Le hammam

 

Durant un week-end à Berlin, j'eus l'idée, l'envie de tester un établissement de bains réputé. Il y avait peu de monde cet après-midi là et j'étais un peu déçu.  Même si j'avais envie de me relaxer un moment, la perspective d'avoir une aventure m'avait bien entendu traversé l'esprit. Je m'étais retrouvé pratiquement seul dans le vestiaire à part un vieux monsieur qui n'avait rien voulu perdre de mon effeuillage.  J'avais d'ailleurs décidé de le satisfaire en restant longuement entièrement nu devant mon casier à faire semblant de consulter mes courriels.  Cela avait réveillé mon côté exhib et il en eût pour son argent car je lui offrit un début d'érection et , dans la mesure où je suis plutôt bien doté,  ce dut être un spectacle réjouissant pour lui !

Après avoir longuement déambulé dans le dédale des cabines,  je devais me rendre à l'évidence, il était trop tôt.   

Je décidai alors de faire ce pourquoi j'étais venu,  me détendre. 

Je pris une longue douche dans une salle plongée dans une pénombre rougeâtre.  Les douches pour la plupart n'étaient pas séparées sauf quelques unes dont les parois pouvaient offrir des expériences particulières puisque percées de  ce qui pouvait s'apparenter à des "glory holes ". 

Après m'être consciencieusement nettoyé, je pris le chemin du hammam. 

J'y  restai longtemps, trop peut-être et personne ne vint m'y rejoindre.   J'en sortis  exténué,  rouge comme une tomate.  Je restai un bon moment sous la douche qui se trouvait dans le vestibule du hammam et m'affalais sur la banquette de repos carrelée  qui s'offrait à moi pour me reposer. 

Alors que doucement je m'assoupissait, un beau blond,  très souriant, vêtu d'un short et d'un débardeur  s'approcha de moi et se présenta comme un masseur de l'établissement.  Il le proposait un "savonnage traditionnel" comme dans les hammams orientaux et un massage exfoliant.  Puisque la fréquentation était calme et qu'il s'ennuyait un peu, il le proposait à titre gracieux.  Le garçon s'appelait Basti était plutôt beau et souriant,  j'acceptai .

Il se dévêtit alors et je pus apprécier son corps délicatement musclé,  sa peau couleur miel qui contrastant avec ma peau matte.

 Il remplit un seau en bois et muni d'une éponge commença à me mouiller avant de me savonner complètement.  

Quand il me demanda de me lever,  je bandais,  évidemment. 

- belle queue,  fut son commentaire tout en continuant à me  frotter partout,  il se glissa sans hésitation entre mes  cuisses,  entre mes fesses puis quand il attaqua la  face avant, le bas-ventre,  les couilles pour s'emparer sans hésitation là encore de ma verge dressée pour la décalotter et la savonner consciencieusement !.

Je jetais de temps en temps des coups d'œil vers lui. Sa verge était jolie comme tout,  légèrement arquée sur de petites couilles blondes et fermes. Il me rinça à l'eau claire at le demanda de m'étendre sur le ventre pour la phase exfoliante. 

Couché sur une sorte de grand drap de bain,   Il recommença à me savonner le corps mais cette fois-ci avec des mouvements plus fermes, plus enveloppants; n'oubliant aucune partie. J'avais les cuisses écartées ce qui lui donnait accès à mon entrejambe,  n'oubliant pas de passer dans mon sillon fessier,  ses doigts frôlant avec insistance mon oeillet. 

Il me demanda ensuite de me mettre sur le dos.  ma  lourde verge reposait contre mon ventre. Là encore,  il ne laissa aucune parcelle de mon corps de côté, soulevant mes couilles pour bien "exfolier" mon entrejambe avant de prendre en mains mon braquemart,  raide à rompre pour faire ce qui ressemblait vraiment à une Branlette.  Après cela il entreprit de me rincer.  Pour cela il se mit à califourchon au dessus de moi.  Et tandis qu'il passait mon torse à l'eau claire, je ne voyais que sa queue dressée qui pointait vers moi.  Ma queue quant à elle se soulevait régulièrement sur mon ventre comme si elle était attirée par le cul de Basti qui se trouvait à quelques centimètres, 

sans doute bien ouvert....

Basti dut alors lire dans mes pensées puisque sans crier gare,  il prit ma verge en main et sans me quitter des yeux,  se l'enfonça dans son anus, retombant sur mon bas-ventre comme pour s'assurer qu'elle était bien entièrement en lui. 

Il entama ensuite une longue série de va-et-vient.  Je l'aidai en le soulevant par les hanches.  Sa verge toujours bien droite dansait au dessus de mon ventre tandis que j'approchai de l'orgasme.  

Il me pris alors la main pour que je le branle au rythme de ses aller-retour. Quand il accéléra, je fis de même et quand ce fut imminent, je le prévint, haletant.  Il se dégagea pour me regarder me branler tout en faisant de même au dessus de moi.  Bientôt, dans un long spasme,  je couvris de foutre mon ventre,  suivi de près par lui.

-  c'est toujours comme ça les séances d'exfoliation et de savonnage ? Dis-je en souriant,  je ne connaissais pas cette coutume orientale !

 Nous partîmes ensuite dans un grand fou rire,

À la  douche,  dit-il.