Je m'ennuie, je suis seul, et ne sachant quoi faire j'ouvre mon ordinateur. Je surfe un moment, et je me retrouve par hasard sur un chat gay. Je reste un moment à regarder ce qui se dit. C'est pour moi, "l'hétéro de base", un monde inconnu, et je lis avec curiosité ce qui s'y dit, les abréviations que je ne comprends pas, les réponses que se font les internautes les uns aux autres.
Sur la partie droite de la page, comme un écho, apparaissent des photos d'hommes nus, queue en main, puis des photos de couples en pleine action. Peu à peu, je laisse défiler sur l'écran les commentaires et ne regarde plus que ces photos. Des pénis luisants, des hommes qui éjaculent, qui se prennent, qui se sucent.
Je sens mon ventre se serrer peu à peu, et une chaleur m'envahir. C'est hypnotique. Je reste là à regarder et je sens mon pénis durcir de plus en plus. Je me sors de cette espèce de torpeur pour revenir au chat. Tout à coup, je ne regarde plus avec indifférence, mais j'imagine l'issue de ces rencontres, et ma verge durcit encore plus. Je suis de plus en plus excité. Je ferme les yeux un moment, et laisse les images revenir dans ma tête. Je n'ai pas beaucoup d'expérience dans la matière, tout au plus quelques rencontres "touche pipi " quand j'étais adolescent, mais elles reviennent en moi, brûlantes, et je me surprends à rêver que tout cela arrive à nouveau. N'y tenant plus, je rentre sur le chat, affublée d'un pseudo ordinaire. Quelques secondes plus tard s'ouvre une fenêtre, puis une autre, puis encore une autre. Je n'en reviens pas.
On me demande mon âge, actif, passif, ce que je veux. Je ne sais que répondre. Une nouvelle fenêtre s'ouvre et cette fois seulement un "bonsoir". Je réponds, de même, et commence la discussion entre cet homme et moi. Il me demande ce que je cherche, je lui dit que je n'ai pas beaucoup d'expérience, mais beaucoup d'envie d'essayer des choses nouvelles. Il reste silencieux un moment, puis me demande si je peux le recevoir chez moi. Non, impossible. Chez toi ? Impossible aussi.
Une grande déception me prend. Tout cela pour rien, toute cette excitation, cette curiosité n'amène à rien. Puis il revient à la charge
- Si tu veux, je viens te chercher en voiture et nous trouvons un coin tranquille.
Sans réfléchir, je dis oui et lui donne rendez-vous.
Je l'ai attendu un moment, moment qui me parut très long, et dans ma tête ces questions qui revenaient " Qu'est-ce que tu fais ? Tu ne sais même pas à quoi il ressemble ", " C'est peut être dangereux", etc, etc,.. Mais toujours je répondais à mon excitation, mon envie, et je restais là à attendre.
Je commençais à désespérer quand une voiture plutôt chic s'approche, ralentit, et une fenêtre se baisse :
- " C'est toi ? "
- " Oui c'est moi... "
- " Monte.. "
Sans réfléchir à rien, j'ouvre la portière et rentre dans la voiture.
Je m'assoie sur le fauteuil en cuir, et je me tourne pour le regarder. Il est plutôt bel homme, cheveux très courts, blonds, bien habillé, pantalon et chemise. Il ne dit rien, il conduit. Après un moment de silence, je lui demande où nous allons, et il me répond
- Tu veux des choses nouvelles, alors je t'amène dans un endroit tranquille et tu verras. Si tu veux, on laisse tomber, mais si tu viens avec moi, tu me fais confiance, ok? " J'hésite. J'hésite, ou plutôt fais semblant d'hésiter, car la situation me plaît beaucoup, m'excite énormément.
Prenant mon silence pour ce qu'il est, une acceptation, il continue à conduire. Je regarde la route, ma respiration est courte, un feu me brûle le ventre.
Tout à coup, sa main se pose sur ma cuisse. Je sursaute, mais ne bouge pas, je regarde la route. Lui remonte lentement sa main, me caresse, je ne peux cacher mon trouble, un bosse se forme sur mon pantalon léger, et je tremble d'excitation. Lui toujours imperturbable, commence à remonter, sa main effleure mon entre cuisse, et s'attarde, j'ouvre mes cuisses au maximum, et sa main se pose sur cette bosse qui me fait presque mal.
Ses doigts commencent un léger massage, épousant la forme de ma queue. Je suis si excité que j'ai peur de jouir comme ça, dans mon pantalon. Il le sens et sa main s'arrête. Je regarde autour de moi, nous sommes dans un parc, dans un petite allée déserte et sombre. Seul un lampadaire à quelques mètres éclaire le coin.
Il arrête le moteur et se tourne vers moi :
- " Mets toi à poil ! "
Je reste sans réponse, abasourdi.
- " Mets toi à poil ! " Et sa main serre ma pine fort. C'est à ce moment que j'ai senti que je passais de " l'autre côté", que j'avais envie de faire ce qu'il me disait, et que je le ferai. Sans rien dire, j'enlève mes chaussure, mon pantalon, ma chemise, mon caleçon. Lui reste à regarder, je le sens qui me juge, qui me soupèse.
- C'est bien , dit-il
- Tu es plutôt bien foutu, j'aime ça, et avant que je puisse dire quelque chose, une main se pose sur ma nuque et m'attire vers son pantalon. J'ai un dernier sursaut, dans ce parc, nu dans cette voiture, c'est trop dingue, mais la main continue d'appuyer, et je cède. Il me plaque le visage contre son entrejambe. Je sens sous son pantalon, sa queue qui gonfle, elle durcit contre ma joue, et son souffle s'accélère.
Sans me lâcher, de son autre main, il ouvre sa braguette et laisse sortir son vit. Je reste pétrifié, il est vraiment beau, de belle taille, et son gland est tout découvert ma bouche est à la base de son pénis, noyée dans ses poils, et il me maintient là un moment.
-Vas-y, suce-moi.
J'ouvre la bouche, son gland entre mes lèvres, d'instinct je les referme et me met à le caresser avec ma langue. J'ai juste son gland en bouche, et je n'en peux plus d'excitation, j'aime sentir sa poigne sur ma nuque, plongeant d'un seul coup, comme désespéré, je l'engloutis d'un seul coup.
C'est trop bon, il est dur, il vibre dans ma bouche, je suce comme si ma vie en dépendait. Je monte jusqu'au gland, puis je redescend d'un coup au fond. A chaque fois il accompagne ma plongée d'un soupir et sous ma tête ses muscles se contractent. Ma tête tourne, je ne pense plus qu'à sa queue, je veux qu'il jouisse, je veux le boire, c'est comme une spirale de plus en plus profonde dans laquelle je fond à chaque aller retour.
Ses mains se serrent sur mes cheveux, il m'enfonce encore plus au fond, et tout à coup, il sort de moi et me maintenant le visage au bord de sa queue, il se branle. J'attends, bouche ouverte, le léchant qu'il jouisse, et enfin un grande giclée épaisse m'éclabousse. Je saute sur son gland et je tête toute sa semence. Il gémit de plaisir, il tremble, c'est mon plus grand bonheur. J'ai l'impression qu'il n'en finit pas d'éjaculer, que je vais rester là à le sucer pour toujours. Enfin, il se calme, et je reste, son pénis en bouche, couvert de semence, à le sucer doucement. Lui respire profondément. Ma verge entre mes jambes me fait mal, je n'ai jamais été aussi dur, Je voudrais qu'il me touche, qu'il me fasse jouir aussi, mais je n'ose pas demander.
Il me laissa la quelques minute à le lécher, puis, d'un ton froid et sec il me dit :
- Sors de la voiture !
- Pardon ?..
- Sors de la voiture ! Et il ouvre la portière. Je regarde dehors, et affolé, je m'aperçois qu'il y a trois hommes, sexe en main, qui sont là, à nous regarder. Ils ont tout suivi, ils ont regardé pendant que je le suçais, ils m'ont vu le visage couvert de foutre. Je suis pétrifié. Il est sorti de la voiture et répète :
- Aller, sors de la voiture je te dis ! Et il prend ma pine et me tire vers le dehors. Il me tire doucement, et je comprends qu'il ne veux pas me planter là , mais qu'il n'en a pas fini avec moi.
Il me fait mettre à genoux et dit :
- Maintenant suce les aussi !
Je suis nu, à genoux, excité comme jamais, je me sens tout à lui, je sais que je vais le faire.
Le premier s'approche, m'enfonce sa teub dans la bouche et me prenant par les cheveux, commence un va-et-vient puissant, violent; je m'accroche à lui pour ne pas tomber, son phallus me pénètre la bouche comme il pénétrerait un vagin, sans égard, il me tient par les cheveux et sans me prévenir il jouit dans ma bouche. Je veux me dégager, mais mon chauffeur me maintient la tête sur ce pénis en me disant :
- C'est bien, c'est bien ! Essuie-le bien.
L'homme se dégage et disparaît en se rajustant. Le deuxième et le troisième firent de même avec moi, sans plus d'égard, me traitant comme moins que rien. Mon homme lui se contente de me caresser les fesses, le dos, comme pour s'excuser de leur brutalité. Je n'en revenais pas, je n'avais jamais été aussi excité, aussi prêt à tout, aussi dépendant de ces queues, aussi désirant. J'avais goûté à trois sperme différents et mon visage et mon torse était tout collant.
J'étais toujours à genoux, mes jambes écorchées par les branches mortes au sol, ma bouche qui brûlait, mon dard plus droit que jamais.
Je suis resté un moment à respirer, à quatre pattes par terre, récupérant de ces trois hommes, lorsque mon homme me prend gentiment par la main pour me relever. Son phallus est sorti, dur de nouveau, et il me sourit. Je lui rend son sourire et il m'entraîne de nouveau vers la voiture. Au lieu de m'y faire entrer il me fait pivoter et d'une forte poussée, me fait tomber sur le capot. sa main maintenant ma nuque contre la tôle et ses doigts s'insinuant entre mes fesses. Je sursaute . Un "non ! " s'échappe de mes lèvres, mais la poigne reste ferme. Il entre alors un doigt dans mes fesses. je crie un peu, et me tend. Il me dit doucement :
-Chut, laisse moi faire..
Je me détend doucement, et il commence à aller et venir avec son doigt dans mon cul. Cela me brûle. D'un coup il enfonce son doigt complètement, et je crie de douleur à nouveau, puis je sens un autre doigt s'insinuer et forcer, jusqu'à ce que je me détende enfin. Il entre doucement, et recommence son va-et-vient. Je suis nu sur cette voiture, et lui bien figé entre mes jambes ouvertes enfonçant ses doigts en moi. Je sens monter une vague de plaisir et mes fesses s'ouvrir complètement. Il retire ses doigts et sa queue vient me prendre doucement mais inexorablement.
Je sens mon cul s'ouvrir, la douleur est forte, mais je c'est ça que je veux. Enfin il est en moi, il s'appuie de tout son poids sur moi et je sens son ventre cogner contre mes fesses. Je gémis, je halète, je n'en peux plus. Il commence à me prendre lentement, cela m'irradie, laissant toute pudeur, j'ouvre mes jambes et me cambre au maximum, des mots m'échappent: " c'est bon ", " j'aime" " encore", alors il se déchaîne, et commence à me prendre très fort.
Je me mets à crier, oubliant qu'il pouvait y avoir du monde autour de nous. Il sort de moi, puis entre de nouveau, de plus en plus profond, de plus en plus fort, je supplie, je veux, je désire qu'il me prenne. Enfin, après un temps éternel, ses mains se crispent sur mes fesses, il s'immobilise et son corps est secoué de spasmes, il se vide en moi. Je sens sa queue agitée de pulsations, je le sens jouir, c'était trop. Sans sortir de moi, il me retourne et prend ma bite. quelque mouvements ont suffit pour me faire crier et faire gicler mon sperme sur ma poitrine. ça n'en finit plus. ll reste un moment à me regarder agité de soubresauts, et tout en continuant à caresser mon gland luisant de sperme, il m'embrasse à pleine bouche. Baiser éternel, plaisir que je n'ai jamais connu depuis.
Après quelques minutes, nous sommes remontés dans sa voiture et il me raccompagne chez moi. Garés devant mon immeuble, je le fis jouir encore une fois dans ma bouche, et rentrai chez moi.
Ce fut la nuit la plus extraordinaire de ma vie.
181111
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