02 janvier 2021

Promenons nous dans les bois (histoire transmise par "patrocle")


Début juillet, ma femme était partie se reposer chez sa mère à la campagne avec nos deux enfants. Moi je restais à V. retenu par mon travail. Seul, un soir chez moi, le programme de télé étant nul, j’allais explorer le Net. Au bout d’un quart d’heure, je tombais sur des sites pornos et commençais à m’exciter en matant des couples en pleine action. De beaux mecs, de belles nanas !
Changeant de site, je tombai par hasard sur l’adresse d’un club de rencontres gay. Curieux, je passais en revue un certain nombre d’annonces, accompagnées de photos suggestives. Au bout d’un moment je pris conscience que je bandais dans mon slip, ma tige comprimée par le sous-vêtement et le pantalon. 
Pour me soulager, je les retirai et continuai à regarder les annonces, cul nu et la bite bien raide à l’air.
Soudain une photo attira mon attention. Un vrai flash ! Elle représentait un homme d’environ 35 ans, donc dans mes âges, blond, les yeux noirs, les cheveux courts, avec un collier de barbe, un torse imberbe large et musclé, un ventre plat, avec une petite ligne de poils clairs descendant sous la ceinture du pantalon. Une onde de chaleur me parcouru, le rouge me montant aux joues. Il se présentait comme Bi, libre ce soir, à la recherche d’un homme jeune et bien membré, pour une partie de baise entre mecs virils.

Mon sexe, à cette lecture, s’était encore plus redressé et instinctivement je me mis à le caresser de ma main gauche. 
J’étais en manque depuis huit jours et de plus je n’avais jamais essayé avec un homme. Je compris alors que cette expérience me manquait. Pourquoi ne pas tenter le coup ce soir, puisque moi aussi j'étais libre et que je semblais correspondre à ce que ce « Patrick » semblait chercher.
Après quelques hésitations, je me lançai et lui adressai un message : « Mec 32 ans, 1m85 et 74 kg, brun, viril, hétéro, dispo now ». J’attendis, en continuant à visiter le site, toujours très excité. La réponse me parvint six minutes plus tard : « Où ? Quand ? Photo ? » .  N'y tenant plus je lui répondis immédiatement ; « J’habite à V. et je suis prêt à te rencontrer maintenant ». Je joignais une photo de moi en maillot de bain de l’été précédent.
Je me rendis compte à ce moment que j’étais en train de me masturber frénétiquement. Pour conserver mes moyens, je lâchai mon sexe et me forçai à penser à autre chose. 
Nouveau message de Patrick : « As-tu une voiture ? ». Suite à ma réponse affirmative, il me fixait rendez-vous sur une aire d’autoroute à dix km de V., pour 23h. Signe de reconnaissance, deux éclats de phares. 
Rapidement je retirai ma chemise et allai prendre une douche, m’essuyai et m’aspergeai d’eau de toilette. Sans remettre de sous-vêtement (comme c’est bandant !), j’enfilai un short kaki et passai un polo blanc et glissai mes pieds nus dans des tennis. Le temps de prendre mes papiers et la clé de voiture, je partais en trombe au volant de la C1 Citroën rouge de ma femme (elle avait pris la berline).
Un quart d’heure plus tard j’arrivais sur l’aire mal éclairée et allais stationner, tous feux éteints, près du cabanon des toilettes. Je constatais avec curiosité qu’il y avait quatre autres voitures parquées sur cette aire et que des ombres masculines tournaient autour des toilettes. Spectacle troublant pour moi le néophyte.
Bientôt une voiture arriva sur le parking en faisant deux éclats de phares. Je répondis de même. Patrick venait se ranger contre ma voiture.
- Salut Alexandre. Le coin n’est pas très tranquille. Suis-moi. Je connais tout près un endroit où nous serons seuls . 

- OK. Je te suis .
J’ai donc suivi sa voiture sur environ deux km après avoir quitté l’autoroute, puis nous nous sommes enfoncés dans un chemin forestier assez cahoteux, pour enfin nous garer sur une sorte de rond-point. Les moteurs arrêtés, ce fut le silence. Je descendis de voiture et m’approchai de la portière de Patrick. Il l’ouvrit et sortit. Il était un peu plus grand et un peu plus âgé que moi, vêtu d’une chemisette noire et d’un jeans foncé, bien balancé, sentant l’ambre. C’était vraiment un beau mâle. Nous nous somme rapprochés et il m’a posé ses deux mains sur les épaules, m’attirant vers lui. Je me laissai faire et me retrouvai dans ses bras, le corps collé au sien, le cœur battant et la verge dressée, pointant à travers le mince tissu de mon short. Il s’en rendit compte.

-Tu bandes déjà ? Je sens qu’on va passer un bon moment .
- Et toi  ? demandais-je en posant ma main droite sur son entrejambe, qui me parut bien gonflé et dur.
- Moi aussi. Tu me fais de l’effet. Sur ces mots il s’empara de ma bouche pour un premier baiser appuyé sur mes lèvres humides. Sa langue cherchait à s’insinuer entre elles et je le laissai faire. Nos langues mêlées dans nos salives mélangées s'affrontèrent  un long moment. 
 

Brusquement il relâcha son étreinte. Ses deux mains vinrent se poser sur mes fesses, les caressant à travers le coton du short. Un étrange tremblement parcouru alors mon corps abandonné entre ces mains viriles, à la fois vigoureuses et tendres. Je posai timidement mes doigts sur ses hanches et les glissai doucement sous sa chemisette, palpant son ventre dur et plat. Le cœur accéléré, je sentis une de ses mains déboutonner la ceinture de mon short. Enfin, j’allais découvrir l’amour entre hommes !

