant pas quoi dire,  étonné moi-même de l'effet fulgurant que la vision de ce mec me faisait et j'espérais qu'il ne s'en aperçoive pas. 
Il était roux, plutôt grand,  aussi grand que moi,  un torse puissant et large,  un voile de pilosité sur la poitrine et sur le bas-ventre où perlaient des gouttes de sueur donnant dans ce clair obscur un scintillement presque irréel. La ceinture élastique fatiguée de son boxer avait du mal à maintenir ce qui tendait le coton maculé et laissait apparaître une toison incandescente et fournie.  Ce mec était une vraie grenade à fragmentation de phéromones. 
- je m'appelle Julien , je vais vous conduire à votre chambre,  suivez-moi.
Il ouvrit la marche vers le bâtiment principal.  Il était aussi bandant derrière que devant; son dos large et musclé descendait vers des hanches fines et cambrées et des fesses saillantes. Là encore,  le boxer laissait apparaître une ligne de démarcation entre son bronzé couleur miel et des fesses blanches tachetées de roux.
Que m'arrivait-il ? Jusque là,   j'avais mis ma sexualité en priorité basse, études d'abord.  Beaucoup de branlettes et doigts dans le cul pour sûr,  des expériences malheureusement avec des filles qui m'avait fait enfin comprendre que je préférais les garçons et quelques "touche pipi " tristes dans des soirées étudiantes.  Bref, nul, hygiénique.  C'était vraiment la première fois que je ressentais de telles pulsions sexuelles....
Nous étions arrivés. Tout semblait se passera dans cet immense rez-de-chaussée.  Une grande entrée,  une belle  cuisine de campagne une ample pièce à vivre avec une belle et large cheminée côté salon et une longue table en bois massif côté salle à manger.  Les chambres se trouvaient plus loin derrière. 
- voici votre chambre,  vous avez des serviettes sur le lit.  La salle de bain se trouve ici entre votre chambre et la mienne et les toilettes juste là à droite. 
Faites comme chez vous,  je viendrai vous chercher vers 19h. Au fait, je vis seul ici et la cuisine c'est pas mon fort on préparera le dîner ensemble si vous voulez bien.
Il s'éloigna me laissant découvrir seul ce qui allait être ma chambre.  
C'était simple,  meublé sobrement.  Le lit ancien en fer forgé était grand et confortable mais devait être du genre " qui grince à chaque mouvement "...
Je me débarrassai de mes vêtements sales et trempés de sueur et j'allais à la salle de bain ceint d'une grande serviette blanche. 
Visiblement on allait partager la salle de bain.  Il m'avait fait un peu de place sur une étagère mais ses affaires de toilettes étaient là. 
Pas grand chose à vrai dire,  le minimum vital,  mousse à raser et  rasoir deux lames,  dentifrice et brosse à dents, une eau de toilette grande surface ainsi qu'une crème hydratante Nivea et un déodorant à billes.
Je pris une longue douche,  me rasai et rejoignis ma chambre pour me reposer un peu avant peut-être de faire une petite ballade afin de découvrir les environs immédiats de la ferme. 
Je me jetai sur le lit et.... m'endormis aussitôt !
Ce fut un craquement de parquet qui me réveilla.  Julien était là dans l'interstice de ma porte entrouverte.. depuis combien de temps était-il là ? Me matait-il? Je pris soudain conscience que j'étais nu sur le lit; la serviette de bain avait glissé laissant mon sexe apparent et légèrement dressé comme souvent au réveil. 
- désolé,  dis-je un peu affolé tout en ramenant un bout de serviette sur les hanches,  j'étais crevé et je me suis assoupi !


