10 février 2024

une rencontre flamboyante


j'avais une longue route à faire.   Perpignan - Paris en plein été, c’est éprouvant. En fait je déteste conduire mais là j'étais obligé pour diverses raisons personnelles. J'avais quand même un peu de temps et j'avais la ferme intention de faire la route en deux fois et de m'arrêter quelque part pour dîner et me reposer. 

Au péage de Narbonne, il y avait un auto-stoppeur.  Je n'ai pas l'habitude d'en prendre et je n'aime pas avoir des inconnus avec moi.. 

Mais là, je ne sais pas ce qui m'a pris. il faisait très chaud,  peut-être ai-je eu de la peine de le voir attendre en plein cagnard? Peut-être aussi une pulsion inconsciente. Faut dire que c'était un beau roux incandescent, vêtu d'un bermuda et d'un débardeur blancs à flancs orange il devait avoir sensiblement mon âge.    J'ai toujours eu un faible pour les roux et leurs peaux laiteuses. il devait souffrir sous ce terrible soleil !

Je me suis arrêté près de lui et j'ai baissé la vitre pour lui demander sa destination. 

- Paris, m’a t-il répondu  

Sourire ravageur, regard moqueur du mec sûr de lui, de sa beauté et sûrement, je ne l'ai compris qu'après, de son effet sur moi...

- OK, moi aussi mais je vous laisserai avant car je fais la route en deux jours. 

- OK, on verra plus tard ! Fut sa réponse.

Il a déposé son sac à dos sur la banquette arrière, claqué la portière et bouclé sa ceinture.  Une forte odeur de…roux a envahi l'habitacle quand il a soulevé son bras.  Âcre, délicieusement hormonale.  

Nous avons parlé de choses et d'autres et il s'est assoupit très vite vaincu par la fatigue et la chaleur de l'attente. 

J'ai pu alors le regarder à loisir ; plutôt finement musclé, il était sportif m'avait t'il dit, ses cuisses étaient recouvertes d'un voile roux presque invisible contrastant avec la pâleur rosée de sa peau. 

Quand il s'est réveillé, on était entre chien et loup et j'avais envie de m'arrêter.  Quand je lui ai dit que j'allais chercher un hôtel pour la nuit, il a pris un air contrarié mais... Charmeur, 

- mince, je sens que je vais poireauter toute la nuit... vous savez, je ne suis pas pressé non plus,  si vous n'avez pas de contrainte,  ça serait sympa que je reste avec vous... 

- vous êtes gonflé vous ! Me suis-je écrié ! Et je parie que vous n'avez pas de quoi vous payer une chambre ?!

- Ben oui....

Avec un sourire comme ça, impossible de refuser ! J'ai rigolé un bon coup et j'ai répondu en riant, 

- Allez, c’est mon jour de bonté mais vous dormirez sur le balcon ! Au fait moi c'est Bastien.  

- Julien, enchanté et je vous remercie beaucoup, c'est super sympa de votre part.  

Effectivement on ne s'était pas encore présentés.

Comprenant à l'intensité des picotements au niveau de mon bas-ventre, pourquoi j'avais accepté aussi vite, je regrettai aussitôt..   Je restai silencieux.. Lui aussi, sentant mon trouble, restait sans rien dire.  Je suis sorti de l'autoroute. Il y avait un hôtel de campagne juste après le péage.  Je me suis garé devant et pris de quoi me changer avant de me rendre au comptoir d'accueil.

Julien, m’a rejoint avec son sac à dos. 

J'ai demandé une chambre pour une nuit et le concierge nous a regardés avant de demander d'un air malicieux  

- un lit ou deux ?

J'ai répondu plutôt sèchement et j'ai regardé Julien qui m'a fait un clin d'œil rigolard...ce qui m'a énervé encore plus.

La chambre était spacieuse. Il y avait même un canapé, des toilettes séparées…et effectivement deux lits

Je lui ai proposé que l'on se rafraichisse et que l'on aille boire un verre et dîner au restaurant de l'hôtel.

- je prends celui près de la fenêtre, dis-je et prems à la douche !

J'étais un peu gêné mais je n'allais quand même pas me déshabiller dans la salle de bain.  On était entre mecs et à un moment où à un autre on allait devoir se déshabiller ne serait-ce que pour se coucher !

