04 janvier 2021

Je t'imagine


Je te reçois, nu. Parce que je veux te faire plai
sir. Parce que, rien qu’a regarder ton sexe qui s'affiche sur le site « ma-queue.com », je bande, je salive et je veux goûter.
J'excite mon sexe raidi, mon gland humide, rien qu’à te regarder, toi, ton visage, et pas encore déshabillé, j'ai envie de me branler, de me mettre à tes genoux et de me branler. Alors, oui, je vais éjaculer dans ma main. Je vais éjaculer sous ton regard. Tu prendras cette main, tu la porteras à ma bouche et tu me feras bouffer mon jus, tout mon jus, pour qu’après il ne reste plus rien. C’est la condition pour que je puisse te déshabiller. Je te dévêtirai lentement, tâchant de ne pas être brusque. Délassant tes chaussures, retirant ton pull, et ne gardant que ton boxer.
Car, d'abord, puisque tu trembles un peu, je veux nous faire prendre une douche, histoire de te décontracter. La température de l'eau, savammen
t dosée, et nous deux sous le pommeau de la douche que je dirigerai vers toi, en tout premier. Ton corps, ton torse, ton visage ruissellent de cette eau.
Ton boxer absorbe tant qu'il peut ce ruissellement. Le tissu colle à ta peau et se fait translucide offrant à mon regard la forme de ton désir.

 Je te touche un peu, puis, muni du savon, je te parcours tout entier. Là, sur le sommet des épaules, au niveau de tes tétons, sur ton ventre, le bas de ton ventre et, après avoir ôté le tissu ruisselant qui me séparait encore de toi,  plus bas encore sur tes couilles, dans ton entrejambe, dans la raie de ton cul, lentement, au niveau de ton trou que je vais explorer avec mes doigts.
fourrer ma langue dans ta bouche. Je veux lécher tes paupières. Je veux descendre sur ton cou, suivre le mouvement de ta pomme d’Adam. Descendre sur ton torse, sur ta queue. Je veux sentir comme elle remplit ma bouche. Elle repose sur ton ventre, et déjà un premier filet de liquide spermatique en sort. Alors, je l’enserrerai de ma bouche, allant et Tu te laisseras faire et tu me laisseras procéder, un peu plus rapidement, au savonnage de mon corps. Et je te rincerai. Abondamment. Là, et pendant tout ce temps, j'aurai senti combien ton sexe se durcit, se raidit, combien, alors que je décalotte le prépuce, ton gland, rose, brille autant que ton regard qui m'observe faire. Et je sortirai de la baignoire, t'accueillant dans une serviette propre. Je te frictionnerai les cheveux, essuierai ton visage, tout le reste de ton corps, m'empresserai de la faire pour moi et t’inviterai alors, une fois séchés, dans la chambre. Là, je veux t’étendre sur le lit, lécher la moindre parcelle de ton corps, des pieds, jusqu’à la tête. Je veux t’embrasser. Tu acceptes ? Je veux fo venant le long de cette belle tige, l’humidifiant. Avant de me poser, à la perpendiculaire, de gober ton gland, allant et venant, de bas en haut. Je ne veux pas que tu jouisses encore, déjà, même si moi, excité par la perspective que tu puisses me pénétrer, je me décharge sur ton ventre. Non, je veux continuer de goûter, de saliver. avant qu'elle vienne me fouiller le cul, d’ouvrir mon petit trou qui t’attend. Et alors, je veux m’installer sur ta queue, m’asseoir dessus. Diriger le mouve
ment. J’y vais doucement. Je l’enfonce peu à peu. D’abord le gland, puis, un peu plus loin encore puis, complètement, enfouissant ta queue jusqu’à sa base. Maintenant, nous sommes deux à agir. Toi aussi, tu donnes le rythme, la cadence.


Nous entendons mes fesses qui claquen
t sur tes cuisses. En fait, parce que tu as envie de jouir, tu me retournes. Me voilà sur le dos, t’accueillant, les jambes en l’air, écartées. Tu t’enfonces de plus en plus vite. Ton ventre caresse ma queue. Tu claques de plus en plus fort. Ta bouche rencontre la mienne pour un profond baiser. Tu vas et viens. Tu fermes les yeux. Tu bandes les muscles. Tu te contractes. Je sens que tu vas venir. Je sens que tu vas exploser. Tu te retires et tu te branles, pour mieux éjaculer sur mon ventre, ma queue. Alors, tu me caresses, pour étaler tout ce jus.



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