02 janvier 2021

Promenons-nous dans les bois (suite et fin)

Après ce merveilleux 69 et un moment de repos Patrick s’est retourné sur le ventre, le visage tendu vers ma face et m’a interrogé : 
- As-tu aimé ? 
 Encore bouleversé par cette première expérience je lui répondis :
- Fabuleux ! Tu suces divinement. Ma seule expérience de cette sorte, c’était avec une prostituée, dans ma voiture, lorsque j’étais étudiant et cela n’avait rien à voir avec ce que tu m’as fait tout à l’heure. 
Avec une petit rire il me dit : 
- Pas étonnant. C’est toujours mieux avec un mec. Les filles sont toujours gênées et n’y mettent pas la même fougue .
De sa main droite il se mit à me caresser voluptueusement les pectoraux, puis l’épaule et le bras gauche, glissant vers l’aine, pendant que de son collier de barbe il me frôlait les joues, le cou. Le corps détendu, la respiration apaisée, je concentrais mon esprit sur le désir renaissant sous cette main chaude et légère comme une plume. Je sentais ma verge amollie et encore humide de salive et de sperme se redresser lentement sous l’afflux du sang et le gland venir frotter contre mon nombril. Visiblement je n’étais pas assouvi et Patrick le voyait bien, qui tout en me caressant les couilles me souffla : 
- Quelle belle bite. J’aimerais bien me la prendre dans le cul. Cela te dit ? 
 Pour toute réponse je me mis à lui flatter les fesses exposées à mes yeux, bien blanches et rebondies, fasciné par l’ombre de sa raie et le mystère de l’anus encore caché en celle-ci.

Sans plus aucune gène qui serait due à ma nudité et à la sienne en ce bois éclairé par la lune, je m’accroupis entre ses jambes musclées et commençai par un baiser au creux des reins, suivi d’autres sur la peau douce des fesses, puis léchai en salivant l’intérieur de sa raie, cherchant avec ma langue son petit trou. De mes deux mains j’écartai ses globes fessiers, pour atteindre enfin l’endroit secret recherché. Je crachai sur son œillet et de ma langue en forçait doucement le passage souple, chaud et odorant. Patrick redressait le cul pour venir au-devant de ces caresses intimes, visiblement enchanté et sous son ventre ainsi décollé du sol, sa queue prenait une belle amplitude.

-  Attends,  me dit-il enfin en se relevant et en me faisant faire de même. De ses deux mains il empoigna mes couilles et les fit rouler entre ses doigts, avant de saisir ma tige pour une masturbation lente. Lorsque sous sa main mon vit eut encore gonflé et fut devenu dur comme du bois, il s’approcha du tronc du hêtre, bras appuyés sur ce dernier, cul offert, me disant 
-  Maintenant prends moi.
Sans hésiter je collai ma verge contre sa raie, glissai le gland vers son anus, poussai légèrement, puis lui agrippai les hanches des deux mains et passait en force. Il eut un faible cri de douleur, accompagné d’un frémissement, mais ne se raidit pas. Mon gland était en lui et peu à peu tout mon manche l’embrocha, jusqu’à ce que mes testicules viennent heurter ses fesses.

Je restais un moment immobile, savourant cette sensation de dominer un mec, mon sexe dans ses entrailles, bien au chaud, excité par les contractions du sphincter refermé sur lui. Je plongeais ma main droite vers son membre viril dressé et le masturbais, tandis que Patrick me chuchotait : 
- Vas-y mec , c‘est vachement bon. Déchaîné par ces mots, je commençai des va-et-vient de plus en plus rapides avec mon sexe en lui et ma main sur le sien. Je le baisais comme je n’avais jamais baisé ma femme, avec une vigueur qui ne faiblissait pas, encore accrue au contraire par les feulements de plaisir de mon partenaire. La jouissance montait en moi, envahissant tout mon être, avant de se concentrer dans mon sexe et d’exploser en de puissants jets de foutre dans le ventre de Patrick. Ce dernier éjacula presque au même moment, rependant sa semence tiède et gluante sur ma main et l’écorce du hêtre, dans un grand cri d’extase.
Je suis resté ainsi de longs moments, empalé en lui, soufflant comme un phoque, la sueur coulant sur le visage, sous les bras et au bas du ventre, alors que mon amant, ma main toujours sur son vit encore bandé et humide de sperme, frissonnait toujours.