Je me suis dévêtu rapidement, tout en gardant mon slip et en évitant de le regarder, sentant bien son regard posé sur moi.  Je suis d'abord passé aux toilettes et quand j'en suis suis sorti, le choc... il s'était lui aussi déshabillé entre temps et assis, je dirais vautré sur le fauteuil, il n'avait gardé que son boxer noir... en partie baissé,  laissant apparaître, en partie, son sexe couronné d'une légère toison rosée. 

J'ai paniqué. Je devais avoir l'air vraiment con, debout en slip,  bouche bée à esquiver son regard explicite. 

Je suis vite rentré dans la salle de bains. J'avais son image comme figée dans mon cerveau.... ce torse musclé et sec,  ce pubis et sa douce fourrure rousse et cette verge noueuse comme offerte. 

J'ai ôté mon slip, ne sachant pas comment allait se passer le reste de la soirée ou le sachant trop.  Sous le jet brûlant de la douche, j’étais comme un zombie.  Je ne bandais même pas, j’étais dans un rêve et j'allais me réveiller..

Perdu dans mes pensées, je n'ai pas entendu la porte de la salle de bain s'ouvrir... des mains se sont posées sur mes fesses, un corps s'est collé au mien, un sexe dur s'est glissé entre mes globes que ses mains écartaient, des lèvres se sont posées sur mon cou... Était-ce réel ? Ma queue s'est dressée à la verticale, douloureusement raide, le gland à demi décalotté .

 Le coeur battant, je me suis subitement retourné, j’ai soulevé ses bras et j'ai humé puis, avidement, j'ai léché ses aisselles humides et odorantes. 

Son corps d'une blancheur presque maladive, s'offrait à mes mains. Des muscles secs et fermes roulaient sous mes doigts tandis que nos langues bataillaient sous le jet brûlant. Sa verge, sèche et noueuse comme un cep de vigne pointait vers moi un gland protubérant, promesse de plaisirs à découvrir.  Je l'ai retourné, je voulais tout voir, voir ce dos, ces fesses fermes et creuses que mes mains parcouraient. Il s'est cambré, cuisses écartées et là, tout près de mes yeux et de ma langue,  au creux de son sillon, une exquise fente rose.  J'y ai glissé ma langue, caressé du bout des doigts les suaves parois de ses sphincters. 

- sèche-toi, je finis ma douche et j’arrive, m’a t'il dit avec un doux sourire. 

Je me suis installé, nu sur le canapé de la chambre, ne sachant toujours pas comment mener l’aventure... de fait,  je me laissais guider,  mener....vaincu, disposé à aller jusqu'où il voudra bien aller.

Il est sorti de la salle de bains, nu, resplendissant dans le contrejour, serviette en main, sexe dressé. Il s'est glissé entre mes cuisses, qu'il a caressées sans me quitter des yeux. Ses mains remontant vers mon entrejambe, mon sexe s'est de nouveau redressé devant son visage.  Puis ses mains se sont posées sur ma verge et mes boules.  Ses caresses étaient d'une douceur extrême et je tremblais de désir. Il a posé un baiser sur mon gland déjà humide de mouille, puis ses lèvres sont descendues lentement le long de ma hampe pour finir sur mes boules et mon entrejambe.…   Il savait y faire ! Ma verge dont je connais la taille, était complètement gobée, ses lèvres venant régulièrement chatouiller mon pubis.  J'adore ces moments, j’adore voir la salive couler le long de ma hampe, entendre ces borborygmes caractéristiques, ces dégurgitations passionnées. Une main tenait ma verge, l’autre fouillait mon entrejambe et mon sillon à la recherche de mon œillet. je me suis calé bien profondément dans le canapé,  cuisses bien écartées pour qu'il se sente bien confortable et je me suis laissé gagner par le plaisir. Le plaisir donné par sa bouche experte, par ce doigt qui maintenant caressait ma prostate, par ce corps si pâle, cambré devant moi et ce cul inaccessible encore. J’avais encore en tête, sa sublime porte que je rêvais déjà de posséder.  Après de longues minutes de ce traitement, j’étais au bord de l’orgasme, le corps tremblant de spasmes.  Pendant un moment, toutes mes émotions se sont concentrées sur le petit point que son doigt flattait et sur mon gland électrisé.  Je gémissais d'une voix rauque, ma queue gonflait prête à exploser. 

 






J'ai alors pris sa tête violemment pour le rapprocher de mon visage, je l'ai regardé, les yeux voilés par le plaisir et je l'ai embrassé avec passion. Nous nous sommes enlacés fougueusement.  Sa verge noueuse bâtant, brûlante contre la mienne et tandis que nos langues luttaient l’une contre l'autre,  d'une main,  j'ai commencé à explorer sa chatte. 