- pas de soucis Bastien,  on est entre hommes.  Je vais prendre une douche et je vous rejoins au salon que diriez-vous d'une bonne bière bien fraîche ?!
Mon coeur battait à rompre. Depuis combien de temps était-il là à la porte ? J'avais un peu honte qu'il m'ait vu la bite dressée mais d'un autre côté j'étais plutôt fier de ma verge que je savais de taille respectable et, même s'il était à contre jour,  j'aurais juré que son boxer était plutôt bien tendu... putain,  je me rendis compte que je fantasmais grave sur ce paysan.. Il fallait que je me contrôle,  pas d'incident durant mon séjour !
Je m'habillai rapidement, un slip , un tee-shirt et un short propres . En sortant de la chambre,  je jetai un oeil vers la salle de bain qu'il avait laissée grande ouverte!.. Il était sous la douche , l'eau savonneuse coulait le long de son dos, se glissait entre ses fesses et le long de ses cuisses...  des picotements caractéristiques se firent sen dans mon bas-ventre et ma bite commençait déjà à pousser le coton de mon slip. J'étais comme paralysé effrayé par l'idée qu'il se retourne et me surprenne à le mater et le plaisir surtout quand il se cambra et passa sa main entre ses globes. 
Soudain de profil,  je vis qu'il  bandait grave et sans aucun doute il se caressait... 

Après quelques instants les yeux rivés sur sa longue et épaisse tige, je réussis enfin à m'arracher à cette scène et alla m'installer dans le salon sur un des canapés pour l'attendre. 
Il ne tarda pas.  Il arriva vêtu d'une belle chemise rouge et d'un short blanc,  il sentait le propre et me gratifiant d'un superbe sourire,  me proposa de déguster une bière artisanale locale bien fraîche. 
Il m'expliqua avoir repris la ferme de ses parents après des études d'agronomie . Il s'était installé ici avec son épouse ingénieure agronome elle aussi lorsque ses parents trop vieux pour le travail de la ferme,  décidèrent d'aller se reposer au Portugal. 
Sa femme l'avait quitté il y a tout juste quelques mois et c'est pourquoi il était seul.  Il ne voulait visiblement pas en dire plus sur le sujet et me proposa de l'accompagner à la cuisine pour peler quelques patates 
- ce soir  patates au four et grillades,  ça vous va?


On pourra dîner dehors si cela vous convient,  il fera enfin frais !
La soirée passa ainsi à parler de tout et  de rien, un peu de moi aussi. 
- demain c'est dimanche,  je vous propose d'aller sortir les poules , de nettoyer leurs cagibis, de les nourrir et de ramasser les oeufs.  Demain midi  omelette salade et quartier libre l'après-midi.  Si vous le souhaitez on pourra aller ensemble à l'étang se baigner et farniente.  En attendant,  coucouche panier car demain réveil à 6h30!
Impossible de dormir... Je n'arrivais pas à détacher mes pensées de Julien ; son corps,  ses gestes,  son sourire,  son regard interrogateur. Son odeur de roux aussi. 
Nu sur mon lit,  je m'agitai prenant garde à ne pas trop faire grincer le vieux sommier.  Une seule chose à faire,  me branler un bon coup et calmer mes hormones.  

Je repoussai le drap , ma queue bien dressée se détachait dans la lumière de la lune,  mes va-et-vient faisaient grincer légèrement le lit mais ces grincements participaient à mon plaisir montant,  je me caressai d'un doigt l'oeillet et me surpris à fantasmer sur la verge de Julien en lieu et place . Je jouis très vite,  couvrant mon torse de copieuses giclées de foutre que je laissai sécher en m'endormant enfin. 
Dans la nuit, en plein sommeil,  il me sembla voir la porte de la chambre s'ouvrir, un latte du parquet craquer légèrement, une odeur légèrement acre me chatouiller les narines. 
Une main caressait très doucement  mon torse , mon ventre; un doigt longeait la grosse veine de ma queue bandée  je soupirai, la bouche légèrement entrouverte; rêvais-je? Un corps nu vint alors se coucher sur moi.  Une peau  douce, un souffle tout contre mon visage,  une verge tout contre la mienne.. pour sûr je fantasmais,  pour rien au monde je n'aurais ouvert les yeux au risque de faire cesser cet intense moment de volupté. 

Une bouche parcourait très doucement mon visage,  mes yeux, ma bouche mon cou. Ce corps si doux bougeait son bassin, frottant sa verge contre la mienne et contre mon ventre; mes mains caressaient des fesses velues d'une douceur incroyable; c'était bon.  Soudain, mon ventre devint humide, l'odeur caractéristique du sperme vint me titiller les narines...C'était très réel et en même temps irréel.  Cela ne se pouvait pas,  j'étais dans une chambre seul chez un paysan très sexy mais terriblement hétéro; je rêvais sans nul doute ....




L'étang , ma première fois 



Le matin, ce fut la lumière du jour qui me réveilla.  Je regardai l'heure,  il était juste temps de me lever,  j'avais du travail,  je trouvais simplement curieux qu'il ait décidé de ne pas me réveiller,  sans doute avait-il voulu me laisser prendre mon temps. J'étais encore obnubilé par le drôle de rêve de la nuit,  surtout qu'il flottait dans la pièce,  une odeur légèrement acre qui se mêlait à la mienne ; une odeur de roux.  Je compris que tout avait été bien réel quand je butai sur un caleçon qui ne m'appartenait pas... Je le reniflai, tentant de retrouver ses odeurs intimes, mais celui-ci ne sentait que la lessive,  il ne l'avait porté que hier soir. 
Je m'habillai rapidement.  La maison était silencieuse et vide,  le petit déjeuner était prêt et je trouvai contre la bouteille de lait,  un petit mot laconique m'expliquant mes tâches du matin ; il allait au village et me donnait rendez-vous pour le déjeuner. 
Je m'acquittai de les tâches durant toute la matinée.  C'était cool  de sortir et nourrir les poules,  de les regarder  gambader dans la cour ; je trouvai aussi une bonne dizaine d'œufs et me régalais par avance de l'énorme omelette du déjeuner.  Ayant du temps,  je décidai de mettre la table sous l'auvent, de préparer une grosse salade et de mettre une bouteille de rosé au frais. 
Quand enfin il rentra,  je remarquai qu'il évitait mon regard et je choisis de ne rien laisser paraître.  Au fur et à mesure,  il se détendit et sourit à nouveau. 
- c'était succulent,  j'ai une petite habitude après le déjeuner c'est de faire une petite sieste.  On se retrouve à 15 heures pour la ballade ?
Ok, dis-je,  moi je vais bouquiner à l'ombre du noyer   passez me prendre !
Je le vis arriver à 15heures  pétantes,  super joyeux, tout de blanc vêtu . Il avait pris un sac avec lui. 
- on y va, vous êtes prêt ? J'ai des trucs à grignoter,  de l'eau et des serviettes  de bain 


- euh, j'ai pas mon maillot de bain avec moi,  il faut que j'aille le chercher. 
-  comme vous voulez mais l'étang est dans mes terres et il n'y a jamais personne...quant à moi,  cela ne me dérange pas,  j'ai pas le mien. 
Je vis passer dans son regard une petite étincelle de malice...
Le chemin qui menait à l'étang était un vrai régal.  Le temps était avec nous et on traversait des paysages grandioses ; j'étais bien et Julien rayonnait heureux de partager avec quelqu'un la splendeur de cette terre. 
Après presque trois quarts d'heure de ballade,  nous arrivâmes au bord de l'étang qui finalement s'avérait très grand. L'endroit choisi par Julien était parfait; une herbe grasse idéale pour un peu de farniente et un accès facile à l'eau,  presque une plage.
- vous allez voir,  c'est super ici, il n'y a pas trop de vase et l 'eau est vite profonde,  c'est parfait pour nager !
Et sans attendre ma réponse,  il  ôta son marcel blanc,  son short et son slip et  courut vers l'eau. 


