23 novembre 2020

Au sauna (1) , La douche **



Cet après midi, j’ai voulu aller à la rencontre de mes congénères, dans les lieux où ils se retrouvent d’habitude pour échange d’expériences et plus si affinité. Je suis retourné dans un sauna proche de la gare du nord ; simplement parce qu’il est assez proche de chez moi et que j’ai pu m’y rendre à pied et profiter ainsi du beau temps de ce dimanche ; avant les vapeur des sous-sols parisiens….
Je n’étais pas venu depuis fort longtemps mais l’amabilité réfrigérante du personnel de l’établissement est restée intacte. L’endroit n’a pas changé non plus et ressemble à tous les endroits de ce type sur la planète. J’ai pensé à Ziggy, je voulais aujourd’hui me faire « chouchouter », n’avoir rien à faire, simplement profiter de la gentillesse des clients de l’endroit. J’ai pris une cabine, me suis confortablement installé et ai attendu, le bon copain compréhensif qui accepterait de me câliner un peu. Peine perdue, cela ne doit pas être le style de l’endroit. J’ai donc décidé de combattre ma passivité nonchalante et pris les devants (un peu). Je suis allé là où cela bougeait un peu : sous la vapeur. Effectivement, il y avait là quelques mains dévouées et baladeuses, prêtes à « tâter le terrain et accessoirement la marchandise». Marchandise qui restait étonnamment neutre, pour ne pas dire plus, à toutes ces avances.
Je suis sorti prendre un peu l’air et me rafraîchir. Les douches se trouvent juste à coté du hammam ; une salle ronde dans une semi obscurité, ouverte sur le couloir. Les douches sont regroupées au centre sur un pylône central.


J’ai laissé couler l’eau sur mon corps, longuement, accroché à la pomme de douche, dans une position je l’avoue assez lascive de …décontraction. Les yeux fermés, je ne l’ai pas vu venir.
Ses mains couvertes de savon liquide, ont parcouru mes épaules, mon dos. Je me suis laissé faire. Il a donc entrepris de me laver voluptueusement ; il m’a doucement couvert de savon. Ses mains caressaient tout mon corps, s’attardant de temps en temps sur mes fesses, entre mes fesses, sur mes couilles et ma bite maintenant bien droite. Je ne le voyais pas, je ne voyais pas s’il était bien ou pas, vieux ou jeune ; je m’en foutais, c’était bon, c’était ce que je recherchais, un câlin, un voluptueux câlin ; un câlin public ce qui de plus répondait à mon goût pour l’exhibition !
Je sentais parfois sa queue frôler mon cul,

j’avais envie qu’il se rapproche un peu, le sentir pleinement contre mon corps mais il prenait son temps, et ne semblait pas pressé de passer à un cran supérieur. Quant à moi, même si j’en crevais d’envie, il n’était pas question de prendre une quelconque initiative, ce n’était pas dans l’esprit de la journée.
Mon corps était maintenant couvert de savon, lui aussi sans doute, il s’est alors rapproché, il m’a enlacé, je sentais sa queue dure contre mon cul. .je me frottais contre lui, le savon sur nos peaux facilitait nos mouvements, il m’a pris la queue et a commencé à me branler doucement ; toujours accroché au pommeau de la douche d’une main, je lui caressais le bas du dos et le cul qu’il avait ferme. Je l’incitais à me serrer encore plus fort, j’écartais un peu plus les jambes pour lui faciliter la tâche.


Bien entendu, il est difficile de rester seuls dans ce genre d’endroit ; le plaisir attire irrémédiablement d’autres candidats qu’il faut soit rejeter soit guider afin que leur participation ne déséquilibre pas le jeu en cours. Un gars s’est approché de moi, il m’a pincé les tétons et s’est simplement appliqué à me les travailler laissant mon compagnon seul maître de la situation. D’ailleurs il ne perdait pas de temps, ses doigts déjà exploraient mon cul. Je lui ai tendu une capote, l’idée de me faire prendre en public, comme souvent, m’emportait. Il m’a pénétré, sans difficultés, sa bite allait et venait en moi, elle devait être de bonne taille,

je sentais ses couilles battre contre mon cul ; le troisième gars en a profité pour me sucer tandis que les mecs se faisaient de plus en plus en nombreux autour de nous ; je voyais des corps nus partout autour de moi, des queues dressées branlées en cadence avec nous. Le mec 1 suçait bien, le mec 2 baisait bien, tout deux m’arrachaient de longs soupirs et halètements, je les encourageais verbalement.
Dans un râle profond, le mec 2 m’a subitement agrippé violemment le cou, m’a attiré vers lui et, pour la première fois, tandis qu’il jouissait m’a embrassé, sa langue était puissante et sauvage, sa bite très loin au fond de moi ; j’ai repris alors le contrôle de ma queue, je voulais jouir vite et à mon rythme. J’ai aspergé le visage du mec 1 toujours accroupi ; il se branlait lui aussi comme la dizaine de mecs autour de nous !
Je me suis tourné, je l’ai enfin vu, il n’était ni beau ni moche, une bonne trentaine, un mec que je n’aurais sans doute pas remarqué dans d’autres circonstances. Je lui ai souri, lui ai posé une bise sur la bouche et sur l’épaule, et lui susurré mon prénom ; nous sommes partis chacun de notre coté ; comme il se doit.

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4 commentaires:

  1. Je ne me souvenais pas que la salle de douche était ronde 😉

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  2. Anonyme4:51 PM

    Beau moment de partages de plaisir auxquels chacun participe à sa manière.Et puis,le sperme c'est bon à donner et à recevoir,mais son parfum (surtout quand ça éjacule de partout...)est un des plus agréable qui soit...

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  3. Anonyme4:56 PM

    J'aime bien l'illustration de l'article.Je la trouve belle!
    Pierre

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