Il s'est ensuite, toujours entre mes cuisses, levé.  Son mandrin sec, tordu, veineux pointant vers moi, une perle de mouille accrochée au méat de son gland découvert. 

J'ai approché ma bouche. Recueilli le nectar au bout de ma langue. sa tige avait une grosse veine que j'ai suivie. J'ai relevé sa queue, je voulais tenir ce beau morceau dans ma main, l'admirer dans sa tortuosité. C’était dur et très chaud. J'ai donné des coups de langue sur le gland, aspirant la mouille, la goûtant, la dégustant et j'ai avalé le gland, l'entourant de mes lèvres et de ma langue.

Elle a continué de durcir encore, tressauté dans ma bouche; j'ai sucé comme un malade en essayant d'en avaler le plus possible. Il respirait de plus en plus fort, couinait, ses mains contre ma tête poussant sa tige bien au fond de ma gorge. 

Ses jambes étaient bien écartées, j'ai passé une main entre ses fesses pour aller fouiner de nouveau du côté de sa raie, trouver l'anus et de l'index l'investir pour l'entendre immédiatement pousser de petits cris. 

J'ai bien cru plusieurs fois qu'il allait jouir, mais je me suis arrêté à temps, fouillant son petit cul brûlant ! Il râlait de plus en plus fort, criait presque ; j'ai repris ma pipe pour l'entendre soudain hurler,

- baise-moi !

Il s'est séparé de moi pour aller sur le lit se mettre à quatre pattes, bien cambré, cuisses écartées. 

Putain ! J'avais une vue imprenable sur son sillon et sur cette fente rose orangée, entrouverte.  Ma queue s'est immédiatement cognée contre mon ventre d'émotion ! Je me suis approché, j'ai léché cette douce, fragile et humide muqueuse. J'ai caressé du bout d'un doigt ces parois tremblantes, j'ai tiré vers moi sa verge et j'ai doigté profondément sa rosace tout en lui suçant sa belle tige.  J'ai continué à m'occuper longuement de son cul. Mes doigts s'enfonçant et tournoyant dans son œillet alternant avec ma langue, calmant ses sphincters malmenés. 

Puis je l'ai retourné. Je voulais qu'il voie, que cela soit un plaisir partagé.

je lui ai relevé les cuisses et il s'est tenu les genoux pour les coller sur son torse et amener son beau petit cul au plus près de ma tête! Encore cette puissante émotion à voir cette "chatte " offerte !

J'ai écarté ses belles fesses en les caressant, l'anus était là, presque ouvert, j'ai fait en sorte qu'il me voit faire et j'ai laissé couler ma salive sur cette exquise fente ! Il a souri. J'ai enfoncé deux doigts pour bien lubrifier son tréfonds et j'ai posé mon gland décalotté sur ses lèvres annales apparentes et je n'ai eu qu'à m'enfoncer dans cette antre chaude et humide pour sentir ce sphincter envelopper ma queue au fur et à mesure de sa progression.

Je l'ai regardé, fermant les yeux, poussant de petits cris comme un chiot ; je me suis enfoncé encore. Puis, d'un coup de reins j'ai tout fait entrer, mes couilles collées à son petit cul musclé et glabre. J'adorais le contraste entre ma peau si mate et sa peau si blanche. je me suis extrait presque entièrement, jusqu'à la base de mon gland et, après quelques instants en suspens,  j'ai donné un nouveau coup de reins. 

Il a crié, ouvert les yeux, m'a regardé, a souri jusqu’aux oreilles :

- maintenant baise-moi Bastien, fais-moi sentir ta belle queue !  Donne-moi du plaisir, fais-moi jouir. 

J'avais ses jambes autour de mon cou et je l'ai fixé, j'aime fixer un mec que je baise, j'aime voir le plaisir voiler son regard, voir les expressions qui circulent sur un visage quand ma queue voyage dans son cul! Oh j'ai fait ça lentement au début pour bien qu'il s'habitue à mon braquemart, long, épais, il emplit bien et sait donner de bonnes sensations ! Julien ne me quittait pas des yeux et j'ai accéléré, ses yeux disaient oui, de plus en plus vite, ça m'excitait grave de le voir branler sa queue,  se mordre la lèvre, ouvrir la bouche en un cri muet quand ma queue tapait au fond de son cul. 