Ce n’est qu’après de longues minutes que j’ai commencé à me séparer de lui, mon vit ramolli et visqueux glissant doucement hors de son cul. Je lâchai son membre viril, essuyai ma main droite sur son ventre et l’embrassai tendrement dans le cou et sur les épaules. Il tourna sa tête vers mon visage pour me rendre un baiser en pleine bouche.
Apaisés, nous sommes retournés vers nos voitures, respirant profondément l’air tiède et parfumé des bois, les corps détendus, ivres de liberté. Par moments nos mains s’égaraient sur des fesses, des épaules ou nos bras enlaçaient les hanches de notre partenaire, accompagnés d’exclamations salaces et de gros rires. Arrivés près de nos voitures, nous bandions de nouveau. Patrick, les fesses appuyée sur sa voiture, me flatta la verge et les couilles, me disant: 
-  Tu m’as magnifiquement baisé, en vrai hétéro, mais tu ne sembles pas encore assouvi. Moi non plus du reste. Veux-tu continuer ?
Cette fois j’hésitais vraiment. Ce n’est pas l’envie qui me manquait, il suffisait de voir l’état de mon sexe dressé à mort. Mais cela me faisait peur. Peur de la douleur, peur d’y prendre goût, peur de me sentir honteux après l’acte. Mais ses mains s’emparaient déjà de mon cul, écartant les deux globes, glissant les doigts dans ma raie, pendant que sa bouche venait sur la mienne pour une magnif
ique pelle. 
-  N’aie pas peur mon chéri, laisse-toi aller, tu ne le regretteras pas.  Souffla-t-il entre deux baisers. De nouveau son sexe bandé se colla contre le mien en une douce pression alors que d’un doigt il pénétrai mon anus. Par un balancement de son ventre, il roulait sa pine sur la mienne, ranimant ainsi un violent désir en moi.

Mes dernières résistances tombèrent au contact de ce beau corps et d’une bite si dure et si chaude caressant la mienne, aussi d’une voix rauque je lui dis : 
- Vas-y. Prends moi. Je te fais entière confiance. Tu sais que je suis vierge, fais donc attention. Fougueusement je l’embrassais à pleine bouche et serrais sa poitrine contre mon torse. Son doigt fouillait toujours ma rosette et s’introduisait progressivement dans mon anus, me procurant un grand frisson. Je repensais alors à mes nombreux doigtages sous la douche, la tête pleine de fantasmes de membres virils me pénétrant au plus profond.
Mais Patrick ne voulait pas me prendre à sec. Il ouvrit la portière de sa voiture, sortit un tube de gel de sa boîte à gants. D’un signe, il m’invita à me pencher sur le capot de son véhicule,, le cul en arrière, m’écarta largement les jambes de ses genoux, me massa les épaules pour me détendre, puis le dos, enfin les fesses pour m’exciter. Je sentis qu’il m’enduisait la raie d’un grand filet de gel. De ses doigts il étendit le produit, en déposa sur le sphincter, l’introduisant ensuite dans l’anus. Avec un doigt, puis deux, il m’échauffa les viscères, de plus en plus profondément. Le lubrifiant faisait son effet, détendant les muscles de mon intimité et ouvrant mon cul. L’introduction d’un troisième doigt se fit sans aucun mal. Le sexe bandé contre le rebord du capot, les couilles serrées, l’anus en feu, les fesses tendues vers mon partenaire, tremblant d’attente et de désir, j’étais offert à ses assauts, toute volonté abolie.


J’ai senti son gland couvert de gel se poser sur ma rosette si bien préparée et s’introduire en douceur, sans effort et sans douleur. Celui-ci passé, mes muscles se sont refermés sur la verge de Patrick qui me pénétrait d’un seul élan, pour enfin buter contre ma prostate. Un plaisir inouï s’empara de moi, vite accentué par les mouvements de ce membre chaud, gonflé et rigide dans mon rectum. J’avais la sensation de ne plus faire qu’un corps avec mon amant, grâce à cette verge pleine de sang et palpitante, glissant et roulant en moi, partageant ainsi sa vie, son souffle, sa jouissance. Le mouvement s’accélérant, je commençais à donner des coups de cul vers le ventre de mon ami, pour mieux enfoncer son vit, m’alignant sur son rythme intense. C’est en hurlant de plaisir que j’ai reçu dans mon tréfonds la semence abondante de mon mâle dominant et que j’ai éjaculé en grands jets de foutre sur mon ventre et le capot de la voiture sur lequel j’étais penché.


Reprenant ma respiration, je m’effondrai dans les bras de Patrick et nous tombâmes, enlacés, sur l’herbe du sous-bois. Après quelques baisers échangés, épuisé, je m’endormis sur sa poitrine, le nez dans sa toison, le bras gauche entre ses jambes. Lorsque je m’éveillai au petit matin, j’étais seul, nu, étendu dans l’herbe près de ma voiture. Avais-je rêvé ?
Me relevant, je constatais que mon short et mon polo étaient déposés sur le toit de ma bagnole et qu’un papillon portant un numéro de téléphone mobile était glissé sous mon essuie-glace. Ainsi cette aventure était bien réelle, j’avais fait l’amour avec un mec et j’en avais éprouvé un immense plaisir. Lui aussi sans doute puisqu’il m’offrait la possibilité de le joindre et donc de le revoir.
Pensif, j’enfilais short et polo à même ma peau tachée de sperme séché, mettais le papillon dans ma poche, me glissais au volant et quittais les lieux en sifflotant, tel un athlète victorieux.
Patrocle




25314

2 commentaires:

  1. Vraiment très beau récit qui me rappelle quelques souvenirs vaguement similaire
    Merci mec

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Anonyme6:50 PM

      Moi,je voudrais bien vivre un aussi beau moment,encore plus intense j'espère!?

      Pierre

      Supprimer