31 janvier 2024

strip poker surprenant

 


Il y a quelques temps,  j’ai été embarqué dans une drôle d’histoire par un bon camarade de travail, Valentin, dont je ne soupçonnais pas la double vie. J’avais alors 32 ans, une femme charmante et deux beaux enfants de 5 et 3 ans

Ce soir là,  nous étions restés dans les locaux de l’entreprise, après le travail, pour fêter la promotion d’un collègue et nous avions pas mal abusé du champagne. 

en début de soirée,  ayant vidé quelques bouteilles,   Valentin, avec qui je partageais mon bureau et qui faisait du sport avec moi, m’a alors  proposé de finir la soirée chez lui, avec des collègues d'un autre service que je ne connaissais pas. L'idée étant de se faire une partie de poker "entre hommes " avec whisky et cie. J’ai accepté avec plaisir et j’ai téléphoné chez moi pour prévenir que je rentrerais sans doute tard.

Nous, nous sommes retrouvés à six dans l’appartement de Valentin, dans le XII ème, au 8 ème étage d’un immeuble moderne. Dans le vaste séjour, il y avait trois canapés placés en U et plus loin une table entourée de chaises. Très à l’aise, Valentin nous a offert du whisky, puis il nous a proposé de commencer " les hostilités. Comme les autres camarades, j’ai accepté.

Nous, nous sommes installés autour de la table. J’avais Valentin à ma droite et Gérard à ma gauche, François, Bernard et Armand devant moi. J’étais très complice de Valentin et je croyais bien le connaître. C’était un garçon de mon âge, très brun, les yeux bleus, élancé, viril. Gérard lui, était plus jeune, environ 22 ans, blond aux yeux bleus, teint rose, mince et plutôt timide. François était un homme de cinquante ans, cheveux gris et dégarnis, yeux noirs, portant moustache, plutôt massif.. Son voisin, juste en face de moi, Bernard, était un métis antillais de 40 ans, grand, baraqué, la peau chocolat, les cheveux noirs et crépus coupés court. Enfin Armand était un petit mec châtain, cheveux mi-longs, portant barbe et moustache, assez frêle. Nous étions tous gais et détendus, près à nous défouler et à faire "comme dans les films ".. à ce stade je ne soupçonnais pas lesquels....

C’est alors que Valentin déposa les cartes sur la table et annonça : « Strip-poker avec gages » et en rappela les règles. Personne autour de la table ne semblait surpris,  je comprenais que j’étais pris au piège. Mais désinhibé par l’alcool, je pris cela gaiement et décidai de jouer le jeu.

J’étais en costume, chemise et cravate, mais nous ne devions conserver chacun que cinq pièces de vêtement. Pendant que les autres se mettaient en règle de leur côté, je retirai veste, cravate et chaussures.

 La partie s’engage et c’est mon jeune voisin qui perd la première manche. En rougissant, il ôte son pull. Au second tour, c’est moi le perdant et je retire mes chaussettes. Au bout d’une heure de jeu, seul Valentin était toujours habillé. Mais Gérard, mon voisin de gauche, n’avait plus que son boxer noir et Bernard était en slip blanc, tranchant sur sa peau sombre. François était en maillot de corps et en caleçon blanc et Armand était torse nu, mais avait encore son pantalon. Moi j’avais encore ma chemise et mon boxer rouge.

Après une pause et quelques rafraîchissements, la partie repris Cette fois Valentin perdit et retira directement son pantalon, conservant chemise, slip bleu et chaussettes. Il me regarda en riant et me tapa sur la cuisse nue en disant « ça va chauffer ». Le tour suivant, c'était à moi de retirer une pièce de vêtement. Je choisis la chemise et me retrouvai alors torse nu, en boxer, comme mon jeune voisin de gauche et comme Bernard. Lequel serait nu le premier ? Cela commençait à m’exciter....

Le nouveau tour fut assez long et très débattu. C’est Bernard qui perdit. 

Il se leva et avec lenteur descendit son  slip, dégageant du tissu une belle verge, longue et grosse, avec un gland rose décalotté et des couilles lourdes et pendantes. De petits poils noirs tout frisottés garnissant son pubis. Étais-je le seul surpris ? Cette scène était pour moi complètement surréaliste mais aucun des participants ne semblait étonné!.. et quel fut mon étonnement quand Valentin tira une carte, dans la pile des gages et annonça 

- Bernard, tu vas faire une fellation à l’un de nous, au choix.

Je me suis dit, le cœur battant,  c'est quoi ce cirque ! Ça dégénère grave et eux trouvent ça normal ?! Mais en même temps,  je devais m'avouer que ça me titillait déjà dans le bas-ventre...

Je vis le grand antillais sourire de toutes ses dents blanches et faire la tour de la table du regard. Puis il s’avança vers Gérard qui devint écarlate. 

- Je vais sucer le petit blond ,  dit Bernard avec gourmandise. Gérard dut se tourner sur sa chaise, tandis que le Bernard s’agenouillant devant lui, lui descendit le boxer, laissant apparaître un membre rose, déjà dressé et palpitant. Il le prit en bouche et commença une succion langoureuse et savante. 

Gérard haletait, les yeux fermés, les mains crispées sur les épaules de Bernard. Il  jouit très vite dans la bouche du beau black. Je crois que nous bandions tous à ce spectacle, même moi.

Bernard regagna sa place, Gérard remonta son shorty. Une tâche humide de sperme et de salive se propageait sur le coton. Une nouvelle partie s’engagea. Et cette fois le perdant fut Gérard. Tout rouge et tremblant celui-ci retira son shorty et le jeta sur le tas de vêtements déjà entassés sur un canapé. Il était de nouveau en érection, la verge collée au ventre et les bourses duveteuses, contractées. Le gage annoncé par Valentin fut cette fois d’offrir son cul aux langues de ses partenaires. Sur les indications de Valentin il s’appuya sur la table de ses deux avant-bras, les jambes écartées et les fesses tendues et attendit. Etant le plus proche, je devais commencer.... je n'avais jamais fait ça,  même pas à ma femme.. pour moi c'était un truc de pd; dégueulasse.. mais que m'arrivait il!?  Mais je m'étais fourré de moi-même dans cette aventure,  je devais assumer!. 

Il avait un cul bien rond, couvert de petits poils blonds, doux et soyeux. Sa raie était humide et poilue et dégageait une odeur de mec. Je glissai timidement ma langue vers sa rosette, puis après une longue hésitations, je  léchai la toison humide avant  de l’introduire délicatement dans son anus. Pendant ce temps je sentais ma verge tendue et entravée dans mon boxer, à me faire mal. Décidément je ne me reconnaissais plus. Moi l’hétéro, un peu homophobe, j’étais en train de trouver du plaisir à lécher  le cul d’un mec ! Gêné, troublé  je cédais la place à Valentin, puis les trois autres vinrent honorer l’œillet de Gérard.

La partie suivante fut désastreuse pour moi et cette fois je dus retirer mon boxer et m’exhiber dans le plus simple appareil devant les cinq hommes présents, mes camarades de travail. J’étais tout à la fois honteux et excité, la verge à demi dressée, le feu aux joues et j’attendais l’énoncé de mon gage. « Tu présentes ta bite à sucer aux joueurs qui sont nus » Les deux mains sur la table, les fesses contre le rebord de celle-ci, j’attendis l’assaut.  Cest encore Gérard, mon voisin  qui devait s'activer ! Après avoir la bite et la rosace bouffée,  il devait s'occuper de ma verge.  Il s’approcha le premier et délicatement prit mon sexe dans sa bouche, tout en me palpant délicatement les couilles. Il me suça avec application et je vis qu’il bandait à nouveau, mais je ne devais pas le toucher et  devais me laisser faire. Puis Bernard se joignit à Gérard et me lécha les boules, puis les avala pour les faire rouler dans sa bouche.  Je n'avais jamais fait ça. C'était  délicieux et j'en couinais de plaisir.  Enfin il me suça lui aussi la verge. Mon sexe était bandé comme un arc et gonflé de sang, mes couilles recroquevillées de plaisir et je sentais un feu dévorant m’envahir le bas-ventre et les entrailles. Mon cœur battait la chamade et je respirais à grandes bouffées. Hurlant de plaisir quand je sentis soudain ma semence monter et jaillir en trois grands jets dans les bouches avides de mes deux partenaires. Ils me nettoyèrent le sexe de leurs langues avant de regagner leurs places.

Nous jouâmes encore une heure. La chance tourna pour Valentin qui se retrouva rapidement nu et  dût  rouler une pelle à Armand. Je n’aurais pas cru que mon ami était si beau à poil. Un corps modelé et élégant, poilu sur le torse, le ventre et les jambes, avec une belle verge  épaisse, bien droite, terminée par un long prépuce et des couilles noires de poils. Subitement j’eus envie de lui caresser les fesses et de prendre en mains ce vit superbe. Décidément, je devenais fou !

François fut la victime suivante, tout à fait consentante et nous montra un sexe gros, lourd, épais, entouré d’abondants poils gris. Il dut se faire masturber par son voisin Armand, jusqu’à éjaculation. Armand, seul à avoir conservé son slip noir, qui cachait mal une érection fantastique, était le gagnant du tournoi. Il eût pour gage le droit de sodomiser le joueur de son choix.

 Après nous avoir tous auscultés de ses mains chaudes et avides. Il choisit Bernard,  qui se coucha alors sur la table, les jambes levées. Armand retira son slip, laissant échapper un membre long et courbe, dont le gland touchait son nombril. Montant sur la table, à genoux devant Bernard, il l'enfila lentement, mais d’un seul coup, jusqu’au fond. Puis dans un va-et-vient rythmé et rapide, il le lima avec ardeur. Le grand corps musclé de Bernard tressaillait, sa peau luisait et de sa bouche s’échappait de longs gémissement de plaisir. N’y tenant plus, je commençai à m’astiquer, tandis que Valentin se pressait contre moi, sa verge dressée contre mes fesses et que Gérard se branlait en m’embrassant sur la bouche. Je ne savais plus où j’étais, ni qui j’étais. Je me lâchais complètement. Au moment où Armand éjaculait avec un grand cri dans le cul de l’Antillais, je crachais ma semence sur le ventre du jeune Gérard et je sentais le sperme de Valentin dégouliner sur mes fesses. Il m'enlaça et le susurra à l'oreille, 

 - la prochaine fois,  je ferais découvrir à ton joli cul,  de nouveaux plaisirs

Après cette partie mémorable, qui s’est achevée en partouze, je n’étais plus le même. Je rentrais chez moi honteux, mais heureux, bien décidé à recommencer et surtout, maintenant que je connaissais les penchants secrets de Valentin, à avoir une aventure avec lui. Il me plaisait et je crois que c'était réciproque.

Patrocle


un strip poker vintage!

 




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