La cavalerie s'est emballée, ça claquait bien sur son petit cul et je sentais que le plaisir n'était pas loin! J'étais bien dans ce cul, bien, en regardant Julien sourire.  

Mais j'avais un manque, j’avais une envie grave de sentir son cep de vigne me labourer le cul. 

- à toi maintenant ; je n’ai jamais eu une queue aussi tordue dans le croupion... 

J'ai bien vu passer sur son visage comme un voile de regret... mais il comprenait et, finalement on avait toute la nuit !

Sur le lit, face au miroir de l’armoire, je me suis mis à mon tour à quatre pattes, cul bien remonté, jambes écartées pour bien ouvrir ma raie avec ses petits poils noirs et drus, ma rosace palpitant d’impatience !

Des frissons, la chair de poule, ont parcouru mon corps quand il a posé ses mains sur mes fesses, les enveloppant, quand il s'est penché et a passé sa longue langue dans mon sillon, léchant ma broussaille et humant à fond cette nouvelle odeur de cul! Sa langue léchait ma broussaille, humidifiait ma raie, me titillait l'anus et c'était bon. Si bon que je me suis mis à pousser de petits gémissements, écartant encore plus mes jambes!  II a longuement léché mon trou avant que ses doigts n'entrent en jeu, perçant ma rondelle sans ménagement, vissant au plus profond.

- putain mec, tu m'excite grave ! mon gros zob me fait mal tellement je bande. Je kiffe grave sur ton beau petit cul de métèque ! M'a t'il dit d'une voix rauque.  

Je le voyais dans le reflet du miroir.  Mandrin dressé, entre mes cuisses.  Il s’est caressé doucement, comme un rituel avant l’estocade ! Il a ensuite posé son gland sur ma rosace entrouverte et doucement a regardé son gland disparaître dans l'antre chaude et humide de mon cul me faisant gémir de plus en plus fort jusqu'à crier, hurler quand le gland a passé mon sphincter qui s'est refermé sur son zob noueux cognant partout en moi ! Julien l'a bloqué un moment pour que je m'habitue sans doute. Je me suis mis à respirer fort, à souffler pour accepter l'engin.  Il a caressé mon dos, mes fesses, les a claquées gentiment avant d'un coup de reins enfoncer le reste de son nœud au fin fond de moi. Ses coups de butoir me laminaient le rectum faisant buter son gland désaxé sur toutes mes parois intimes. J'encaissais vaillamment. Nous étions tous deux en nage. Comme pour nous octroyer un moment de repos, il m'a redressé, collé contre lui.  Je me suis raccroché à son cou tandis qu'il léchait, baisait mon cou, me titillait les tétons, sa verge toujours bien ancrée en moi. Ma queue douloureusement raide battait contre mon ventre, des perles de mouille s'écrasant régulièrement sur le lit.  J’étais, nous étions au bord de l'orgasme. Pose!

- je veux que tu jouisse en moi maintenant!

Il s'est dégagé et couché sur le dos face à moi. Avec un grand sourire,

- viens !

Avant qu'il ne dise autre chose je l'ai embrassé et mes lèvres sont venues lécher ses tétons meurtris. Rapidement ma langue est descendue sur ce long corps musclé, j'ai fait des bisous à cette belle bite qui bandait pour moi! Raide de chez raide la bite toute décalottée, la mouille coulant dans le nombril, les couilles collées à la base et la toison claire entourant le tout, c'était magnifique!

Je l'ai léché en partant de la base pour remonter jusqu'au gland et l'entendre encore gémir, ses mains serrant les couvertures, il avait fermé les yeux et se laissait déguster !

J'ai relevé la queue, c'était dur et très chaud comme s'il avait la fièvre. J'ai donné des coups de langue sur le gland, aspirant la mouille, la goûtant, la dégustant et j'ai avalé le gland, l'entourant de mes lèvres et de ma langue ! ses jambes étaient bien écartées, j'ai passé une main entre elles pour aller fouiner du côté de sa raie, trouver l'anus et de l'index l'investir pour l'entendre immédiatement pousser de petits cris en se mordant la main!

J'ai doigté le cul en lui suçant sa belle bite. J'ai bien cru plusieurs fois qu'il allait jouir, mais je me suis arrêté, fouillant son petit cul chaud! 