- venez,  dit-il sans se retourner,  ça va être le pied!
Je voyais son superbe corps  couleur miel avec ses fesses musclées et velues  rosées presque translucides de roux s'éloignant en petite foulée élégante vers l'eau. Je n'avais pas eu le temps d'apercevoir son sexe mais ses couilles apparaissaient entre ses cuisses tandis qu'il courrait vers l'eau..
Je me déshabillai rapidement craignant juste de bander et je me précipitai dans l'eau à sa suite sans lui laisser le temps de se retourner. 
- ouah ! Elle est plutôt fraîche,  dis-je en le regardant 
- elle est super oui! Répondit t'il en  m'éclaboussant en riant joyeusement ; dîtes,  on va passer 5 jours ensemble on pourrait peut-être se tutoyer,  non?
Bien entendu,  Julien va pour tu !
Il partit alors en  nageant  vers le  centre de l'étang ; pour ma part je me contentai de faire quelques brasses tranquillement.
Soudain tandis que je nageais, sans que je m'en aperçoive,  il arriva sous l'eau juste sous moi et me souleva subitement.  Je poussai un grand cri de surprise et lui rigolait comme un tordu. 
Nous passâmes ainsi un long moment à jouer comme des gamins ; et vas-y que je t'éclabousse,  que je monte sur tes épaules et que je joue à plonger ou à passer entre les jambes. Épuisés,  nous retournâmes sur la berge. 
Nous nous séchions tout en discutant de celui qui avait bu le plus de tasses ou raté le plus de plongeons puis nous étalâmes nos serviettes sur l'herbe pour faire un peu de bronzette.  Tandis  que je m'installais sur le  ventre,  par timidité mal placée sans doute,  il s'installa sur le dos,  me permettant enfin de voir son sexe.  Une couronne de poils roux bien fournie entourant une verge longue et massive, terminée par un gland recouvert mais dont les pourtours se dessinaient bien sous la peau,  des couilles enfin bien charnues... un ravissement ! Même au repos elle était impressionnante et désirable..
Bientôt,  nous nous laissâmes aller à la douceur du moment et piquâmes un roupillon. Quand je me réveillai peu après, il était toujours endormi sur le dos ; Sa queue légèrement bandée reposait sur son ventre . J'avais une envie folle de la caresser et ne cessais de la contempler sans m'apercevoir qu'il ne dormait plus et qu'il me regardait.  C'est en le voyant bander de plus en plus que je me rendis compte qu'il ne dormait plus...
Nous restâmes ainsi les yeux dans les yeux un long moment ; je sautai le pas; je m'approchai de lui et l'embrassai. 
Puis tout s'accéléra dans un intense corps à corps.
Je voulais  son sexe ! Je me retournai saisis cette masse brûlante de chair,  l'embrassai,  la gobai,  la léchai tout en triturant ses couilles d'une main ; il fit de même avec la mienne et nous partîmes  dans un profond 69. Ma bouche explora  ensuite son entrejambe, une vraie brousse rousse, mordillant ses fesses charnues,  léchant ses doux poils  et bientôt, écartant fermement ses globes des deux mains,  je fouillai dans ce maquis intime à la recherche de son oeillet.  Ma langue forçant le passage lui soutira de petits gémissements de plaisir et il cessa un moment ses va-et-vient sur ma queue ; il m'encourageait à continuer.
- bouffe moi le cul,  mec, c'est trop bon. 
Alors,  je me levai,  me plaçai entre ses cuisses qu'il écartait tout en soulevant son cul et j'y fourrai mon visage.  Ses mains écartaient ses globes comme pour me faciliter l'accès. Sa rosace toute rose était  là devant moi,  au milieu de ce maquis de poils trempés de ma salive ; j'y glissai un doigt, il gémit,  puis un deuxième, il s'ouvrait bien, il aimait ça.. mais soudain,  il se dégagea,  se redressa face à moi,  sa queue dressée battant  contre son ventre.
- suce-moi maintenant,  bouffe moi les couilles. 
A genoux devant lui,  je m'exécutai.  Il prit ma tête dans ses mains et me baisait la gorge à coups de reins.  Comme pour faire une pause et respirer un peu,  je pris ses petites couilles pendantes en mains et les gobais entièrement lui arrachant de petits gémissements de plaisir tandis que je les roulais dans ma bouche. Puis je m'occupai de nouveau de sa tige que je suçai,  léchai, gobai à en étouffer tellement elle allait  loin au fond de ma gorge. il aimait  et des deux mains me poussait afin que je l'engouffre totalement.. 
Il se pencha vers moi et me demanda d'une voix rauque 
- j'ai très envie de te baiser Bastien,  le veux-tu ?
J'acquiesçai d'un signe de tête. 
- fais attention,  dis-je,  c'est ma première fois et t'es vraiment bien équipé !
Alors il me fit m'étendre sur le dos,  m'écarta  les jambes me soulevant le bassin en me tenant fermement par les cuisses et me bouffa longuement le cul . Sa langue longue et rappeuse savait trouver son chemin et s'introduire en moi et plus il léchait ma rosace plus je m'ouvrais et je brûlais d'avoir son mandrin en moi. 
Il me souleva le bassin presque à la verticale,  les cuisses largement écartées, se positionna au dessus de moi , cracha abondamment sur mon oeillet et commença à  enfoncer son gland puis sa verge. Il dut s'y prendre par étape car j'avais du mal à la recevoir mais bientôt son bassin se retrouva contre mon entrejambe et je compris que je l'avais entièrement acceptée.  Tenant mes cuisses bien écartées il commença à me pilonner et il me fallait pour tenir cette position qui était plutôt inconfortable pour moi mais qui lui permettait d'une part de m'empaler bien profond et d'autre part d'imprimer à sa queue des mouvements circulaires provoquant en moi des vagues de plaisir fou, me tenir fermement à ses chevilles. 
Sentant l'orgasme poindre,  je proposai de changer de position ; il se coucha à ma place, je me mis à califourchon sur lui et m'empalai à son vit face à lui.  J'allais et venais au dessus de lui , ma queue raide s'agitait contre mon ventre , il la prit en mains et me branla au rythme de mes va-et-vient.  De  temps à autre je calmais le jeu et me couchais sur son torse pour le caresser, lui pincer les tétons ou  l'embrasser avidement  bientôt son regard se voila,  je voulais qu'il jouisse en moi,  je voulais sentir son foutre gicler dans mon anus ; je serrai mes sphincters autour de sa verge,  il haletait ,
- je vais jouir mec,  je vais jouir !!!!
Et dans un spasme profond et intense,  il envoya trois belles giclées de foutre, je restai empalé à lui tandis que je me branlais frénétiquement sur lui ; très vite, alors qu'il me titillait les tétons,  je déchargeai une copieuse giclée de sperme atteignant son visage et.... Son oeil. 
Je me couchai sur lui exténué,  laissant sa verge s'extraire doucement de mon cul et son foutre s'écouler.
- allons nous baigner,  dis-je en riant et sans attendre, je courus vers l'eau ; allez viens !
Nous restâmes encore un long moment à jouer,  nous caresser, nous embrasser dans l'eau. Nous étions heureux de ces moments et reculions, malgré la chair de poule,  le moment de rentrer... mais les bêtes nous attendaient...



Première nuit, sa première fois 




Sur le chemin du retour,  il m'expliqua pourquoi sa femme l'avait quitté.  Elle avait vite compris à quoi était dû son  manque d'empressement au lit et quand elle le surpris au bord de l'étang en train de sucer son cousin,  elle décida de le quitter et il ne la retint pas. 
- et dis-moi, As tu une bonne explication pour le  mystérieux caleçon que j'ai trouvé ce matin dans ma chambre  lui demandai-je en souriant...
- garde le en souvenir !
- je préférerais celui que tu portait quand je suis arrivé,  celui-ci au moins à ton odeur et pas comme l'autre qui sent la lessive..
La soirée passa rapidement,  après avoir rentré les poules,  un bon repas dans la fraîcheur du soir à nous raconter nos vies.
- bon,  c'est pas tout ça mais la journée a été longue et riche en événements et demain matin les poules t'attendent ! Et puis j'ai très envie d'un gros câlin ! Chez toi ou chez moi  dit-il en riant. 

Arrivés dans sa chambre,  nous primes plaisir à nous dévêtir conjointement ; je m'arrêtai un moment pour caresser son sexe à travers le tissu du boxer et à le renifler
- celui-là,  je veux bien le garder,  il sent bon à toi. 
J'allais aimer cette fin de soirée. Comme souvent après une première fois passionnée,  on a souvent envie d'une nuit de découverte de l'autre ; chercher ce qui le branche vraiment,  lui donner du plaisir comme une priorité..
Après de longs et tendres préliminaires, il me glissa à l'oreille d'une voix tremblante,  
- baise moi,  baise moi tendrement mais pour moi aussi c'est une première,  je ne l'ai jamais fait, tu sais je suis plutôt débutant en sexe avec les mecs...
- viens,  lui dis-je,  assied-toi  sur moi et  écarte  bien tes fesses. 
J'étais aux anges,  le léchai sa brousse rousse et odorante,  je caressai du bout de la langue,  les douces stries de sa rosace,  je me glissai en lui... Il gémissait de plaisir. 
- viens maintenant,  couche-toi sur le dos et lève bien tes cuisses et tient les bien. J'allais pendant ce temps à la salle de bain chercher le pot de crème Nivea. 
- ça fera l'affaire !

Et je repris ma longue et intense "feuille de rose "
J'aimais voir cet oeillet réagir à mes caresses.  J'y glissai doucement un doigt lui arrachant un petit cri puis après quelques allers-retours,  j'y glissai un deuxième,  écartant doucement ses sphincters 
-respire profondément et calmement, pousse et laisse-toi aller 
Ses sphincters réagissaient , j'enduisis de crème ainsi que ma queue; je collai mon gland décalotté contre sa rondelle et poussai doucement ; il couina de douleur ..
- j'arrête si tu veux,...
Quand je fus entièrement en lui,  je me baissai pour le féliciter et le laisser reposer un peu puis entamai mes va-et-vient doucement d'abord puis de plus en plus intenses. 
Au bout d'un moment le plaisir était évident,  sa queue s'était redressée et mouillait bien; je lisais dans ces yeux,  du désir, du plaisir..

- je veux te chevaucher comme tu l'as fait cet après-midi ; je veux jouir sur toi et voir tes yeux quand tu jouiras en moi. 
Nous baisâmes longtemps et c'est couverts de sueur qu'il m'inonda de foutre presque sans se toucher et je pleurai presque quand mon sperme gicla en lui.
Nous nous endormîmes très vite, comblés. 






La transformation


Le lendemain matin,  je me réveillai seul,  juste un petit mot sur la table de nuit " je m'occupe des vaches dans les prés,  je serai là pour le dej" un petit cœur ponctuait le tout. 
Je pris une longue douche,  un petit dej rapide et m'acquittai de ma mission auprès des poules.  Vers 11h30, je m'affalai sur un banc de la cour, il me fallait réfléchir à la situation...
Je vivais d'une certaine façon ma première histoire ; je passai d'une sexualité de "coups" à une histoire tout court.. sans compter que lui et moi n'avions que peu d'expérience.. en ce qui me concerne un peu plus que lui car il n'avait lui aussi connu qu'une aventure avec un hôte et quelques  touche pipi sur des lieux de drague..
J'étais plongé dans mes pensées quand Julien me rejoignis. Il était super joyeux et souriant en s'asseyant près de moi, 
- tu sais quoi Bastien,  j'ai très envie de recommencer... baise-moi,  ça nous mettra en appétit ! Et sans attendre ma réponse,  il ôta son tee-shirt,  et tout en m'embrassant,  déboutonna mon jean et dégagea ma queue et s'en empara.

- je veux la voir bien dure et raide, je veux ce qui va me faire grimper au ciel...
Quand je fus prêt,  il ôta son short et bandant aussi posa son corps sublime devant moi,  me faisant un petit show érotique. 
Puis il alla s'étendre sur la table de la cour,  écarta bien ses cuisses et ses fesses pour bien me montrer sa raie..
- putain,  Julien,  tu t'es rasé le cul !

- oui, ça m'a pris ce matin,  je trouvais qu'on ne voyais pas ma rondelle sous tous ces poils  et quand je mate des films, j'adore voir des culs bien ouverts.. viens maintenant!
Le regard fixé sur sa rosace,  je me déshabillai et commençai à branler ma queue 
- si tu veux que je te baise,  prépare ton cul pour ma bite, vas-y ouvre-le bien avec tes doigts... oui comme ça,  mets-en un autre.. hmmm tu crois que je peux venir 
- oui, viens fourre-là moi

Je ne le reconnaissais plus,  le paysan sexy mais peu assuré était devenu une bête de sexe.. Je m'agenouillai et glissai ma langue dans sa raie... Je regrettais le goût acre de sueur emprisonnée dans les poils mais la vue dégagée sur cette belle rosace à peine déflorée m'excitais terriblement . Mais voulait ma queue!
-empale-moi maintenant je veux ta bite!

je m'exécutai et l'enculai à fond; il était serré le bougre! ses sphincters faisaient une pression d'enfer sur mes veines gonflées de sang; il couinait tout en remuant son cul autour de ma verge, il en voulait le cochon; il aimait ma queue en virgule laminant son cul et nous changeâmes plusieurs fois de position cherchant celle qui le ramonerait le mieux.
couché sur le dos, je lui écartait les cuisses presque à l'horizontale et le pénétrai à nouveau; cette fois, mon gland caressait sa prostate et il couina plus fort; sa queue dressée mouillait abondamment et bientôt il éjacula de lourdes giclées de foutre.
- putain, c'est la première fois que je jouis sans à peine me toucher! 
- la prochaine fois je te ferai un massage prostatique et tu verras l'orgasme!
 viens donne-moi ton foutre à boire. Je m'approchai de son visage et branlai frénétiquement ma queue; bientôt j'éjaculai sur son visage et lui donnai ma verge à nettoyer.

 


- allez dit-il rapidement après, ça m'a ouvert l'appétit, allons manger et, à poil, les verges encore raides nous courûmes à la cuisine nous préparer quelque chose à manger.
Nous mangeâmes nus, rechignant à nous rhabiller, comme s'il devenait évident que nous allions passer notre temps à baiser.
L'après midi passa rapidement il fallut bien se mettre quelque chose sur le dos; je l'accompagnai dans les prés pour donner à boire aux bêtes et allâmes en fin de journée au village faire quelques courses et boire un coup au café de la place où il salua quelques connaissances qui me regardaient curieusement; tout le village savait-il pourquoi sa compagne était partie?
  



Nous dînâmes finalement au café d'un steak salade et rejoignîmes la ferme. la nuit fut douce, et pour la première fois,  nous fîmes l'amour, longuement, tendrement.

Épilogue 


Nous étions comme dans une bulle isolée du reste du monde.  Nous étions deux dans cette ferme , le chat,  les poules.  Dans  notre cocon,  nous ne nous intéressions plus aux informations, aux réseaux sociaux. Nous nous suffisions à nous même ; une bulle de bonheur simple. 
Mais cela touchait à sa fin,  il me fallait continuer ma route ; j'aurais adoré l'emmener avec moi rejoindre mes potes mais il ne pouvait laisser la ferme. La vie devait continuer,  la vie devait nous séparer. 
Ce dernier jour,  l'ambiance était plutôt lourde
Julien décida de passer plus de temps avec  moi et nous fîmes une longue promenade.  Arrivés dans une vielle étable de sa propriété, Julien me prit dans ses bras; tendrement,  amoureusement.  Nous nous déshabillâmes conjointement.
- détruit moi le cul,  Bastien,  que mon corps entier se souvienne de toi longtemps...
Nous  fîmes longtemps l'amour .
Nos adieux furent gais ; il m'emmena au village ; je ne me retournai pas. 
 
 



























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