Cela m’attirait et m’affolait en même temps. Il sentit que je me contractais malgré moi et me dit doucement :
- ne t’inquiète pas Alexandre, je ne te forcerai pas. On s’arrêtera quand tu voudras. La gorge nouée, je répondis en commençant à déboutonner sa chemisette et à découvrir sa poitrine. Sa main droite était maintenant posée sur la bosse de mon sexe, la flattant au travers de la toile de coton. Mon sang afflua dans mon vit déjà raide, le faisant encore grossir. Moi je caressais sa poitrine, ses tétons, la touffe de poils blonds entre ses pectoraux, pendant qu’il descendait lentement la fermeture éclair de mon short qui tomba sur mes chevilles. Brusquement je sentis la douceur de l’air sur mes fesses et mon sexe palpitant au rythme de mon sang.

- Coquin. Tu ne portes pas de slip. Cela t’arrive souvent ?

- Non.  Plutôt rarement.
- C’est donc pour moi ? 
- on va dire oui ». 
Fou de désir, j’ai commencé à ouvrir sa ceinture, déboutonner son jeans et le faire glisser vers ses genoux, dégageant un slip blanc à la poche bien remplie et tendu sur des fesses musclées et rebondies. J’osais toucher sa bosse, sentant sous mes doigts un membre vivant se déployer rapidement. Je ne savais plus où porter mes mains : sur son vit, sur ses fesses, sur son ventre, sur son dos. Je n’étais plus moi-même, cet hétéro sûr de lui, bcbg, marié et père de famille. J’étais devenu une bête en rut, affolée de désir, offerte au mâle qui me retirait mon polo et découvrait ma nudité.
Nous nous sommes séparés un instant, juste pour arracher, chacun de notre côté, nos derniers vêtements éparpillés sur le sol, puis nous jeter l’un sur l’autre dans une étreinte passionnée, bouches collées, bite contre bite, mains pressées sur les culs tendus. J’ai failli jouir sur le ventre de mon partenaire tant j’étais excité. Heureusement il m’a lâché, s’est écarté, disant :
 - Allons dans le bois, nous serons plus tranquilles. 
Il ramassa nos affaires, les rangea dans sa voiture et ferma celle-ci. Je le regardai faire, soufflant et en sueur, la verge à l’air, toujours en érection; admirant son corps nu d’athlète, la souplesse et l’élégance de ses gestes, sa tête de faune, son pubis orné d’une brosse de poils clairs, sa verge longue et épaisse, ses couilles poilues et pendantes. 

Lorsqu’il me pris par la main et m’entraîna dans le bois, je me laissais faire, toute volonté abolie, surexcité par cette marche, à poil à côté d’un beau mec lui aussi à poil, sous la lumière de la lune perçant le sous-bois.

Nous ne sommes pas allés bien loin. Sous le couvert d’un hêtre, il m’a fait coucher dans l’herbe et s’est étendu sur moi, pressant mon corps de tout son poids, sa verge pointée entre mes jambes écartées, son ventre musclé compressant mon sexe toujours en érection. Son visage contre le mien, il me susurrait : « Tu es beau comme un pâtre grec et j’ai envie de passer toute la nuit avec toi, dans ce bois, à faire l’amour ». Je n’étais plus en état de résister, ni même de poser des conditions. Au contraire j’avais une envie folle de baiser ce mec et de me faire prendre par lui, toute crainte et toute honte bues. Je tendais mes mains vers son cul bien ferme  à la peau douce et couverte d’un duvet de poils follets que je caressais doucement. 
« Je suis à toi, mais vas-y doucement, car je n’ai aucune expérience avec les hommes ». 
Ses mains sur mes tétons raidis, il m’embrassa, puis me dit : « Moi j’en ai un peu et je vais te faire découvrir ce que je connais depuis peu ». 

Lentement, sa bouche est descendue, s’attardant sur la pointe de mes seins, puis sur le nombril, le ventre, tournant autour de mon sexe dressé, pour se glisser vers mon périnée, dévalant ma cuisse droite, puis remontant sur ma cuisse gauche, pour enfin embrasser mes couilles bien serrées, lécher ma hampe vibrante de bas en haut et enfin goûter mon gland et son méat déjà suintant d’un filet de sève. Soudain ses lèvres ont absorbé mon gland turgescent et se sont serrées sur lui, tandis que sa langue l’explorait. Puis il a avalé progressivement toute ma verge. Haletant, fébrile, sentant le plaisir monter, je promenais mes doigts dans la forêt humide de sa raie, cherchant son œillet de l’index. Sentant que je risquais d’exploser, il s’est interrompu et il s’est remis sur moi, appuyé sur les coudes et les genoux, son sexe au dessus de ma figure, le mien sous sa bouche, en 69. Je n’avais jamais vu de si près les attributs génitaux d’un homme et ceux-ci étaient impressionnants. Deux grosses couilles, couvertes de poils et un manche bien droit, long, épais, parcouru de veines saillantes et terminé par un gland violacé, gros comme une châtaigne. C’était trop tentant et j’osais prendre en bouche ce gland à la peau si douce ainsi offert à mes lèvres avides. Maladroitement j’ai commencé à le sucer, pendant que Patrick recommençait à glisser ses lèvres sur mon membre. Combien de temps cela a-t-il duré? Je ne sais plus. Nous avons jouis ensemble et j’ai senti son sperme épais, visqueux et salé remplir ma bouche, alors que j’éjaculais en longs traits dans la sienne.

Nous sommes retombés, épuisés et en sueur, l’un à côté de l’autre, savourant le liquide séminal de notre amant, laissant la bise tiède de la nuit parcourir notre peau échauffée et contemplant nos corps nus et blancs, sous la lumière lunaire.


Patrocle



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