Nous avons changé de place. C'est lui qui maintenant me guettait dans le reflet du miroir.  De nouveau, j'avais sa "chatte " maintenant bien offerte devant moi.  J'ai à peine pris le temps de caresser sa rondelle avec mon gland humide.  J'ai juste donné un grand coup de reins et ma verge s'est toute entière retrouvée enserrée par ses sphincters. Là, il a poussé un cri étouffé et rauque.  Il a ouvert les yeux, m'a regardé en souriant jusqu'aux oreilles :

-        Vas-y mec, défonce-moi la rondelle, bien profond !

je me suis alors déchainé, ma queue s’enfonçait brutalement dans son cul, mes couilles battant contre ses fesses. Nos corps étaient bientôt en sueur et des gouttes perlaient de mon front sur son dos.  Bientôt, un spasme puissant a parcouru mon corps, gonflant ma queue encore plus. Il a serré ses sphincters autour et j’ai couiné et j'ai joui, une première giclée qui m'a fait presque mal en sortant du méat ; j'ai vu à son expression, ouvrir grand les yeux en me regardant qu'il était surpris comme moi de la quantité de sperme que je venais de lui envoyer ! Il devait le sentir remonter dans son conduit et le réchauffer avant l'arrivée des suivantes ! Je les ai comptées pour une fois, six giclées et tout s'est arrêté d'un coup, je suis tombé sur lui, en nage, nos cœurs battant la chamade.

Toujours en lui, je l’ai soulevé en le prenant par les hanches. Collé contre moi, accroché à mon coup, il a laissé mes mains caresser son corps. J’aimais sa peau, sa douceur, sa chaleur, je l'entendais ronronner sous mes caresses et c'est lui qui bougeait son cul comme s'il voulait savoir si ma queue était encore là!

Je l'ai bloqué de mes mains et aussitôt j'ai fait voyager à nouveau ma queue dans son conduit humide de ma première jouissance. J'aimais sentir mon gland racler les parois qui le serraient, l'étouffaient, l'écrasaient. J'ai repris mes va-et-vient pour mon plaisir et son plus grand bonheur. Je sentais bien qu'il était détendu, il s'offrait de tout son corps, son cul bien ouvert laissait glisser ma queue partout où elle voulait aller!  Tout en continuant de le baiser doucement, j’ai pris sa queue raide et collée à son ventre en mains, c’était à lui de jouir maintenant ! Il bandait c'est fou, je trouvais que sa queue était encore plus grosse, plus raide, plus coulante !

-branle moi comme ça et je te fais jouir à nouveau avec mon cul en même temps!

J’ai commencé à le branler lentement, j'ai aimé sentir sa queue dans ma main, vivre, durcir, gonfler encore et encore.

Il râlait en levant la tête, mais ce qui était le plus bandant c'était qu'au rythme de ma branle, je sentais son cul, son conduit me serrer la queue, se desserrer, reprendre comme si une main invisible me branlait dans son cul! J'en revenais pas de ce qu'il faisait, j'ai accéléré pour le branler et son cul accélérait, j'entendais qu'il respirait de plus en plus vite, mais moi également et ma queue était de plus en plus dure dans son cul! J'avais mal à la queue tellement elle était serrée, mais quand il a joui sa première giclée, en hurlant comme un malade, son conduit m'a serré la queue en l'attirant encore plus en lui, serré et comprimé si bien que j'ai joui également juste après sa première giclée !

Quand il envoyait une giclée, immédiatement après j'en envoyais une dans son petit cul.

On peinait à respirer tous les deux, quand il s'est écroulé sur le lit, m'entraînant avec lui!

Je suis sorti délicatement de lui, faisant une bise aux fesses et je suis allé me réfugier dans les bras de ce beau mec souriant qui m'attendait pour m'embrasser, me donner sa langue et me serrer à m'étouffer contre lui! Ses mains me caressaient partout, j'avais l'impression d'être son doudou!

Quand sa main est venue me caresser la joue tendrement, ses lèvres sur les miennes, il avait à nouveau ce sourire craquant,

-comment t'arrives à faire ça ?

-avec mon cul ? ben j'en sais rien!

- et t'en a d'autres des secrets comme ça ?

-pour le savoir, il faudra qu’on se revoie !

On rigole, on se caresse, on se fait des bisous.

Il est venu mettre sa tête sur mon épaule, dans mon cou, me faire des bisous sur la joue ou l'épaule et sa main passait sur mon torse en douces caresses.

C'était le grand silence et j'appréciais ce moment.


bonus!


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire